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Sujet du devoir
Grandeur et misère de la vie d’ écrivainEvcrivain,je réfléchis sur moi-même. Lecteur. Je suis de l’autre cote de la barricade.je m’y sens mal a l’aise.
J’ai parle de cette vieille dame qui me persecutait,me tirant a onze heures du soir de mon premier sommeil pour me reprocher d’avoir refuse un manuscrit de son fils « authentique génie. » depuis quelques semaines, je suis a nouveau poursuivie par un vieilantiquaire,qui brule de me montrer le manuscrit »plein de promesses »de sa »protégée »,la jeune Dominique.Coup classique.je réponds evasivement.Qu’elle envoie son manuscrit ;je le lirai. Mais ce qu’elle veut, ce qu’ils veulent, c’est me voir.je ne suis pas pourtant pas bien celebre,mais cela suffit, apparemment, pour qu’un certain nombre de personnes désirent me contempler, comme un monument, et sans que cela aille plus loin.je me souviens qu’une dame d’aspect efface, m’ayant arrêtée dans un Prisunic me demanda : »vous êtes bien François Mallet-Joris ?-oui, madame.
-ah ! »et elle me contemplalonguement,de la tête (hirsute, par malheur, ce jour-la)aux pieds, sans ajouter une seule parole, sans gêne pourtant, ni timidé, en prenant son temps. Cela m’avait agacée prodigieusement. L’insistance de Dominique et de son vieil ami tombait mal. J’etais débordée de travail ;après Pauline,Alberte faisait cette »coqueluche rentrée »si éprouvante pour les parents ;min livre n’avançait pas, mais la pile de manuscrit et de factures a cote de mon lit augmentait. Le téléphoné sonnait sans arrêt(une fois sur deux c’était l’antiquaire auquel je répondais d’une voix flûtée que ma maman n !était pas la).puis ce furent des pneumatiques, d’un ton de plus en plus pressant presque dramatique.Il me suppliait, me conjurait :une heure !une heure seulement !c’était pour lui d’une importance capitale. Il soulignait deux fois, an rouge.ıl m’envoya des hortensias.
J’eus honte…
INTERROGATOIRE
1. ECRİVAİN ET LECTEUR
a. Pourquoi l’auteur n’aime-t-elle pas lire les « manuscrits »qu’on lui soumet ?quelle attitude adopte-t-elle alors ?
b.Pour quelles raisons ses « persécuteurs »veulent-ils a tout prix lui faire lire leurs œuvres. Ou celles de leurs protégés ?qu’attendent-ils d’elle ?
GRADES ET PETİTES MİSERES
a. Parmi les soucis qui préoccupent l’auteur, distinguez ceux qui sont propres a son metier,et ceux qui sont communs a n’importe quelle femme.
b.Comment »les autres »la considèrent-ils ?comment ressent-elle cette idée que l’on se fait d’elle-même ?
Où j'en suis dans mon devoir
Grandeur et misère de la vie d’ écrivainEvcrivain,je réfléchis sur moi-même. Lecteur. Je suis de l’autre cote de la barricade.je m’y sens mal a l’aise.
J’ai parle de cette vieille dame qui me persecutait,me tirant a onze heures du soir de mon premier sommeil pour me reprocher d’avoir refuse un manuscrit de son fils « authentique génie. » depuis quelques semaines, je suis a nouveau poursuivie par un vieilantiquaire,qui brule de me montrer le manuscrit »plein de promesses »de sa »protégée »,la jeune Dominique.Coup classique.je réponds evasivement.Qu’elle envoie son manuscrit ;je le lirai. Mais ce qu’elle veut, ce qu’ils veulent, c’est me voir.je ne suis pas pourtant pas bien celebre,mais cela suffit, apparemment, pour qu’un certain nombre de personnes désirent me contempler, comme un monument, et sans que cela aille plus loin.je me souviens qu’une dame d’aspect efface, m’ayant arrêtée dans un Prisunic me demanda : »vous êtes bien François Mallet-Joris ?-oui, madame.
-ah ! »et elle me contemplalonguement,de la tête (hirsute, par malheur, ce jour-la)aux pieds, sans ajouter une seule parole, sans gêne pourtant, ni timidé, en prenant son temps. Cela m’avait agacée prodigieusement. L’insistance de Dominique et de son vieil ami tombait mal. J’etais débordée de travail ;après Pauline,Alberte faisait cette »coqueluche rentrée »si éprouvante pour les parents ;min livre n’avançait pas, mais la pile de manuscrit et de factures a cote de mon lit augmentait. Le téléphoné sonnait sans arrêt(une fois sur deux c’était l’antiquaire auquel je répondais d’une voix flûtée que ma maman n !était pas la).puis ce furent des pneumatiques, d’un ton de plus en plus pressant presque dramatique.Il me suppliait, me conjurait :une heure !une heure seulement !c’était pour lui d’une importance capitale. Il soulignait deux fois, an rouge.ıl m’envoya des hortensias.
J’eus honte…
INTERROGATOIRE
1. ECRİVAİN ET LECTEUR
a. Pourquoi l’auteur n’aime-t-elle pas lire les « manuscrits »qu’on lui soumet ?quelle attitude adopte-t-elle alors ?
b.Pour quelles raisons ses « persécuteurs »veulent-ils a tout prix lui faire lire leurs œuvres. Ou celles de leurs protégés ?qu’attendent-ils d’elle ?
GRADES ET PETİTES MİSERES
a. Parmi les soucis qui préoccupent l’auteur, distinguez ceux qui sont propres a son metier,et ceux qui sont communs a n’importe quelle femme.
b.Comment »les autres »la considèrent-ils ?comment ressent-elle cette idée que l’on se fait d’elle-même ?
5 commentaires pour ce devoir
Quelles sont les difficultés ?
je ne peux pas comprendre le texte ce pourquoi je ne peux pas repondre les questions. J/ai besoin des reponse sous le text.
Quels sont les mots incompris dans le texte? Un dictionnaire peut être utile!
Oui, mais c'est diffile pour moi. Ce pourquoi j'ai vous demande pour m'aider. Si vous m'envoyez les reponses, ce sera parfait. Pouvez vous m'envoyez les reponses? Il y a seulment un jour pour donner ce devoir au professeur. Aidez moi sil vous plait.... :(
5
.Si vous voulez faire des progrès, il faut vous investir d’avantage dans la préparation de votre travail.
1a) L’auteur ne veut pas lire les manuscrits car elle est agacée par l’insistance des gens.
1b) Sous le prétexte de lui faire lire des manuscrits, les gens veulent la voir en personne, même si elle ne se considère pas comme un écrivain très célèbre.
2a) Souci du métier : écrire un livre, répondre au téléphone, être débordée de travail. Souci commun : ne pas se faire remarquer, passer inaperçue.
2b) Les gens la considèrent comme une personne célèbre et veulent la contempler de près et à leur aise. L’auteur n’est pas fière de cette célébrité.
1a) L’auteur ne veut pas lire les manuscrits car elle est agacée par l’insistance des gens.
1b) Sous le prétexte de lui faire lire des manuscrits, les gens veulent la voir en personne, même si elle ne se considère pas comme un écrivain très célèbre.
2a) Souci du métier : écrire un livre, répondre au téléphone, être débordée de travail. Souci commun : ne pas se faire remarquer, passer inaperçue.
2b) Les gens la considèrent comme une personne célèbre et veulent la contempler de près et à leur aise. L’auteur n’est pas fière de cette célébrité.
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