Questions sur Daniel Pennac

Publié le 21 avr. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 24 avr. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

Voilà j'ai un DM pour la rentré mais je n'y arrive pas :/

Voilà le fichier de mon DM:

https://collegejeancampin.ac-creteil.fr/note/pronote/FichiersExternes/1e802d6bc9a5a42ad053bcea854405e54e6546aaacc6f2eb7e23fed6f21954dfeefeaf95ce2489af80d8e5c93053397c/pennac%20le%20chien.docx?Session=9813733

Merci pour votre aide :D

Où j'en suis dans mon devoir

j'ai fais la réécriture ainsi que la rédaction. Merci :)

« – Pas de panique, dans vingt-six ans ils possèderons parfaitement leur alphabet. Ainsi ironisait mon père pour distraire ses propres craintes. Bien des années plus tard, comme nous redoublonsnotre terminale à la poursuite d'un baccalauréat qui nous échappais obstinément, ils aurons cette formule :"




5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 21 avr. 2014

Peux-tu nous dire exactement ce que tu ne comprends pas ?

Personnellement je n'accède pas à ton fichier...

Et relis ta réécriture !!! 

Anonyme
Posté le 21 avr. 2014

la terminaison de la 3 eme personne du pluriel du futur est -ont !!!

et le verbe redoubler est à l'imparfait : -ions

qui nous échappait : qui sujet : remplace baccalauréat donc -ait 

willffy
willffy
Posté le 21 avr. 2014

On ne peut pas accéder à ton lien, en attendant, une correction :

« – Pas de panique, dans vingt-six ans ils possèderont parfaitement leur alphabet. Ainsi ironisait mon père pour distraire ses propres craintes. Bien des années plus tard, comme nous redoublions notre terminale à la poursuite d'un baccalauréat qui nous échappait obstinément, ils auront cette formule :

 

Anonyme
Posté le 21 avr. 2014

Voilà le fichier: merci beaucoup pour votre réponse :) je compren pas au question.

Dans ce livre, Daniel Pennac parle de lui, du professeur qu'il est devenu, du romancier qu'il est, mais surtout de l'élève qu'il était.

« – Pas de panique, dans vingt-six ans il possèdera parfaitement son alphabet. Ainsi ironisait mon père pour distraire ses propres craintes. Bien des années plus tard, comme je redoublais ma terminale à la poursuite d'un baccalauréat qui m'échappait obstinément, il aura cette formule : – Ne t'inquiète pas, même pour le bac on finit par acquérir des automatismes : … Ou, en septembre 1968, ma licence de lettres enfin en poche : – Il t'aura fallu une révolution pour la licence, doit-on craindre une guerre mondiale pour l'agrégation ? Cela dit sans méchanceté particulière. C'était notre forme de connivence. Nous avons assez vite choisi de sourire, mon père et moi. Mais revenons à mes débuts. Dernier né d'une fratrie de quatre, j'étais un cas d'espèce. Mes parents n'avaient pas eu l'occasion de s'entraîner avec mes aînés, dont la scolarité, pour n'être pas exceptionnellement brillante, s'était déroulée sans heurt. J'étais un objet de stupeur, et de stupeur constante car les années passaient sans apporter la moindre amélioration à mon état d'hébétude scolaire. « Les bras m'en tombent », « Je n'en reviens pas », me sont des exclamations familières, associées à des regards d'adulte où je vois bien que mon incapacité à assimiler quoi que ce soit creuse un abîme d'incrédulité. Apparemment, tout le monde comprenait plus vite que moi. – Tu es complètement bouché ! Un après-midi de l'année du bac (une des années du bac), mon père me donnant un cours de trigonométrie dans la pièce qui nous servait de bibliothèque, notre chien se coucha en douce sur le lit, derrière nous. Repéré, il fut sèchement viré. – Dehors, le chien, dans ton fauteuil ! Cinq minutes plus tard, le chien était de nouveau sur le lit. Il avait juste pris le soin d'aller chercher la vieille couverture qui protégeait son fauteuil et de se coucher sur elle. Admiration générale, bien sûr, et justifiée : qu'un animal pût associer une interdiction à l'idée abstraite de propreté et en tirer la conclusion qu'il fallait faire son lit pour jouir de la compagnie des maîtres, chapeau, évidemment, un authentique raisonnement ! Ce fut un sujet de conversation familiale qui traversa les âges. Personnellement, j'en tirai l'enseignement que même le chien de la maison pigeait plus vite que moi. Je crois bien lui avoir murmuré à l'oreille :
- Demain, c'est toi qui vas au bahut, lèche-cul." .
Partie 1
Questions / 15 points

Quels sont les thèmes de ce récit ? (Appuyez-vous sur le texte pour répondre) (2 points)
Comment est raconté ce récit ? Quel est le statut du narrateur ? (aidez-vous de la notion de point de vue) (1 point)
De « Dernier né d'une fratrie… » à « hébétude scolaire. » lignes 9 à 13
Quels sont les temps dominants ? (1 point)
À quelle période de la vie du narrateur ces temps renvoient-ils ? (1 point)
Relevez dans le texte deux phrases qui renvoient à une autre période de la vie du narrateur. (1 point)
Quelle est la réaction du père du narrateur devant les difficultés d'apprentissage de son fils ? (2 points)
« incrédulité »
Décomposez ce mot en identifiant chaque élément.(1 point)
Expliquez ce mot et donnez sa classe grammaticale. (1 point)
« Demain, c'est toi qui vas au bahut, lèche-cul. ».
a) Quel registre (ou niveau) de langue emploie le narrateur dans cette phrase? (0,5point)
b) Pourquoi a-t-il choisi un tel registre ? (0,5 point)
c) Transformez cette phrase « c'est toi qui vas au bahut » au style indirect, en commençant par : « je crois bien lui avoir murmuré que le lendemain… » (1 point)
Dans une réponse développée et argumentée et en vous appuyant sur toutes les réponses que vous venez d'apporter, expliquez en quoi les paroles du père et l' épisode du chien auraient pu être destructeurs pour le narrateur enfant. (3 points)

willffy
willffy
Posté le 22 avr. 2014

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