Texte autobiographique .

Publié le 17 oct. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 19 oct. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

La consigne : Ecrire un texte a la maniere de Rousseau ou de Hurtevent en parlant d'un souvenir d'enfance .

Un lit, une armoire, une fenêtre, le lit de ma soeur de 13 ans mon ainée : C'est ainsi qu'était meublée ma chambre de petite garçon. Je me souviens très bien de la tapisserie : c'était des personnages . Mais ces personnages sortaient du commun : Les dames, portaient une belle robe à la manière des dames de la coure ; Les monsieurs en costume, très distingué . Mais aussi des guerriers. Combien de temps ai-je rêvé devant cette tapisserie ? Que se passait il là bas? Il y avait peut être un village où les gens faisait la fête. Parfois j'imaginais un renard affolé poursuivi par des cavaliers en tenue rouge débouchant au milieu de la scène et provoquant le cahot. Elle était pourtant plutôt triste cette tapisserie, sans trop de couleurs, mais cela n'avait pas d'importance, elle m'emmenait au pays des rêves chaque fois que je m'ennuyais, allongée dans mon lit.
Une autre chose que j'aimais dans cette chambre c'était mon lit, justement. Un grand lit en bois, costaud ou il manquait un barreau . Ca me permettait de me faire la malle quand bon me semblait. Je n'avais qu'à me glisser par ce trou, qui parait aujourd'hui vraiment très étroit, et je pouvait partir vagabonder dans la maison. Il est vrai que lorsque je me baladais de nuit, ça ne me portais généralement pas chance : je finissais souvent en roulé boulé en bas de l'escalier. Et lorsque mon lit devenait terrain de jeu, le lit devenait la passerelle de mon navire, le sas de mon sous marin, le pont levis de mon chateau. Mais lorsqu'il était l'heure d'aller se coucher j’étais triste, car toute mon imaginations s’arraitait ; je me glissais alors sous les couvertures, on éteignait la lumière et j'entendais ma soeur qui me disait "Bonne nuit petite Frère. Fais de beaux rêves." et je répondais sur le même ton "Bonne nuit grande soeur."

Où j'en suis dans mon devoir

Je vous est ecris le texte, apres a vous de me dire comment faire pour le mette en autobiographique merci



2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 17 oct. 2010
Un lit, une armoire, une fenêtre, le lit de ma petite sœur de 13 ans mon ainée ... je visionne encore parfaitement dans ma tête ma chambre d'enfant. Je me souviens très bien, sur la tapisserie brodée l'on pouvait apercevoir la représentation de dames, portant une belles robes ... un peu comme les princesses et courtisanes d'autrefois. Les messieurs en costumes, très distingués ; les guerriers revenant victorieux de bataille imaginaire ; ... tout été encore là, dans ma tête. Combien de temps ai-je perdu en rêvassant betemment devant cette tapisserie, et en restant enfermé des heures durant dans le grand salon ?

HS/ Mais qu'est-ce que c'est que ce cette suite ?? Votre texte ne veut plus rien dire à partir d'ici ! J'arrête là la correction et les modifications ; puisque je ne comprends plus rien. /HS

Il y avait peut être un village où les gens faisait la fête. Parfois j'imaginais un renard affolé poursuivi par des cavaliers en tenue rouge débouchant au milieu de la scène et provoquant le cahot. Elle était pourtant plutôt triste cette tapisserie, sans trop de couleurs, mais cela n'avait pas d'importance, elle m'emmenait au pays des rêves chaque fois que je m'ennuyais, allongée dans mon lit.
Une autre chose que j'aimais dans cette chambre c'était mon lit, justement. Un grand lit en bois, costaud ou il manquait un barreau . Ca me permettait de me faire la malle quand bon me semblait. Je n'avais qu'à me glisser par ce trou, qui parait aujourd'hui vraiment très étroit, et je pouvait partir vagabonder dans la maison. Il est vrai que lorsque je me baladais de nuit, ça ne me portais généralement pas chance : je finissais souvent en roulé boulé en bas de l'escalier. Et lorsque mon lit devenait terrain de jeu, le lit devenait la passerelle de mon navire, le sas de mon sous marin, le pont levis de mon chateau. Mais lorsqu'il était l'heure d'aller se coucher j’étais triste, car toute mon imaginations s’arraitait ; je me glissais alors sous les couvertures, on éteignait la lumière et j'entendais ma soeur qui me disait "Bonne nuit petite Frère. Fais de beaux rêves." et je répondais sur le même ton "Bonne nuit grande soeur."
Anonyme
Posté le 17 oct. 2010
Ah d'accord ... vous parlez encore de cette tapisserie ... mais c'est très mal rédigé : personne ne comprend où est exactement la tapisserie dans la maison.

Bon, je reprends :

Au milieu de tout ces personnages fictifs, de ses annimaux des bois et de ces demoiselles perdues dans dans dongers ; il y avait un grand village, plein de vie, ... Parfois j'imaginais un renard affolé poursuivi par des cavaliers en tenue rouge débouchant au milieu de la scène et provoquant le cahot (HS : complètement nul. Je vous conseille d'enlever cette phrase).

Cette grande tapisserie était terne, vieillie par le temps, elle avait perdue ses couleurs d'autrefois et aujourd'hui, plus personne ne la comptemplait comme il se devait. Un peu comme les tableaux vendu en grandes surfaces représentant des cerfs rouges vifs se couchant près d'un ruisseau mauve ; ou les mauvaises imitations des maîtres de la peintures reproduites en centaines d'exemplaires dans les pays de l'est, et revendu pour un prix misérable dans les pays de l'Occident ... ma tapisserie était devenu un linge de mauvais goût, à mi-chemin entre une imitation de Kouns et la robe turque du tableau de Picasso.

Ce comble du mauvais goût n'avait guère d'importance, elle m'emmenait au pays des rêves chaque fois que je m'ennuyais, allongée dans mon lit.

(HS/ Ridicule encore une fois ... on est pas chez Peter Pan ici !!)

La flemme de continuer. ^^

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