La parodie en francais

Publié le 14 févr. 2016 il y a 8A par Anonyme - Fin › 17 févr. 2016 dans 8A
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Sujet du devoir

Expliquer en quoi les deux extraits " Il voit venir le limaçon, la lance au poing" et "le duel d'ysengrin et de renart" se montrent-ils parodiques ?

Il voit venir le limaçon, la lance au poing:

Renart vient de dérober à un écuyer son faucon et un tambour (dont on se sert à la chasse pour faire envoler les oiseaux). Il rencontre son ennemi le limaçon.

Voici Renart entré dans le bois, mais avant d’être allé très loin, il voit venir le limaçon la lance au poing, l’écu au bras, solide-ment campé sur son cheval, bien armé, le heaume lacé ; il arrive piquant 1 2 des deux à travers une friche . Aussitôt qu’il voit Renart, il ressent une grande joie dans son cœur, car le goupil lui avait causé bien des 5 préjudices, beaucoup de contrariétés et de désagréments. […] Tardif […] éperonne son cheval, sans plus attendre, et frappe de sa lance Renart de telle sorte qu’il le désarçonne et le fait tomber étendu de tout son long sur le sol. Renart se remet en selle peu rassuré et humilié, et p rend son tambour par les lacets. Aussitôt il se précipite sur Tardif, et 10 il se dispose du mieux qu’il peut à le frapper. Tardif tire alors son épée et s’apprête à son tour à frapper Renart, mais celui-ci a pris les devants, 3 et il le frappe d’un tel coup de son tambour qu’il l’abat de son cheval de combat. De si haut comme il se trouvait, Tardif tombe à la renverse sur son écu ; et quand Renart le voit à terre, il se précipite sur lui, lui 15 ôte l’écu, et il le frappe de son tambour près de l’oreille avec tant de force que la tête en devient toute rouge de sang. Il lui écorche tout le visage ; puis il s’empare de sa lance, qui est longue, grosse et robuste, et il la lui passe à travers le corps. Il le tue, puis il s’équipe : il ceint l’épée 4 de Tardif, puis il s’en va, emportant l’écu vermeil qui brille aux rayons du soleil.

Et le deuxieme extrait : 

Le duel d'Ysengrin et de Renart : 

Renart s’agenouille sur le terrain, se prépare avec soin, puis il étend sa main sur les reliques. Il jure par Saint Germain et les reliques qu’on lui présente qu’il est accusé à tort. Il baise les reliques et se relève. Ysengrin est excédé de voir que Renart tourne tout à son avantage. Il met un genou à terre. Brichemer le cerf prend la parole :
« Cher ami, prêtez serment : Renart est un fourbe et vous, vous êtes loyal.
— Je le certifie », promet Ysengrin en baisant les reliques. Aussitôt il se redresse et se dirige vers le champ clos où il fait sa prière et s’en remet à Dieu : qu’il lui accorde de venger sa honte et de recouvrer son honneur face à Renart qui l’a outragé. Le loup baise la terre, se relève, il brandit son bâton et le fait tournoyer dans les airs, il entoure sa main de sa courroie, il prend son écu, le place contre lui, brandit à nouveau son bâton puis salue l’assistance avec distinction. Il conseille à Renart de ne pas perdre de temps.
Le combat débute et les deux adversaires essayent tant bien que mal d’avoir le dessus l’un sur l’autre.
Une fois qu’ils se sont insultés à foison, les deux barons, qui s’affrontaient en champ clos, s’élancent l’un contre l’autre, tenant leur écu avec élégance. Ysengrin jette son arme, il se prépare à en venir aux mains et lance son écu au milieu du terrain. Renart l’imite mais lui assène un coup tel que l’autre en sera marqué à vie : il lui a cassé le bras gauche. Tous deux ont laissé leur écu pour se battre au corps à corps. Ils restèrent longtemps debout. Jamais on ne vit de gens se battre autant : pas un seul des deux combattants ne parvient à abattre son adversaire. Ysengrin ne peut se servir que de son bras droit, puisque le gauche est blessé. L’un attaque, l’autre se défend : aucun des deux vassaux ne reprend son souffle. Ils font de nombreuses offensives sans que l’un d’eux ne cède. Ysengrin souffre le martyre, mais ses dents sont un peu plus aiguisées que celles de Renart : le poil dressé sur le corps, il lacère la peau de son ennemi. Renart étreint le loup sans faire semblant, lui fait un croc-en-jambe et l’éloigne de lui, le projetant à terre. Il lui fonce ensuite dessus et l’attaque de côté. Il lui brise les dents, lui crache au visage, lui enfonce le bâton dans les yeux et lui arrache les poils de la moustache : il cherche à lui faire le plus grand mal possible.

Question : En quoi ces deux extraits se montrent-ils parodiques ?

Où j'en suis dans mon devoir

Je ne comprend pas si quelqun pourrait m'aider sa serait vraiment tres gentils. Merci.




4 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 14 févr. 2016

C'est une parodie de combats de chevaliers.

Cherche les détails.

Anonyme
Posté le 14 févr. 2016

C'est une parodie de combats de chevalier pour les deux extraits ? et c'est a dire de chercher les détails ?

willffy
willffy
Posté le 14 févr. 2016

Pour le premier:combat

Pour le 2° :duel

 

En quoi est-ce un combat de chevaliers?

En quoi est-ce un duel de chevaliers?

Anonyme
Posté le 14 févr. 2016

J'ai trouver pour le duel de chevalier mais pas pour le combat de chevalier si tu pourrais m'aider s'il te plait


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