Résumé de fable

Publié le 8 oct. 2015 il y a 8A par Anonyme - Fin › 11 oct. 2015 dans 8A
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Sujet du devoir

Bonjour,

J'aimerai que vous me proposiez un résumé de la fable "Le loup et le chasseur" car je n'y arrive pas

 

merci d'avance.

 

Fureur d'accumuler, monstre de qui les yeux
Regardent comme un point tous les bienfaits des Dieux,
Te combattrai-je en vain sans cesse en cet ouvrage ?
Quel temps demandes-tu pour suivre mes leçons ?
L'homme, sourd à ma voix comme à celle du sage,
Ne dira-t-il jamais : C'est assez, jouissons ?
- Hâte-toi, mon ami, tu n'as pas tant à vivre.
Je te rebats ce mot, car il vaut tout un livre :
Jouis. - Je le ferai. - Mais quand donc ? - Dès demain.
- Eh ! mon ami, la mort te peut prendre en chemin.
Jouis dès aujourd'hui : redoute un sort semblable
A celui du Chasseur et du Loup de ma fable.
Le premier de son arc avait mis bas un daim.
Un Faon de Biche passe, et le voilà soudain
Compagnon du défunt ; tous deux gisent sur l'herbe.
La proie était honnête ; un Daim avec un Faon,
Tout modeste Chasseur en eût été content :
Cependant un Sanglier, monstre énorme et superbe,
Tente encor notre archer, friand de tels morceaux.
Autre habitant du Styx : la Parque et ses ciseaux
Avec peine y mordaient ; la Déesse infernale
Reprit à plusieurs fois l'heure au monstre fatale.
De la force du coup pourtant il s'abattit.
C'était assez de biens ; mais quoi ? rien ne remplit
Les vastes appétits d'un faiseur de conquêtes.
Dans le temps que le Porc revient à soi, l'archer
Voit le long d'un sillon une perdrix marcher,
Surcroît chétif aux autres têtes.
De son arc toutefois il bande les ressorts.
Le sanglier, rappelant les restes de sa vie,
Vient à lui, le découd, meurt vengé sur son corps ;
Et la perdrix le remercie.
Cette part du récit s'adresse au convoiteux :
L'avare aura pour lui le reste de l'exemple.
Un Loup vit, en passant, ce spectacle piteux.
O fortune, dit-il, je te promets un temple.
Quatre corps étendus ! que de biens ! mais pourtant
Il faut les ménager, ces rencontres sont rares.
(Ainsi s'excusent les avares.)
J'en aurai, dit le Loup, pour un mois, pour autant.
Un, deux, trois, quatre corps, ce sont quatre semaines,
Si je sais compter, toutes pleines.
Commençons dans deux jours ; et mangeons cependant
La corde de cet arc ; il faut que l'on l'ait faite
De vrai boyau ; l'odeur me le témoigne assez.
En disant ces mots, il se jette
Sur l'arc qui se détend, et fait de la sagette
Un nouveau mort, mon Loup a les boyaux percés.
Je reviens à mon texte. Il faut que l'on jouisse ;
Témoin ces deux gloutons punis d'un sort commun ;
La convoitise perdit l'un ;
L'autre périt par l'avarice.

Où j'en suis dans mon devoir

Rien                                                                                                                                                                                                                                                                     




4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 9 oct. 2015

qu'as-tu compris de cette fable?

 

Anonyme
Posté le 9 oct. 2015

Bah justement, j'ai pas compris grand choses. 

Anonyme
Posté le 9 oct. 2015

On ne va pas faire ton travail, essaye, tu peux le faire si on te la donné :)

Pour le résumé, reprend les actions et les points importants, comme si tu racontais l'histoire à quelqu'un mais sans les rimes et sans les détails. Sans oublier la morale !

Anonyme
Posté le 9 oct. 2015

je t'explique le début qui n'est pas évident et de forme inhabituelle

Fureur d'accumuler, monstre de qui les yeux
Regardent comme un point tous les bienfaits des Dieux,
Te combattrai-je en vain sans cesse en cet ouvrage ?

La Fontaine s'adresse à ceux qui n'en ont jamais assez ,qui convoitent tous les biens et rappelle qu'il a déjà écrit d'autres fables sur ce thème (ex la poule aux oeufs d'or)


Quel temps demandes-tu pour suivre mes leçons ?
L'homme, sourd à ma voix comme à celle du sage,
Ne dira-t-il jamais : C'est assez, jouissons ?

 il leur reproche de ne pas écouter les conseils et de ne pas savoir profiter de ce que l'on a,de vivre le moment présent 


- Hâte-toi, mon ami, tu n'as pas tant à vivre.
Je te rebats ce mot, car il vaut tout un livre :
Jouis. - Je le ferai. - Mais quand donc ? - Dès demain.
- Eh ! mon ami, la mort te peut prendre en chemin.
Jouis dès aujourd'hui :

dialogue

 

ensuite la fable à proprement parler


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