Plan pour présentation oral.

Publié le 27 nov. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 30 nov. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

Bonjour tout le monde ! Je viens solicité votre aide car je suis un peu perdu au niveau de ma littérature anglais. Je dois avoir enregistrer pour maximum 15h30 ma présentation de cinq minutes et le problème est que je ne sais pas vraiment comment m'y prendre.

 

J'ai élaboré un plan et pris une image que le professeur nous avez conseillé. Le thème de cette présentation est "The author voice, th author with the language"

 

Il faut que le définisse dans un premier temps les mots clés de la séquence. J'ai donc supposé que c'était tout bonnement: "the author voice" et "the  author playing" mais, comment puis les définir ?

En ce qui concerne le corps du développement je pensais m'appuyé sur mes cours, de toute façon je ne pense pas que je puisse faire autrement.

 

En espérant que vous pourrez m'aidez, bonne journée à vous ! 

Où j'en suis dans mon devoir

Mon plan est très simple mais sera développer a son maximum.

 

Intro:

  •  Définitions des mots clés de la séquence: the author voice and the author playing.
  •  Expliquer que nous l'avons vu par le biais de l'autobiographie: "Thoughout the school year, we discussed the art of the biography as an example of the theme under study"
  •  Annoncer le plan: "In the first part I will go over the author voice and in the second part I will go over the author playing."

Développement:

  • I/ The author voice
  • II/ The author playing.

Conclusion:

Je ne sais pas encore. Je suppose que je dois faire un résumé de tout ce que j'aurais dit dans le développement.




1 commentaire pour ce devoir


Anonyme
Posté le 27 nov. 2014

J'ai trouvé quelque petit truc. bon... C'est principalement en français mais ça me permet d'avoir une base de mon analyse.


Throughout the school year, wi discussed the art of the biography as an exampl of the theme under study.
Dans un premier temps, I will go over du « je » de l'auteur and dans une deuxième temps, I will discuss le « jeu » de l'écrivain avec comme support l'extrait de « Moad is My Washpot » de Stephen Fry mais aussi du Chapter one de « Dracula » de Bram Stroker et en complément j’analyserais une image correspondant au thème.


I/ Le "je" de l'auteur.

Le genre autobiographique soulève la question de la vérité, qui fait l’objet d’un pacte entre
l’auteur/narrateur et le lecteur. L’identité entre auteur/narrateur et personnage principal incite à l’usage du « je ». Cependant, le « je » qui écrit n’est déjà plus le « je » qui a vécu le moment raconté : le décalage entre l’événement et l’écriture, le filtre de la narration sont niés. La mémoire de l’auteur/narrateur peut être mise en doute, particulièrement quand il s’agit de souvenirs d’enfance plus ou moins éloignés du temps de l’écriture, comme par exemple Stephen Fry dans « Moad is My Washpot »

Evoquons enfin le journal intime, forme sous laquelle certaines œuvres majeures de la littérature anglophone sont rédigées, comme le Dracula de B. Stoker. Le journal implique une relation particulière entre l’auteur et le lecteur. Il prétend ne pas avoir de destinataire, ne pas avoir vocation à être publié ; il recueille les impressions et les confessions de son auteur. En le lisant, nous faisons preuve d’indiscrétion : nous entrons dans le quotidien et la sphère intime de l’auteur. C’est sur la curiosité du lecteur face à l’intimité du narrateur que repose l’acception fictive de ce genre.


II/ Le "jeu" de l'écrivain.

Très peu d’autobiographie son réel car les auteur l'écrive des années après que l’événement raconter ai été vécu. C'est pour ça que les auteur/narrateur mettent en place un jeu dans leur écriture pour rendre la chose la plus réelle possible. Tout d'abord, il utilise les pensées de son professeur pour parler de lui : "C'était un garçon brillant, très brillant." ou alors quand le lecteur lit les sentiments des professeurs, il sent que Stephen F. est un narrateur omniscient. Pourtant, Stephen mentionne qu'il a juste tout mit en place, il imagine ce que son professeur pourrait penser de l'époque. Vous ne pouvez pas vous attendre d'un narrateur d'être omniscient dans une biographie, car c'est un dispositif littéralement utilisé dans les écrits fictifs.
Mais dans le chapitre un de Dracula le jeu y est beaucoup plus présent. Nous savons déjà qu'un journal intime ne peut pas être faux puisqu'il est écrit tout au long de la vie de la personne. Or, nous savons que «Dracula » est une œuvre purement fictive. Même si l'auteur explique dans la préface du livre que la nouvelle est une collection d'extraits de journaux, et que les événements et les personnages dans le livres sont réels, c'est grâce à elle que l'on comprend que tout est faux. En faite, il brise le pacte entre le lecteur et l'autre étant donner qu'il laisse Harker donner beaucoup trop de détails sur le paysage, la nourriture etc. D'ailleurs, dans le chapitre un l'auteur admet même qu'il a fait des recherches pour son livre grâce à un jeu de métatextualité quand il dit : « Having had some thime at my disposal when in london, I had visited the British Museum, and made search among the books and maps in the library regarding Transilvania »


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