Travail d'écriture Roméo & Juliette

Publié le 26 mai 2015 il y a 8A par Anonyme - Fin › 29 mai 2015 dans 8A
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Sujet du devoir

Bonjour,
J'ai un travail d'écriture à faire en Français pour demain mais je n'y arrive vraiment pas, je ne trouve aucune inspiration... Voila le sujet :

Un convive observe la rencontre de Roméo et Juliette et en fait un récit. Transformez la partie de la scène relatant la rencontre entre Roméo et Juliette en un récit. Vous vous appuierez sur le texte de Shakespeare. Votre narration peut être courte ou longue.

Où j'en suis dans mon devoir

Bonjour,
J'ai un travail d'écriture à faire en Français pour demain mais je n'y arrive vraiment pas, je ne trouve aucune inspiration... Voila le sujet :

Un convive observe la rencontre de Roméo et Juliette et en fait un récit. Transformez la partie de la scène relatant la rencontre entre Roméo et Juliette en un récit. Vous vous appuierez sur le texte de Shakespeare. Votre narration peut être courte ou longue.




9 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 26 mai 2015

Sans le texte, c'est difficile voire impossible.

Anonyme
Posté le 26 mai 2015

Je peux envoyer le texte de la rencontre si vous voulez.

willffy
willffy
Posté le 26 mai 2015

Le début simplement.

niogret2m
niogret2m
Posté le 26 mai 2015

ROMÉO, à un valet, montrant Juliette. - Quelle est cette dame qui enrichit
la main de ce cavalier, là-bas ?
LE VALET. - Je ne sais pas, monsieur.
ROMÉO. - Oh ! elle apprend aux flambeaux à illuminer ! Sa beauté est
suspendue à la face de la nuit comme un riche joyau à l'oreille d'une
Éthiopienne ! Beauté trop précieuse pour la possession, trop exquise pour
la terre ! Telle la colombe de neige dans une troupe de corneilles, telle
apparaît cette jeune dame au milieu de ses compagnes. Cette danse finie,
j'épierai la place où elle se tient, et je donnerai à ma main grossière le
bonheur de toucher la sienne. Mon coeur a-t-il aimé jusqu'ici ? Non ;
jurez-le, mes yeux ! Car jusqu'à ce soir, je n'avais pas vu la vraie beauté.
TYBALT, désignant Roméo. - Je reconnais cette voix ; ce doit être un
Romeo et Juliette
SCENE V 24
 
Montague... (À un page. ) Va me chercher ma rapière, page ! Quoi ! le
misérable ose venir ici, couvert d'un masque grotesque, pour insulter et
narguer notre solennité ? Ah ! par l'antique honneur de ma race, je ne crois
pas qu'il y ait péché à l'étendre mort !
PREMIER CAPULET, s'approchant de Tybalt. - Eh bien ! qu'as-tu donc,
mon neveu ? Pourquoi cette tempête ?
TYBALT. - Mon oncle, voici un Montague, un de nos ennemis, un
misérable qui est venu ici par bravade insulter à notre soirée solennelle.
PREMIER CAPULET. - N'est-ce pas le jeune Roméo ?
TYBALT. - C'est lui, ce misérable Roméo !
PREMIER CAPULET. - Du Calme, gentil cousin ! laisse-le tranquille ; il a
les manières du plus courtois gentilhomme ; et, à dire vrai, Vérone est fière
de lui, comme d'un jouvenceau vertueux et bien élevé. Je ne voudrais pas,
pour toutes les richesses de cette ville, qu'ici, dans ma maison, il lui fût fait
une avanie. Aie donc patience, ne fais pas attention à lui, c'est ma volonté ;
si tu la respectes, prends un air gracieux et laisse là cette mine farouche qui
sied mal dans une fête.
TYBALT. - Elle sied bien dès qu'on a pour hôte un tel misérable ; je ne le
tolérerai pas !
PREMIER CAPULET. - VOUS le tolérerez ! qu'est-ce à dire, monsieur le
freluquet ! J'entends que vous le tolériez... Allons donc ! Qui est le maître
ici, vous ou moi ? Allons donc ! Vous ne le tolérerez pas ! Dieu me
pardonne ! Vous voulez soulever une émeute au milieu de mes hôtes !
Vous voulez mettre le vin en perce ! Vous voulez faire l'homme !
TYBALT. - Mais, mon oncle, c'est une honte.
PREMIER CAPULET. - Allons, allons, vous êtes un insolent garçon. En
vérité, cette incartade pourrait vous coûter cher : Je sais ce que je dis... Il
faut que vous me contrariiez !... Morbleu ! c'est le moment !... (Aux
danseurs.) À merveille, mes chers coeurs !... (À Tybalt.) Vous êtes un
faquin... Restez tranquille, sinon... (Aux valets.) Des lumières ! encore des
lumières ! par décence ! (À Tybalt. ) Je vous ferai rester tranquille, allez !
(Aux danseurs.) De l'entrain, mes petits coeurs !
TYBALT. - La patience qu'on m'impose lutte en moi avec une colère
obstinée, et leur choc fait trembler tous mes membres... Je vais me retirer ;
mais cette fureur rentrée, qu'en ce moment on croit adoucie, se convertira
Romeo et Juliette
SCENE V 25
 
en fiel amer (Il sort. )
ROMÉO, prenant la main de Juliette.
- Si j'ai profané avec mon indigne main cette châsse sacrée, je suis prêt à
une douce pénitence : permettez à mes lèvres, comme à deux pèlerins
rougissants, d'effacer ce grossier attouchement par un tendre baiser.
JULIETTE. - Bon pèlerin, vous êtes trop sévère pour votre main qui n'a
fait preuve en ceci que d'une respectueuse dévotion. Les saintes mêmes ont
des mains que peuvent toucher les mains des pèlerins ; et cette étreinte est
un pieux baiser
ROMÉO. - Les saintes n'ont-elles pas des lèvres, et les pèlerins aussi ?
JULIETTE. - Oui, pèlerin, des lèvres vouées à la prière.
ROMÉO. - Oh ! alors, chère sainte, que les lèvres fassent ce que font les
mains. Elles te prient ; exauce-les, de peur que leur foi ne se change en
désespoir.
JULIETTE. - Les saintes restent immobiles, tout en exauçant les prières.
ROMÉO. - Restez donc immobile, tandis que je recueillerai l'effet de ma
prière. (Il l'embrasse sur la bouche.) Vos lèvres ont effacé le péché des
miennes.
JULIETTE. - Mes lèvres ont gardé pour elles le péché qu'elles ont pris des
vôtres.
ROMÉO. - Vous avez pris le péché de mes lèvres ? ô reproche charmant !
Alors rendez-moi mon péché. (Il l'embrasse encore. )
JULIETTE. - Vous avez l'art des baisers.

Anonyme
Posté le 26 mai 2015

Merci beaucoup pour ce dialogue mais les consignes étaient sous forme de récit. Je vais essayé de le modifier en me basant sur ton travail.

willffy
willffy
Posté le 26 mai 2015

c'est lors de la dernière soirée donnée par les Capulet, que Roméo a vu Juliette pour la première fois . Il avait osé venir dissimulé sous un masque, ce qui ne manqua pas de fâcher  Tybalt Capulet.

Mais d'abord, Roméo, l'inconscient,  était fasciné par cette demoiselle , sa beauté irradiait tel un flambeau , et Roméo en était aveuglé....

Merci Prairiale.

Anonyme
Posté le 26 mai 2015

Merci beaucoup pour ce début, je vais m'en inspirer...

willffy
willffy
Posté le 26 mai 2015

Bonne suite!

 

Anonyme
Posté le 28 mai 2015

Tu peux en parler comme si tu étais Tybalt qui voyais le coup de foudre se faire alors qu'il déteste bien sur Roméo


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