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Sujet du devoir
Décrivez deux paysages, l'un faisant naitre la joie, l'autre la tristesse.
Paysage joyeux = 10 lignes ou plus
Paysage triste = 10 lignes ou plus
Où j'en suis dans mon devoir
Un beau jour d'été je décidais de m'installer à l'extérieur. Quatre chaises et une table blanche m'attendaient à la terrasse, sous l'imposante envergure du catalpa. Une fois installée à mon aise, une tasse de thé à la main, je découvrais enfin le répit qui m'était offert, l'odeur de l'herbe fraîchement coupée m'enivrait, les cinq arbres de soie (albizia) formaient un globe comme enchanteur au dessus du jardin laissant passer des filets de lumière, leurs douces fleurs rose pales s'abaissaient et se relevaient au rythme du vent si tranquille. Je décidais de quitter terrasse et souliers pour mêler mes pieds nus au gazon verdoyant. Je me rapprochais de ce très cher verger ,les cerisiers portaient avec une très grande légèreté leur délicates fleurs à peine rosées.
Soudain, j'entendis un bruit dans le ciel qui venait gâcher ma vue. Je me suis réfugiai au dessous de l'arbre et j'y suis resté à contempler le ciel.Il devint aussitôt noir, la pluie n'arrêtait pas de tomber, le vent ne cessait pas de souffler !Le paysage qui paraissait auparavant si paisible, se transformait vite en quelque chose de moins merveilleux. Le ciel obscur, le bruit inquiétant de la situation prit le dessus, le vent soufflait d'une telle force qu'il emporta tout ce qui me paraissait si merveilleux quelques instants auparavant. Après la tempête, tout ce qui m'avait émerveillé avait aussitôt disparu, cela donnait un climat inquiétant, je n'étais pas à mon aise comme tout à l'heure. Après l'orage, c'était un paysage triste qui s'offrait à moi, le vent soufflait, et la couleur du couché de soleil avait laissé place à un ciel menaçant.Les éléments naturels qui m'avaient laissé sur ma fin auparavant semblaient avoir été emporté par l'orage.
Fiche de Révision
La rédaction d'une description de paysage doit répondre à plusieurs critères.
Tout d'abord, sauf indication contraire, une rédaction se fait généralement au présent ou à l'imparfait.
Ensuite, il est vrai que les verbes d'action ne seront pas très employés, cependant, attention aux répétitions. Il faut varier le vocabulaire. On pourra utiliser des verbes d'état ou bien d'action continue ou longue/lente.
On peut employer des verbes comme :
- voir
- repérer
- sentir
- admirer
- aimer
- apprécier
- ressentir
- contempler
Justement, pour ce qui est du vocabulaire, on va rechercher les champs lexicaux :
- de la nature
- les animaux
- des paysages
- du jour / de la nuit
- des émotions
- des sentiments
Pour faire passer au mieux les émotions, il ne faut pas hésiter à s'inspirer d'un paysage qu' connait, qu'on aime ou non. Si on invente un paysage alors on peut imaginer tout ce qu'on veut, en fonction de si la description doit être réaliste ou non.
9 commentaires pour ce devoir
Un beau jour d'été je décidais de m'installer à l'extérieur. Quatre chaises et une table blanche m'attendaient à la terrasse, sous l'imposante envergure du catalpa. Une fois installée à mon aise, une tasse de thé à la main, je découvrais enfin le répit qui m'était offert, l'odeur de l'herbe fraîchement coupée m'enivrait, les cinq arbres de soie (albizia) formaient un globe comme enchanteur au dessus du jardin laissant passer des filets de lumière, leurs douces fleurs rose pales s'abaissaient et se relevaient au rythme du vent si tranquille. Je décidais de quitter terrasse et souliers pour mêler mes pieds nus au gazon verdoyant. Je me rapprochais de ce très cher verger ,les cerisiers portaient avec une très grande légèreté leur délicates fleurs à peine rosées.
Soudain, j'entendis un bruit dans le ciel qui venait gâcher ma vue. Je me suis donc réfugiai chez moi et j'y suis resté à contempler le ciel.Il devint aussitôt noir, la pluie n'arrêtait pas de tomber, le vent ne cessait pas de souffler ! Je me suis mis au lit mais le lendemain le paysage qui paraissait auparavant si paisible, s'était transformé en quelque chose de moins merveilleux.Le vent avait soufflé d'une telle force qu'il emporta tout ce qui me paraissait si merveilleux auparavant. Après la tempête, tout ce qui m'avait émerveillé avait disparu.C'était devenue un paysage triste et les éléments naturels qui m'avaient laissé sur ma fin auparavant semblaient avoir été emporté par l'orage.
Soudain, j'entendis un bruit dans le ciel qui venait gâcher ma vue. -->bruit et vue,ce ne sont pas les mêmes sens:un bruit ne peut pas gâcher la vue
Je me suis donc réfugié chez moi et j'y suis resté à contempler le ciel.Il devint aussitôt noir, la pluie n'arrêtait pas de tomber, le vent ne cessait pas de souffler ! Je me suis mis au lit mais le lendemain le paysage qui paraissait auparavant si paisible, s'était transformé en quelque chose de moins merveilleux.
Le vent avait soufflé d'une telle force qu'il emporta tout ce qui me paraissait si merveilleux auparavant. -->décris les dégâts causés par la tempête,les feuilles au sol,des branches cassées,les cerisiers ayant perdu leurs fleurs ,les chaises retournées ,etc...
Après la tempête, tout ce qui m'avait émerveillé avait disparu.-->tu te répètes
C'était devenu un paysage triste et les éléments naturels qui m'avaient laissé sur ma fin auparavant (que veux-tu dire,laisser sur sa faim =faire attendre) semblaient avoir été emportés par l'orage.
j'ai modifié mon texte est ce qu'il est mieux comme sa :
Un beau jour d'été je décidais de m'installer à l'extérieur. Quatre chaises et une table blanche m'attendaient à la terrasse, sous l'imposante envergure du catalpa. Une fois installée à mon aise, une tasse de thé à la main, je découvrais enfin le répit qui m'était offert, l'odeur de l'herbe fraîchement coupée m'enivrait, les cinq arbres de soie (albizia) formaient un globe comme enchanteur au dessus du jardin laissant passer des filets de lumière, leurs douces fleurs rose pales s'abaissaient et se relevaient au rythme du vent si tranquille. Je décidais de quitter terrasse et souliers pour mêler mes pieds nus au gazon verdoyant.
Soudain, j'entendis un orage , et les nuage dans le ciel venait me gâcher la vue. Je me suis donc réfugiai chez moi et j'y suis resté à contempler le ciel.Il devint aussitôt noir, la pluie n'arrêtait pas de tomber, le vent ne cessait pas de souffler ! Je me suis mis au lit mais le lendemain le paysage qui paraissait auparavant si paisible, s'était transformé en quelque chose de moins merveilleux.Le vent avait soufflé d'une telle force qu'il emporta tout ce qui me paraissait si merveilleux auparavant. Les branches d'arbre et les fleur d'albizia été au sol, la table retournée et les chaise éparpiller dans la terrasse... C'était devenue un paysage triste et les éléments naturels qui m'avaient émerveillé auparavant semblaient avoir été emporté par la tempête.
connais-tu le catalpa et l' albizia?tu pourrais citer des arbres plus ordinaires
n'écris pas "les cinq arbres de soie (albizia)" --> j'ai tout de suite pensé que ce n'était pas toi qui avait écrit cela à cause de la parenthèse
tiens compte des corrections d'orthographe que j'ai faites pour le 2ème paragraphe
Un beau jour d'été je décidais de m'installer à l'extérieur. Quatre chaises et une table blanche m'attendaient à la terrasse, sous l'imposante envergure du pommier. Une fois installée à mon aise, une tasse de thé à la main, je découvrais enfin le répit qui m'était offert, l'odeur de l'herbe fraîchement coupée m'enivrait, cinq albizia formaient un globe comme enchanteur au dessus du jardin laissant passer des filets de lumière, leurs douces fleurs rose pales s'abaissaient et se relevaient au rythme du vent si tranquille. Je décidais de quitter terrasse et souliers pour mêler mes pieds nus au gazon verdoyant.
Soudain, j'entendis un orage , et les nuage dans le ciel venait me gâcher la vue. Je me suis donc réfugié chez moi et j'y suis resté à contempler le ciel.Il devint aussitôt noir, la pluie n'arrêtait pas de tomber, le vent ne cessait pas de souffler ! Je me suis mis au lit mais le lendemain le paysage qui paraissait auparavant si paisible, s'était transformé en quelque chose de moins merveilleux. Le vent avait soufflé d'une telle force qu'il emporta tout ce qui me paraissait si merveilleux auparavant. Les branches d'arbre et les fleur d'albizia été au sol, ma tasse cassé, la table retournée et les chaise éparpiller dans la terrasse, une odeur de moisi avait remplacé l'odeur de l'albizia, ma villa été inondé et je ne su plus que faire, fatigué, n'ayant dormi la moitié de la nuit à cause des bruits de la tempête pendant la nuit. C'était devenu un paysage triste et les éléments naturels qui m'avaient émerveillé auparavant semblaient avoir été emportés par la tempête.
j'ai corrigé le 2ème paragraphe
je te propose de parler d'un tilleul plutôt que d'un pommier (odeur de tilleul en juillet à la floraison)
Soudain, j'entendis un orage , et les nuage dans le ciel venaient me gâcher la vue (ou assombrir l'atmosphère). Je me suis donc réfugié chez moi et j'y suis resté à contempler le ciel.Il devint aussitôt noir, la pluie n'arrêtait pas de tomber, le vent ne cessait pas de souffler ! Je me suis mis au lit mais le lendemain le paysage qui paraissait auparavant si paisible, s'était transformé en quelque chose de moins enchanteur. Le vent avait soufflé avec une telle force qu'il avait détruit tout ce qui me paraissait si merveilleux la veille. Les branches d'arbre et les fleur d'albizia étaient au sol, ma tasse cassée, la table retournée et les chaise éparpillées sur la terrasse, une odeur de moisi avait remplacée le parfum de tilleul (l'albizia n'est pas parfumé et le tilleul est en fleur en juillet), ma villa était inondée (je supprime car avant tu dis que tu as dormi). C'était devenu un paysage triste et désolé qui n'invitait plus au repos.
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c'est bien de chercher l'inspiration mais moins bien de copier
je trouve que le texte ne répond pas entièrement au sujet,tu dois juste décrire le paysage,ce que tu perçois et ne pas t'y mettre en scène
c'est une bonne idée de décrire le mm endroit sous un aspect joyeux puis triste ;en plus des changements dus à la météo,tu peux parler d'un paysage que tu revois dévasté après un incendie ou laissé à l'abandon et envahi de broussailles ou de ruines