Il était une fois le conte merveilleux et explicatif

Publié le 20 févr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 26 févr. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Il faut écrire un conte EXPLICATIF du "pourquoi et du comment" qui permet d'expliquer de manière originale un aspect de monde qui nous entoure .

Votre travail comportera les différents éléments d'un conte explicatif d'un conte explicatif :

-Un titre qui commence par "pourquoi"ou"comment".
-AUTREFOIS + Situation Initiale
-UN JOUR + Élément Perturbateur
-ALORS + péripéties = événement (s) qui permette (nt), d'expliquer un phénomène précis
-DONC + élément de résolution
-C'EST AINSI QUE + situation finale = qui montre une évolution , une transformation , un changement par rapport a la situation initial

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai deja choisie mon titre

Mon titre est
"Pourquoi a-ton des peliculles sur les cheveux



11 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 20 févr. 2010
Et tu veux qu' on fasse quoi ?
Je voudrais bien t' aider mais ....
Tu veux qu' on te donne des idées ?
Anonyme
Posté le 20 févr. 2010
Tu pourais dire que pendant l'hiver, des flocons tombent et atérissent dans les cheveux. Ils ont tellement froid qu'ils se réchauffent dans les cheveux des gens. Après tu peu dévelloper...
Anonyme
Posté le 20 févr. 2010
Moi je voudrais que tu puisse me le developer S'il te plait tu a une trop bonne idée
Anonyme
Posté le 20 févr. 2010
Je vodurais que tu me donne des idée mais sur "Pourquoi a t'on des pellicules dans les cheveux ?"
Anonyme
Posté le 20 févr. 2010
Bonjour,

On a des pellicules dans les cheveux quand le cuir chevelu (qui englobe ton crâne) est agressé par le frottement (ex: si on appuie trop sur la brosse en se brossant les cheveux, si on utilise des shampoings violents pour le cuir chevelu...) cela l'agresse ce qui provoque la perdission des bouts de peau du crâne qui engendre des pellicule ;)


As-tu compris ?

En espérant t'aider,

Mathy (:

Anonyme
Posté le 21 févr. 2010
Pourquoi a-t-on des péliculles dans les cheveux ?

J'aime bien l'idée de Charlotte10310.
- Autrefois : tu pourrais expliquer comment vivaient les pellicules (petits flocons) par exemple à l'époque des mamouths.
- Un jour : Les mamouths on disparut et les pellicules se sont misent à vivre sur les Hommes.
- Alors : Les humains ce sont aperçu de ceci, et pensant que les gentils pelliculent étaient méchantes, avec l'évolution des humain ils ont créé des shampoing contre les pellicules.
- Donc : les pellicules étaient tristes et ont essayer de se faire entendre en criant trés fort
- C'est ainsi que : Un jeune garçon les as entendu et a faire connaitre à tout le monde leurs gentille existence.

Voila (:
Anonyme
Posté le 21 févr. 2010
Salut !

http://www.pourquois.com/corps_humain/pourquoi-pellicules.html

Ensuite tu peux inventer ,en racontant un conte rigolo !

Anonyme
Posté le 21 févr. 2010
Perso : J'adooore l'idée de fruiitela!!!!!!

Pour développer l'histoire de charlotte10310,il faudrait dire que c'est dans un pays où il fait extrêmement froid car sinon,les flocons qui vont se réchauffer dans les cheveux,ils risquent de fondrent!!Après tu pourrais dire que les gens du pays où ils fait très froid en on marre,et que sans savoir qu'il ont des flocons devenu pellicules dans les cheveux ,ils iraient dans un autre pays(ex:France)et qu'ils ont transmis ça à une autre personne qu'il les as transmis à d'autre !!!un truc comme ça!!!!


BONNE CHANCE!!!!!!!!!!!!!!!!!=)!^^
Anonyme
Posté le 24 févr. 2010
Tu peux aussi dire que les cheveux mangent les pelicules car il ya très longtemps une sorcière leur a donner la formule magique.
Bon
courage !!!
Loulou24
PS: J'ai pas beaucoup d'imagination car je suis
tr op les pied sur terre.
Merci dem'excuser...
Anonyme
Posté le 24 févr. 2010


L’usage de drogues devient un problème d’ordre public à partir du moment où il se fait, de façon manifeste, dans les espaces communs d’un environnement social particulier qui l’interdit, mais surtout lorsqu’il est fait par des populations en situation précaire (chômeurs, SDF, jeunes désinsérés, personnes malades, entre autres). Ces personnes, au-delà des inconvénients sanitaires liés à l’usage de substances illicites, se trouvent plongées dans des conditions extrêmement difficiles par rapport à leur insertion dans le marché du travail, à leur lieu d’habitation et à leur placement social. Tout ceci contribue à rendre incontournable la mise en place par l’Etat d’actions efficaces, à partir de ses politiques publiques, tant au nom de l’ordre social, qu’au nom de la santé publique et du bien être général.

Pour atteindre cette population d’usagers de drogues, l’Etat français dispose d’une politique publique plurielle dont les objectifs, les modes de captation du public et les méthodes de travail sont forts différents. Parmi les dispositifs intégrant cette politique, celui de la réduction des risques est le dernier à avoir été mis en place (au début des années quatre-vingt-dix) et constitue une véritable avancée en ce qui concerne : a) sa vision des usagers de drogues, b) sa mission au regard de cette population et de l’Etat et, c) les moyens qu’il utilise pour aboutir cette mission.

A l’intérieur du dispositif de réduction des risques, il y a toute une série de structures où les conditions d’accès pour les usagers sont presque inexistantes et que l’on appelle structures bas seuil. « Leur action s’inscrit dans un processus qui vise à reconstruire une base d’adhésion aux règles de la vie sociale en redonnant aux usagers de drogue les plus marginalisés, l’usage des biens et des services collectifs auxquels ils aspirent, sans que des conditions préalables ou des contreparties soient exigées »[1]. Mais ce qui fait de cette initiative un véritable espace d’innovation tient à l’intérêt porté au besoin d’interaction et d’échange entre les usagers de drogues et les intervenants, au regard du principe de base selon lequel il est impératif que les usagers soient considérés comme des citoyens à part entière, pour que la construction de cette expérience de travail avec eux soit possible.

Paradoxalement, jusqu’à maintenant, les travaux réalisés en sociologie autour du bas seuil, se sont focalisés sur la compréhension de l’univers pratique -et même symbolique- des intervenants, comme si au-delà des récits de vie et des carrières d’usage -lesquels profitent d’une certaine légitimité ethnographique-, le travail avec les usagers relevait plutôt du champ de la psychologie. Cependant, il n’est pas seulement légitime mais nécessaire de rentrer dans une analyse sociologique multilatérale du fonctionnement du dispositif de réduction des risques et pour cela, l’analyse des pratiques et des discours des usagers de drogues qui fréquentent les espaces bas seuil constituent des éléments clés. Considérer que leurs actes et leurs paroles ont un sens[2] dont doivent découler les actions entreprises à leur égard, tel est le positionnement épistémologique qui a orienté ma démarche de travail.

Anonyme
Posté le 24 févr. 2010
La formation des pellicules est un phénomène normal, la peau du crâne se renouvelle, et la plupart du temps on ne s'en rend même pas compte. Ce qui n'est pas normal, c'est un nombre de pellicules important, accompagné de démangeaison du cuir chevelu.

Les raisons de l'apparition de pellicules en surnombre peuvent provenir d'un stress, d'une mauvaise alimentation, ou de l'utilisation d'un shampoing de mauvaise qualité. Essayer de traiter ce problème avec l'aide de votre coiffeur, il vous conseillera des shampoings de professionnels, adaptés. Si cela ne suffit pas, consultez un dermatologue pour trouver la cause exacte du phénomène, et le traiter.
ET JE PENSE QUE TU POURRA TROUVER DANS TON SITE http://www.coiffuretendance.net/articles/j-ai-des-pellicules--pourquoi--.html AUREVOIR

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