francais a rendre 2

Publié le 23 oct. 2016 il y a 7A par Anonyme - Fin › 26 oct. 2016 dans 7A
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Sujet du devoir

bjr tous le monde

1.quels sont les informations delivrees par lincipit?

1.A comparez les trois textes et observe la maniere de presenter le cadre spatio temporel et les personnages

 

ps: je voulais mettre les textes en photo mais le fichier etait trop grands

 

aider moi merci davance

 

 

Où j'en suis dans mon devoir

les trois textes sont:

le rouge et noir de stendhal

La petite ville de Verrières peut passer pour l’une des plus jolies de la Franche-Comté. Ses maisons blanches avec leurs toits pointus de tuiles rouges, s’étendent sur la pente d’une colline, dont des touffes de vigoureux châtaigniers marquent les moindres sinuosités. Le Doubs coule à quelques centaines de pieds au-dessous de ses fortifications, bâties jadis par les Espagnols, et maintenant ruinées.

Verrières est abritée du côté du nord par une haute montagne, c’est une des branches du Jura. Les cimes brisées du Verra se couvrent de neige dès les premiers froids d’octobre. Un torrent, qui se précipite de la montagne, traverse Verrières avant de se jeter dans le Doubs, et donne le mouvement à un grand nombre de scies à bois ; c’est une industrie fort simple et qui procure un certain bien-être à la majeure partie des habitants plus paysans que bourgeois. Ce ne sont pas cependant les scies à bois qui ont enrichi cette petite ville. C’est à la fabrique des toiles peintes, dites de Mulhouse, que l’on doit l’aisance générale qui, depuis la chute de Napoléon, a fait rebâtir les façades de presque toutes les maisons de Verrières.

À peine entre-t-on dans la ville que l’on est étourdi par le fracas d’une machine bruyante et terrible en apparence. Vingt marteaux pesants, et retombant avec un bruit qui fait trembler le pavé, sont élevés par une roue que l’eau du torrent fait mouvoir. Chacun de ces marteaux fabrique, chaque jour, je ne sais combien de milliers de clous. Ce sont de jeunes filles fraîches et jolies qui présentent aux coups de ces marteaux énormes les petits morceaux de fer qui sont rapidement transformés en clous. Ce travail, si rude en apparence, est un de ceux qui étonnent le plus le voyageur qui pénètre pour la première fois dans les montagnes qui séparent la France de l’Helvétie. Si, en entrant à Verrières, le voyageur demande à qui appartient cette belle fabrique de clous qui assourdit les gens qui montent la grande rue, on lui répond avec un accent traînard : Eh ! elle est à M. le maire.

Pour peu que le voyageur s’arrête quelques instants dans cette grande rue de Verrières, qui va en montant depuis la rive du Doubs jusque vers le sommet de la colline, il y a cent à parier contre un qu’il verra paraître un grand homme à l’air affairé et important

 

 

la joie de vivre de emile zola:

Comme six heures sonnaient au coucou de la salle à manger, Chanteau perdit tout espoir. Il se leva péniblement du fauteuil où il chauffait ses lourdes jambes de goutteux, devant un feu de coke. Depuis deux heures, il attendait madame Chanteau, qui, après une absence de cinq semaines, ramenait ce jour-là de Paris leur petite cousine Pauline Quenu, une orpheline de dix ans, dont le ménage avait accepté la tutelle.

— C’est inconcevable, Véronique, dit-il en poussant la porte de la cuisine. Il leur est arrivé un malheur.

La bonne, une grande fille de trente-cinq ans, avec des mains d’homme et une face de gendarme, était en train d’écarter du feu un gigot qui allait être certainement trop cuit. Elle ne grondait pas, mais une colère blêmissait la peau rude de ses joues.

— Madame sera restée à Paris, dit-elle sèchement. Avec toutes ces histoires qui n’en finissent plus et qui mettent la maison en l’air !

— Non, non, expliqua Chanteau, la dépêche d’hier soir annonçait le règlement définitif des affaires de la petite… Madame a dû arriver ce matin à Caen, où elle s’est arrêtée pour passer chez Davoine. À une heure, elle reprenait le train ; à deux heures, elle descendait à Bayeux ; à trois heures, l’omnibus du père Malivoire la déposait à Arromanches, et si même Malivoire n’a pas attelé tout de suite sa vieille berline, madame aurait pu être ici vers quatre heures, quatre heures et demie au plus tard… Il n’y a guère que dix kilomètres d’Arromanches à Bonneville.

La cuisinière, les yeux sur son gigot, écoutait tous ces calculs, en hochant la tête. Il ajouta, après une hésitation :

— Tu devrais aller voir au coin de la route, Véronique.

Elle le regarda, plus pâle encore de colère contenue.

— Tiens ! pourquoi ?… Puisque monsieur Lazare est déjà dehors, à patauger à leur rencontre, ce n’est pas la peine que j’aille me crotter jusqu’aux reins.

— C’est que, murmura Chanteau doucement, je finis par être inquiet aussi de mon fils… Lui non plus ne reparaît pas. Que peut-il faire sur la route, depuis une heure ?

Alors, sans parler davantage, Véronique prit à un clou un vieux châle de laine noire, dont elle s’enveloppa la tête et les épaules. Puis, comme son maître la suivait dans le corridor, elle lui dit brusquement :

— Retournez donc devant votre feu, si vous ne voulez pas gueuler demain toute la journée, avec vos douleurs.

Et, sur le perron, après avoir refermé la porte à la volée, elle mit ses sabots et cria dans le vent :

— Ah ! Dieu de Dieu ! en voilà une morveuse qui peut se flatter de nous faire tourner en bourrique !

 

pierre et jean de guy de maupassant:

 


— Zut ! s’écria tout à coup le père Roland qui depuis un quart d’heure demeurait immobile, les yeux fixés sur l’eau, et soulevant par moments, d’un mouvement très léger, sa ligne descendue au fond de la mer.

Mme Roland, assoupie à l’arrière du bateau, à côté de Mme Rosémilly invitée à cette partie de pêche, se réveilla, et tournant la tête vers son mari :

— Eh bien !… eh bien !… Gérôme !

Le bonhomme furieux répondit :

— Ça ne mord plus du tout. Depuis midi je n’ai rien pris. On ne devrait jamais pêcher qu’entre hommes ; les femmes vous font embarquer toujours trop tard.

Ses deux fils, Pierre et Jean, qui tenaient, l’un à bâbord, l’autre à tribord, chacun une ligne enroulée à l’index, se mirent à rire en même temps et Jean répondit :

— Tu n’es pas galant pour notre invitée, papa.

M. Roland fut confus et s’excusa :

— Je vous demande pardon, madame Rosémilly, je suis comme ça. J’invite des dames parce que j’aime me trouver avec elles, et puis, dès que je sens de l’eau sous moi, je ne pense plus qu’au poisson.

Mme Roland s’était tout à fait réveillée et regardait d’un air attendri le large horizon de falaises et de mer. Elle murmura :

— Vous avez cependant fait une belle pêche.

Mais son mari remuait la tête pour dire non, tout en jetant un coup d’œil bienveillant sur le panier où le poisson capturé par les trois hommes palpitait vaguement encore, avec un bruit doux d’écailles gluantes et de nageoires soulevées, d’efforts impuissants et mous, et de bâillements dans l’air mortel.

Le père Roland saisit la manne entre ses genoux, la pencha, fit couler jusqu’au bord le flot d’argent des bêtes pour voir celles du fond, et leur palpitation d’agonie s’accentua, et l’odeur forte de leur corps, une saine puanteur de marée, monta du ventre plein de la corbeille.




5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 23 oct. 2016

Dans la 1er question on te demande qu'elle sont les premiers mots de l'histoire "en gros" et puis tu développe en donnent ton avis et ton point de vus sur le pourquoi du comment ...

 

Pour la 2eme question c'est plutôt simple, lis les trois textes et compares les pour t'aider fait un tableau avec trois colonnes chaque colonnes représente une partie de l'histoire et tu note les différence après tu forme simplement des phrases a partir de ton tableau. Dans ta comparaissons on te demande de comprendre et décrire un peu la façon qu'à l'auteur de présenter les personnages et les époques (cadre spatio-temporel) (encore une fois tu peut faire un tableau).

En espèrent t'avoir aidé!  

Anonyme
Posté le 23 oct. 2016

J'ai pas compris 

Anonyme
Posté le 23 oct. 2016

C'est quoi que tu ne comprend pas ?

Anonyme
Posté le 23 oct. 2016

Ce que tu m'a dit 

Anonyme
Posté le 23 oct. 2016

Pour la première question tu dois prendre la première phrase "La petite ville de Verrières peut passer pour l’une des plus jolies de la Franche-Comté." et expliquer et donner ton point de vue sur les informations de cette phrase. 

Pour la seconde question tu dois :

lire les 3 partie de l'histoires . et cité les comparaisons entre les 3 textes , en même temps tu dois décrire la façon qu'a l'auteur de décrire les personnages et les époques entre les textes . 

 

J'espere que tu as enfin compris.


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