Préparation brevet - correction extrait de vipère au poing

Publié le 16 juin 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 19 juin 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

Bonsoir à tous, 

J'ai un devoir de français pour demain, c'est une préparation brevet de français du manuel "jardin des lettres" 2012 de Magnard, et je bloque sur la dernière question! Si quelqu'un pourrait m'aider ça serait génial! Voici l'extrait :

"-allons, venez les enfants , reprit-elle d'un ton neutre. Il faut aller vous lavez les mains.

La manœuvre consistait a nous isoler des témoins. Mme Rézeau se contint jusqu'au palier. Mais la... les pieds, les mains, les cris, tout partit a la fois. le premier qui lui tomba sous la patte fut Cropette, et dans sa fureur, elle ne l'épargna point. Notre benjamin protestait en se couvrant la tête :" mais maman moi je n'y suis pour rien !"

Petit salaud qui l'appelait maman! Folcoche (surnom donné a la mère) le lâcha pour se ruer sur nous. Remarquez que, d'ordinaire, elle ne nous battait jamais sans nous donner les motifs. Ce soir la, aucune explication. elle réglait ses comptes. Freddy se laissa faire. il avait un chic particulier pour lasser le bourreau en s’effaçant sous les coups, en le contraignant à frapper à bout de bras. Quand a moi, pour la première fois, je me rebiffai. Folcoche reçut dans le tibias quelques répliques du talon, et j’enfonçais 3 fois le coude dans le sein qui ne m'avait pas nourri. Evidemment, je payai très cher ces fantaisie. Elle abandonna tout a fait mes frères, qui se réfugièrent sous une console, et me battit durant un quart d'heure, sans un mot, jusqu'à épuisement. J’étais couvert de bleus en rentrant dans ma chambre, mais je ne pleurais pas. Ah! non. Une immense fierté me remboursait au centuple.

Au souper, papa ne put ne pas remarquer les traces du combat. Il fronça les sourcils, devint rose...Mais sa lâcheté eut le dessus. Puisque cet enfant ne se plaignait pas, pourquoi rallumer la guerre? Il trouva seulement le courage de me sourire. les dents serrées, les yeux durs, je le fixai longuement dans les yeux. Ce fut lui qui baissa les paupières. Mais, quand il les releva, je lui rendis son sourire, et ses moustaches se mirent a trembler."

La question étant : Montrer que le récit révèle l'évolution du caractère du héros. Présentez les nouveaux traits de son caractère en les justifiant par des exemples précis.

Merci d'avance.

Où j'en suis dans mon devoir

Je n'ai toujours pas la réponse, après multiplie recherche, regarder partout sur le web je ne trouve rien pour m'aider.. 




3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 16 juin 2014

le héros se rebiffe :

.il rend des coups à sa mère ,il ne pleure pas

.il défie son père du regard 

Anonyme
Posté le 16 juin 2014

Merci beaucoup ! 

willffy
willffy
Posté le 17 juin 2014

Quand a moi, pour la première fois, je me rebiffai. Folcoche reçut dans le tibias quelques répliques du talon, et j’enfonçais 3 fois le coude dans le sein qui ne m'avait pas nourri. Evidemment, je payai très cher ces fantaisie. Elle abandonna tout a fait mes frères, qui se réfugièrent sous une console, et me battit durant un quart d'heure, sans un mot, jusqu'à épuisement. J’étais couvert de bleus en rentrant dans ma chambre, mais je ne pleurais pas. Ah! non. Une immense fierté me remboursait au centuple.

Au souper, papa ne put ne pas remarquer les traces du combat. Il fronça les sourcils, devint rose...Mais sa lâcheté eut le dessus. Puisque cet enfant ne se plaignait pas, pourquoi rallumer la guerre? Il trouva seulement le courage de me sourire. les dents serrées, les yeux durs, je le fixai longuement dans les yeux. Ce fut lui qui baissa les paupières. Mais, quand il les releva, je lui rendis son sourire, et ses moustaches se mirent a trembler."


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