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Sujet du devoir
Bonjour, il faut que j'invente une page de journal intime d'une survivante du titanic. Pas besoin de me dire de chercher des informations sur le titanic car on l'as déjà fait en classe ;). Il me faurdiat juste le témoignage en anglais svp (avec la traduction en francais!) MERCI!!
Où j'en suis dans mon devoir
j'ai dit que j'étais une passagère de 2nd classe accomlpagné de sa soeur qui est décédée lors du naufrage. il faut bien préciser les moments ressentis lors du choc
8 commentaires pour ce devoir
Attention Nounours 92, cet article est un article de presse.
Surtout ne le recopie pas.
? bah il faut que je le rende rapidement... tu ne peux pas m'aider? sinon je vais devoir le prendre je n'ai pas vraiment le choix
Non, tu ne le prends pas, ça se voit que c'est un copié/collé.
par contre tu peux t'en inspirer, utiliser du vocabulaire mais avec tes mots.
Oui dans tous les cas je comptais changer à ma facon ;)
Anne avait 19 ans un témoins ( g inventé après si tu vx changé le prénom et l'âge c'est ton choix je t'ai juste donné un exemple) Le froid était horrible. Sous le choc, en atteignant l'eau, mes poumons avaient expulsé tout l'air qu'ils contenaient. Je descendis au fond, très loin, virevoltant en tous sens. Je me mis à nager dans une direction qui me parut être celle qui m'éloignerait du navire. Je parvins à la surface, les poumons en feu, mais sans avoir avalé une goutte d'eau. Ma montre s'était arrêtée et indiquait 2 heures 22... Une sorte de halo entourait le paquebot qui se dressait dans la nuit, comme s'il était en feu. Je le regardais. Je ne sais pas pourquoi, je restais sans nager, fasciné. Le froid et la fatigue commençaient à se faire sentir, mais mon gilet de sauvetage maintenait ma tête et mes épaules hors de l'eau... Soudain, toute la structure du navire parut se scinder en deux et exploser. La seconde cheminée se souleva dans un nuage d'étincelles. Je crus qu'elle allait s'écraser sur moi. Elle s'abattit sur l'eau, me manquant de six ou neuf mètres. Les remous provoqués par sa chute m'entraînèrent au fond, encore plus loin. Je me débattis, à bout de forces.Je remontai à la surface, les bras au-dessus de ma tête pour me protéger de tout ce qui pourrait me blesser. Mes doigts sentirent quelque chose de doux et de ferme, de forme arrondie : un revêtement de liège qui n'était autre que celui dont était recouvert le fond des bateaux pliables. Celui-ci flottait dans l'eau, retourné. Quatre ou cinq hommes tentaient de grimper sur la coque, je donnai à mon tour une poussée pour me lancer hors de l'eau, mais j'étais à bout de forces. Je demandai qu'on me donne la main, quelqu'un le fit, et je me retrouvai sur le fond retourné du bateau, accroupi, en vie et face au Titanic... Il devait rester près de mille cinq cents personnes à bord, et celles qui étaient là s'amassaient en groupes, s'accrochaient par grappes entières qui finissaient par tomber, toutes ensemble ou bien à deux ou trois à mesure que les quatre-vingts mètres formant l'arrière du bateau se levaient dans le ciel... Le paquebot s'enfonça doucement dans l'eau, comme s'il faisait une glissade, et il disparut à nos yeux.
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Anne avait 19 ans un témoins ( g inventé après si tu vx changé le prénom et l'âge c'est ton choix je t'ai juste donné un exemple) Le froid était horrible. Sous le choc, en atteignant l'eau, mes poumons avaient expulsé tout l'air qu'ils contenaient. Je descendis au fond, très loin, virevoltant en tous sens. Je me mis à nager dans une direction qui me parut être celle qui m'éloignerait du navire. Je parvins à la surface, les poumons en feu, mais sans avoir avalé une goutte d'eau. Ma montre s'était arrêtée et indiquait 2 heures 22... Une sorte de halo entourait le paquebot qui se dressait dans la nuit, comme s'il était en feu. Je le regardais. Je ne sais pas pourquoi, je restais sans nager, fasciné. Le froid et la fatigue commençaient à se faire sentir, mais mon gilet de sauvetage maintenait ma tête et mes épaules hors de l'eau... Soudain, toute la structure du navire parut se scinder en deux et exploser. La seconde cheminée se souleva dans un nuage d'étincelles. Je crus qu'elle allait s'écraser sur moi. Elle s'abattit sur l'eau, me manquant de six ou neuf mètres. Les remous provoqués par sa chute m'entraînèrent au fond, encore plus loin. Je me débattis, à bout de forces.Je remontai à la surface, les bras au-dessus de ma tête pour me protéger de tout ce qui pourrait me blesser. Mes doigts sentirent quelque chose de doux et de ferme, de forme arrondie : un revêtement de liège qui n'était autre que celui dont était recouvert le fond des bateaux pliables. Celui-ci flottait dans l'eau, retourné. Quatre ou cinq hommes tentaient de grimper sur la coque, je donnai à mon tour une poussée pour me lancer hors de l'eau, mais j'étais à bout de forces. Je demandai qu'on me donne la main, quelqu'un le fit, et je me retrouvai sur le fond retourné du bateau, accroupi, en vie et face au Titanic... Il devait rester près de mille cinq cents personnes à bord, et celles qui étaient là s'amassaient en groupes, s'accrochaient par grappes entières qui finissaient par tomber, toutes ensemble ou bien à deux ou trois à mesure que les quatre-vingts mètres formant l'arrière du bateau se levaient dans le ciel... Le paquebot s'enfonça doucement dans l'eau, comme s'il faisait une glissade, et il disparut à nos yeux.
3° avertissement aujourd'hui, je signale à l'administration
La modération
c'est vraiment bien!! merci beaucoup
oui mais c'est juste un exemple c'est pris d'un article de presse juste prend quelque phrase tu vois ;)