Francais tres stp de l'aide noter

Publié le 7 sept. 2016 il y a 7A par Anonyme - Fin › 10 sept. 2016 dans 7A
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Sujet du devoir

Bonjours j'ai un probleme pour mon devoir de francais je suis malade et je dois le rendre demain stp de l'aide:

 

https://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_de_la_grandeur_et_de_la_d%C3%A9cadence_de_C%C3%A9sar_Birotteau/Chapitre_I._C%C3%A9sar_%C3%A0_son_apog%C3%A9e

Sur le lien ci-dessus, c'est de la p. 190 à 206 (les pages sont indiquées à gauche),

il faut lire cette histoir et celle ci:

Maupassant, La Parure

Elle n'avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien. Et elle n'aimait que cela ; elle se sentait faite pour cela. Elle eût tant désiré plaire, être enviée, être séduisante et recherchée.
Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant. Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse.
*
Or, un soir, son mari rentra, l'air glorieux et tenant à la main une large enveloppe.
– Tiens, dit-il, voici quelque chose pour toi.
Elle déchira vivement le papier et en tira une carte qui portait ces mots: "Le ministre de l'Instruction publique et Mme Georges Ramponneau prient M. et Mme Loisel de leur faire l'honneur de venir passer la soirée à l'hôtel du ministère, le lundi 18 janvier."
Au lieu d'être ravie, comme l'espérait son mari, elle jeta avec dépit l'invitation sur la table, murmurant:
– Que veux-tu que je fasse de cela?
– Mais, ma chérie, je pensais que tu serais contente. Tu ne sors jamais, et c'est une occasion, cela, une belle! J'ai eu une peine infinie à l'obtenir. Tout le monde en veut; c'est très recherché et on n'en donne pas beaucoup aux employés. Tu verras là tout le monde officiel.
Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience :
– Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là ?
Il n'y avait pas songé ; il balbutia :
– Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi...
Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche ; il bégaya :
– Qu'as-tu ? qu'as-tu ?
Mais, par un effort violent, elle avait dompté sa peine et elle répondit d'une voix calme en essuyant ses joues humides: 
– Rien. Seulement je n'ai pas de toilette et par conséquent, je ne peux aller à cette fête. Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera mieux nippée1 que moi.
Il était désolé. Il reprit :
– Voyons, Mathilde. Combien cela coûterait-il, une toilette convenable, qui pourrait te servir encore en d'autres occasions, quelque chose de très simple?
Elle réfléchit quelques secondes, établissant ses comptes et songeant aussi à la somme qu'elle pouvait demander sans s'attirer un refus immédiat et une exclamation effarée du commis économe.
Enfin, elle répondit en hésitant :
– Je ne sais pas au juste, mais il me semble qu'avec quatre cents francs je pourrais arriver.
ll avait un peu pâli, car il réservait juste cette somme pour acheter un fusil et s'offrir des parties de chasse, l'été suivant, dans la plaine de Nanterre, avec quelques amis qui allaient tirer des alouettes, par là, le dimanche.
Il dit cependant :
– Soit. Je te donne quatre cents francs. Mais tâche d'avoir une belle robe.
*
Le jour de la fête approchait, et Mme Loisel semblait triste, inquiète, anxieuse. Sa toilette était prête cependant. Son mari lui dit un soir: 
– Qu'as-tu? Voyons, tu es toute drôle depuis trois jours.
Et elle répondit :
– Cela m'ennuie de n'avoir pas un bijou, pas une pierre, rien à mettre sur moi. J'aurai l'air misère comme tout. J'aimerais presque mieux ne pas aller à cette soirée.
Il reprit :
– Tu mettras des fleurs naturelles. C'est très chic en cette saison-ci. Pour dix francs tu auras deux ou trois roses magnifiques.
Elle n'était point convaincue. 
– Non... il n'y a rien de plus humiliant que d'avoir l'air pauvre au milieu de femmes riches.
Mais son mari s'écria :
– Que tu es bête! Va trouver ton amie Mme Forestier et demande-lui de te prêter des bijoux. Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela.
Elle poussa un cri de joie.
– C'est vrai. Je n'y avais point pensé.
Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse. Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel:
– Choisis, ma chère.
Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail. Elle essayait les parures devant la glace, hésitait, ne pouvait se décider à les quitter, à les rendre. Elle demandait toujours:
– Tu n'as plus rien d'autre?
– Mais si. Cherche. Je ne sais pas ce qui peut te plaire.
Tout à coup elle découvrit, dans une boîte de satin noir, une superbe rivière2 de diamants ; et son coeur se mit à battre d'un désir immodéré. Ses mains tremblaient en la prenant. Elle l'attacha autour de sa gorge, sur sa robe montante. et demeura en extase devant elle-même.
Puis, elle demanda, hésitante, pleine d'angoisse :
– Peux-tu me prêter cela, rien que cela ?
– Mais oui, certainement.
Elle sauta au cou de son amie, l'embrassa avee emportement, puis s'enfuit avec son trésor.
*
Le jour de la fête arriva. Mme Loisel eut un succès. Elle était plus jolie que toutes, élégante, gracieuse, souriante et folle de joie. Tous les hommes la regardaient, demandaient son nom, cherchaient à être présentés. Tous les attachés du cabinet3 voulaient valser avec elle. Le Ministre la remarqua.
Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne pensant plus à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans la gloire de son succès, dans une sorte de nuage de bonheur fait de tous ces hommages, de toutes ces admirations, de tous ces désirs éveillés, de cette victoire si complète et si douce au coeur des femmes.
Elle partit vers quatre heures du matin. Son mari, depuis minuit, dormait dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusaient beaucoup.
Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurait avec l'élégance de la toilette de bal. Elle le sentit et voulut s'enfuir, pour ne pas être remarquée par les autres femmes qui s'enveloppaient de riches fourrures.
Loisel la retenait :
– Attends donc. Tu vas attraper froid dehors. Je vais appeler un fiacre4.
Mais elle ne l'écoutait point et descendait rapidement l'escalier. Lorsqu'ils furent dans la rue, ils ne trouvèrent pas de voiture ; et ils se mirent à chercher, criant après les cochers qu'ils voyaient passer de loin.
Ils descendaient vers la Seine, désespérés, grelottants. Enfin, ils trouvèrent sur le quai un de ces vieux coupés5 noctambules qu'on ne voit dans Paris que la nuit venue, comme s'ils eussent été honteux de leur misère pendant le jour.

 

 

et bien rependre a c'est deux question:

 

a) Que voyez-vous de commun entre ce début de roman et le début de La Parure de Maupassant (jusqu'à la l. 191) ? (10 pts)

FRANCHEMENT MERCI BEAUCOUP BEAUCOUP POUR LES AIDES 

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai repondus a tous les question sauf la  a) Que voyez-vous de commun entre ce début de roman et le début de La Parure de Maupassant 




1 commentaire pour ce devoir


Ptite Prune  <img style="width: 30px;" src="/bundles/kreactivedevoirs/img/cd/13.svg" title="Lycée Pierre Mendès-France" />
Ptite Prune <img style="width: 30px;" src="/bundles/kreactivedevoirs/img/cd/13.svg" title="Lycée Pierre Mendès-France" />
Posté le 8 sept. 2016

Bonjour,

A mon avis c'est parce que elle rentre de chez son amie est elle ne veut plus aller la voir car elle est trop pauvre.


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