Expression ecrite

Tout est dit, il faut reprendre le livre de robinson crusoe. Si tu ne l'a pas lu chercher un résumé sur internet.

j'imagine qu'il faut décrire comment seule une personne peut survivre sur l'île:

-récolter les fruits des arbres: difficulté: il faut grimper aux arbres, trouver une technique pour atteindre le sommet de l'arbre ou la rareté des fruits il faut donc les consommer avec modération.

-comment trouver de l'eau? récolter l'eau de pluie, difficulté: absence de pluie, technique mise en place pas assez efficace...

-construire un abri sans outils mais le vent le détruit... 

-pour se laver? l'océan mais il faut faire attention de ne pas être emporté par les vagues...

-pour manger il y a peut être des animaux sauvages mais finalement, la solitude pesante, transforme les animaux en véritable "amis" et donc pas possible de les tuer pour les manger...

je pense à la série TV LOST ou à un film "seul au monde" (je crois) dans ce film le personnage seul sur l'île dessine un visage sur un ballon et l'appelle "Wilson" et lui parle comme à un ami pour ne pas perdre la raison... 

tu peut dire que tu tes retrouver seul un moment et pendant que tu visite l’île tu a vu un animale rose qui ressemble fort bien a un singe commença a jouet avec toi vous devenait donc amis et décida de l'adopter     

tu raconte se qui se passe et décrit se que tu voit inspire toi des livre

puits t’avance et des indien te capture et veut tu cuir pour leur repas puits le singe rose te sauve   

raconte tes émotion 

puits tu décida de retourne a la mer et tu retrouvait les autre puits décida de rentre avec ton petit singe 

il faut bien sur que tu développe  bonne chance 

Je comprend pas tout

Texte :                   Un certain Vendredi

Seul rescapé d'un naufrage, Robinson Crusoé se retrouve sur une île déserte. Il organise sa survie. Un jour, il surprend un groupe d'indigènes en train de mettre à mort des prisonniers. Robinson intervient et parvient à sauver l'un d'eux.

En peu de temps je commençai à lui parler et à lui apprendre à me parler.

D'abord je lui fis savoir que son nom serait Vendredi ; c'était le jour où je lui avais sauvé la vie, et je l'appelai ainsi en mémoire de ce jour. Je lui ensei­gnai également à m'appeler maître, à dire oui et non, et je lui appris ce que ces mots signifiaient. Je lui donnai ensuite du lait dans un pot de terre ; j'en bus le premier, j'y trempai mon pain et lui donnai un gâteau pour qu'il fit de même : il s'en accommoda aussitôt et me fit signe qu'il trouvait cela fort bon.

Je demeurai là toute la nuit avec lui ; mais dès que le jour parut je lui fis comprendre qu'il fallait me suivre et que je lui donnerais des vêtements ; il parut charmé de cela, car il était absolument nu.

Robinson décide de retourner au lieu où il a découvert Vendredi pour vérifier si les indigènes sont partis.

Ayant alors plus de courage et conséquemment1 plus de curiosité, je pris mon Vendredi avec moi, je lui mis une épée à la main, sur le dos l'arc et les flèches, dont je le trouvai très adroit à se servir ; je lui donnai aussi à porter un fusil pour moi ; j'en pris deux moi-même, et nous marchâmes vers le lieu où avaient été les Sauvages, car je désirais en avoir de plus amples nouvelles. Quand j'y arrivai, mon sang se glaça dans mes veines, et mon cœur défaillit à un horrible spectacle. C'était vraiment chose terrible à voir, du moins pour moi, car cela ne fit rien à Vendredi. La place était couverte d'ossements humains, la terre teinte de sang ; çà et là étaient des morceaux de chair à moitié mangés, déchirés et rôtis, en un mot toutes les traces d'un festin de triomphe qu'ils avaient fait là après une victoire sur leurs ennemis. Je vis trois crânes, cinq mains, les os de trois ou quatre jambes, des os de pieds et une foule d'autres parties du corps. Vendredi me fit entendre par ses signes que les Sauvages avaient amené quatre prisonniers pour les manger, que trois l'avaient été, et que lui, en se désignant lui-même, était le quatrième ; qu'il y avait eu une grande bataille entre eux et un roi leur voisin, - dont, ce semble, il était le sujet ; - qu'un grand nombre de prisonniers avaient été faits, et conduits en différents lieux par ceux qui les avaient pris dans la déroute", pour être man­gés, ainsi que l'avaient été ceux débarqués par ces misérables. Je commandai à Vendredi de ramasser ces crânes, ces os, ces tronçons et tout ce qui restait, de les mettre en un monceau et de faire un grand feu dessus pour les réduire en cendres. Je m'aperçus que Vendredi avait encore un violent appétit pour cette chair, et que son naturel était encore canni­bale ; mais je lui montrai tant d'horreur à cette idée, à la moindre apparence de cet appétit, qu'il n'osa pas le découvrir : car je lui avais fait parfaitement comprendre que s'il le manifestait je le tuerais.

Bonjour,

tu peux peut être parler de tes sentiments au moment où tu t'aperçois que l'on t'a abandonné : tu ne sais pas comment tu vas faire pour survivre dans cet environnement qui te semble si hostile ; bien que tu ais eu des cours sur la flore tu ne vois rien à première vu que tu pourrais manger ; tu en veux à tes amis dans le bateau de t'avoir oublié et à tes parents de t'avoir envoyé dans ce périple. Tu peux dire que le soir même après que l'on t'ai oublié il y a un énorme orage. Tu cherches un endroit pour te cacher et dans la panique et l'obscurité tu trébuches sur une racine et tu t’assommes en tombant à terre. Lorsque tu te réveilles un primate est près de toi. Il ne semble pas effrayé et il te tend même à manger. Une belle amitié va naître entre ce primate qui va t'apprendre à survivre sur cet île et toi. Lorsque l'on revient te chercher, tu es soulagée mais à la fois très triste de quitter celui sans lequel tu serais probablement morte.

Après à toi de rédiger, il y a largement de quoi faire cinq pages entre les descriptions de l'environnement et de ce que tu ressens et la narration des évènements.

Bon courage!