Trouvez vous mon texte bon ?

Sujet du devoir

C'est pour l'Hda.

C'est une oeuvre qui s'appelle le dernier jour d'un condamné.

Est ce bien expliquez , est ce bien détaillé ?

Où j'en suis dans mon devoir

Le dernier jour d'un condamné

Le dernier jour d'un condamné.

Je vais vous présenter « le dernier jour d'un condamné », c'est un roman de victor Hugo publié en 1829 .

Victor Hugo :
Victor Hugo est un célèbre écrivain engagé notament contre la peine de mort, mais c'est également un poète lyrique et dramaturge français.
Il est né en 1802 et est décédé en 1885 à l'age de 83ans.
Victor Hugo est le chef de fil du mouvement romantique, c'est un mouvement littéraire qui privéligie notament l'expression du moi et les thèmes de la nature et l'amour.

Résumé :
Ce roman se présente comme un journal qu'un condamné à mort écrit durant les ving-quatre dernière heures de son existance, et dans le quel il relate ce qu'il a vécu depuis le début de son procès jusqu'au moment de son exécutions , soit environ six semaine de de vie.
Le lectur connait rien de l'identité de cet homme appart qu'il avait un femme et une fille qui s 'appelait Marie..
Nous ignorons aussi ce qu'il a fait pour être condamné si ce n'est qu'il a commis un crime de sang comme il le dit dans le roman « moi qui qui ai commis un véritale crime, qui ai versé du sang ».
Tout au long de ce roman il exprime ses sentiments sur sa vie antérieurs et ses états d'âmes.
Il ne cesse d'écrire jusqu'au moment de son exécution, la roman s'achève sur l'heure ou a eu lieu cette dernière.

Dans ce roman le personnage principale est un humain ordinaire, il n'a pas l'air d'un truand.
Il semble cultivé car il sait lire et écrire.
Il est le jouet de plusieurs sentiments comme la peur, l'angoisse, la colère, l'amertume, l'égoisme, le remord.
Jusqu'au bout il espéra la grace du roi qu'il n'obtiendra jamais.

Dans ce roman il y a deux axe de lectures :
L'extramuros et l'intramuros.

Tout d'abord il y a l'extramuros qui veut dire extérieur des murs.
Il n'y a pas beaucoup de page qui parle de cela.
Il se rappelle de sa vie d'avant et la regrette.
Le temps heureux, la lumière et la liberté

Puis dans une bonne partie du roman, il y a l'intramuros qui veut dire l'intérieur des murs.
Dans cette partie victor Hugo nous montrent plusieurs facette du mur.

Il y a les murs qui enferment car les murs sont haut et somrbre.
Il n'a plus d'intimité car il es tout le temps observé par le guichetier.
Comme il le dit dans le livre, il a l'impression d'être enfermé dans une boite de pierre.

Les murs qui isolent
Il est tout le temps seul, ses seules compagnons dans la cellule sont les insectes.
Il ne recoit pas ou peu de visite horrmis celle de sa fille lors de son dernier jour, cette visite qui devait le rattacher à sa vie d'avant est décevante pour lui car sa fille marie ne le reconnaît pas.

Les murs qui séparent.
Le cacgot salit tout ce qui est beau devient sombre et hideaux.
Meme sa fille devient une doublure celle de la séparation.

Les murs déshumanisent :
Il est maltraité, il cohabitent avec des gens de bas niveaux.
Il est rabessé et ridiculisé sans cesse.

Victor Hugo veut montrer que les murs ne sont pas protecteurs, il a voulu montrer leur facette sombre et sinistre.
Ils aménent le condamné a la folie, a la turture.
Les murs le tuent à petit feu.

Victor Hugo veut faire en sorte que le lecteur au lieu d'être specateur de l'histoire se mette dans la peau du personnage.
Et petit à petit, moi même j'ai commencé a rentrer dans la peau du condamné car on n'est très vite pris d'affection pour lui.
Victor Hugo veut convaincre les lecteurs que la peine de mort est une abomination.
Il dénonce la barbarie de la peine de mort et l'avilisement ( ) de l'homme.
D'ailleur il a été l'un des premier écrivain à avoir remis en cause la peine de mort.
Il eu toujours eu l'espoir qu'en lisant ses livres qu'on s'intéresse enfin à la question.
Il avait raison car la peine de mort a été aboli en France en 1981 mais ce n'est toujours pas le cas dans d'autres pays du monde.

Oeuvre en lien :

La peine capitale
C'est une huile sur toile qui mesure 166x176cm.
Elle a été peinte par Emile Friant en 1908.
Ce tableau traite lui aussi de la peine de mort.
Sur ce tableau on peut y voir un homme qui va être exécuté.
A coté de lui se trouve un prêtre qui tient un crucifix dans la main.
Ce prêtre est un peu l'ironie de l'absurde car c'est un vieil homme qui conduit un jeune homme à la mort.
Des soldats se trouvent un peu partout autour.
Au centre du tableau, se trouve la guillotine sous laquelle va être exécuté le condamné a mort.
D'ailleurs le regard angoissé du condamné se tourne vers cette guillotine, et le prêtre rempli de compassion cherche a cacher la sinistre vision en brandissant un crucifix devant son regard.
En observant bien, on peut observer en arrière plan des dizaines de silhouette qui apparaisent dans la brume et des dizaines de têtes qui s'emplient au fenêtres.
Emile friant veut alors montrer que les exécutions public sont une honte.
Emile friant dénonce également à travers ce tableau la barbarie de la peine de mort.
C'est pour çà que je l'ai mis en lien avec le dernier jour d'un condamné, cette peinture pourrait très représenté la dernière scène du roman.