Correction d'un dictee Cned devoir 10

Publié le 31 mars 2015 il y a 8A par Anonyme - Fin › 2 avr. 2015 dans 8A
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Sujet du devoir

Son sabot guéri, Malabar travailla plus dur que jamais .A la vérité, cette année la tout les animaux peinèrent comme des esclaves. Outre le contraignant train-train de la ferme, Il y avait la construction du nouveau moulin et celle de l’école des jeunes gorets, commençait en mars. Quelque fois leur long labeur, avec cette nourriture insuffisante, les épuisaient mais Malabar lui, ne faiblissait jamais. Il n’avait plus ces forces d’autres fois mais rien dans ces faits et gestes ne le trahissais. Seul sont apparence avait un peu changes. Sa robe était moins luisante,ses reins semblait se creusait. « Malabar va se requinquait avec l’herbe du printemps », disaient les autres mais ce fut le printemps et Malabar ne reprit pas de poids.

Parfois sur la pente qui conduit en haut de la carrière, A le voir bander ses muscles sous le fait d’un énorme bloc de pierre on aurait dit que rien ne le retenait debout ,que la volonté .

                                        George Orwell,La ferme des animaux

Où j'en suis dans mon devoir

voila ce que j'ai fait merci de la corriges




5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 31 mars 2015

c'est tout juste sauf les virgules n'était pas bien placés

Non, il y a beaucoup d'erreurs. Faites attention. Merci

La modération

Son sabot guéri, Malabar travailla plus dur que jamais .A la vérité, cette année la tout les animaux peinèrent comme des esclaves. Outre le contraignant train-train de la ferme, Il y avait la construction du nouveau moulin et celle de l’école des jeunes gorets, commençait en mars. Quelque fois leur long labeur, avec cette nourriture insuffisante, les épuisaient mais Malabar lui, ne faiblissait jamais. Il n’avait plus ces forces d’autres fois mais rien dans ces faits et gestes ne le trahissais. Seul sont apparence avait un peu changes. Sa robe était moins luisant, ses reins semblait se creusait. « Malabar va se requinquait avec l’herbe du printemps », disaient les autres mais ce fut le printemps et Malabar ne reprit pas de poids.

Parfois sur la pente qui conduit en haut de la carrière, A le voir bander ses muscles sous le fait d’un énorme bloc de pierre on aurait dit que rien ne le retenait debout, que la volonté.

                                        George Orwell ,La ferme des animaux

Anonyme
Posté le 31 mars 2015

Ahh ok merci

 

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willffy
willffy
Posté le 31 mars 2015

Son sabot guéri, Malabar travailla plus dur que jamais .A la vérité, cette année la : tout les animaux peinèrent comme des esclaves. Outre le contraignant train-train de la ferme, Il y avait la construction du nouveau moulin et celle de l’école des jeunes gorets, commençait en mars. Quelque fois leur long labeur, avec cette nourriture insuffisante, les épuisaient mais Malabar lui, ne faiblissait jamais. Il n’avait plus ces forces d’autres fois mais rien dans ces faits et gestes ne le trahissais. Seul sont apparence avait un peu changes. Sa robe était moins luisante,ses reins semblait se creusait. « Malabar va se requinquait avec l’herbe du printemps », disaient les autres mais ce fut le printemps et Malabar ne reprit pas de poids.

Parfois sur la pente qui conduit en haut de la carrière, A le voir bander ses muscles sous le faix d’un énorme bloc de pierre on aurait dit que rien ne le retenait debout ,que la volonté .

Je t'ai mis en gras les erreurs.

Anonyme
Posté le 1 avr. 2015

mercii

 

willffy
willffy
Posté le 1 avr. 2015

Bonne suite!

 


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