AIDE SUR UN DEVOIR OU L'ON DOIT INVENTER UN DIALOGUE !!!

Publié le 29 oct. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 3 nov. 2010 dans 13A
5

Sujet du devoir

exte :
L’enfant aime la publicité comme le sucre, sans se soucier des caries culturelles qu’elle provoque dans sa vision du monde et de lui-même .On nous dit qu’ils savent fort bien choisir entre les produits. Peut être. Mais s’ils se défendent de tel ou tel achat, ils n’échappent pas à la norme implicite et réitérée selon laquelle, pour être, il faut acheter.
On nous dit qu’ils rejettent les produits qui ne correspondent pas à leurs réclames. Peut-être. Mais ils n’en continuent pas moins de gober spot après spot, comblant la déception de l’achat passé par le fantasme de l’achat à venir. Le renouvellement des envies anesthésie les frustrations. Ainsi se crée et s’entretient un déséquilibre dynamique qui conduit à ne vivre qu’en vue de futures consommations. Exister, c’est saliver. On nous dit qu'à l'inverse des adultes ,l'enfant est surtout sensible à la valeur intrinsèque du produit . Peut-être . Mais la publicité ne s'efforce pas moins de lui associer les valeurs << socio-culturelles >> , comme on l'a vu , et de les y réduire . Comme s'il fallait imprégner l'individu le plus tôt possible de l'idée que toutes les dimensions de la vie vont pouvoir s'épuiser dans la seule consommation [...] L'effort , mens sana in corpore sano , c'est Vittel avec une grand V . Le radical changement , ce sera tel ou tel changement , ce sera tel ou tel papier-toilette . [...] On nous dit enfin , c'est l'argument massue : voyez comme l'enfant moderne est en sécurité dans cet univers d'objets ! Comme il est bien dans sa peau ! Mais c'est un consommateur né ! C'est tout le problème . Nos euphoriques publicitaires ont oublié un peu vite que l'enfant d'aujourd'hui est déjà , largement , le fruit de dix ans de spots . Dix ans qu'on installe journellement devant cette vitrine de la <>qui s'appelle télévision . Dix ans qu'on l'invite à se reconnaître dans l'enfant << heureux >> qui ne vit que dans et par la consommation , de jouets notamment .
François Brune , Le Bonheur conforme , essai sur le normalisation publicitaire .



Grand 2: En reprenant les argument utiliséé et en les developpant vous transformerreez le texte en un dialogue(type roman) ou s'affronteront un publicitire et un adversaire de la publicité.

Où j'en suis dans mon devoir

J'arrive a trouver , les arguments, mais je n'arrive pas à les mettre en place et plonger le dialogue dans un contexte



3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 30 oct. 2010
donne moi les arguments et je te les placerai
Anonyme
Posté le 30 oct. 2010
Publicitaires:
-La publicité rend l'enfant heureux!
-L'enfant se sent couvé, en sécurité par les objets achetés qui l'entourent
-Il n'y a aucun méfait car l'enfant sait choisir les produits qu'il veut acheter
F.Brune:
-La publicité, comme le sucre, est bonne en apparence, mais ses effets sont nocifs, comme les caries provoquées par le sucre.
-L'enfant est stéréotypé stigmatisé par les spots publicitaire, il lui font croire que pour se sentir mieux il faut acheter cela ou cela! "Exister c'est saliver"
-la publicité accorde des valeurs à des produits qui n'ont pas lieu d'y être associés" L'effort , mens sana in corpore sano , c'est Vittel avec une grand V ."
Anonyme
Posté le 30 oct. 2010
J'ai commencé ça donne : Alors qu'au milieu des années 1980 ,la Publicité fait partie intégrante de la vie audiovisuel des enfants, un auteur connu, à savoir François Brune, soit de l'ombre et dénonce publiquement les méfaits de la publicité sur les enfants. Face à ce mouvement de délation assez "radical", une union de publicitaires décide de rencontrer l'auteur(au siège de la première chaîne nationale) afin de comprendre que reproche cet auteur aux publicitaires, et tenter de parer d’éventuelles nouvelles attaques.
Arrivé au lieu précis du rendez vous , F.brune est accueilli très chaleureusement, comme si l'on voulait le plonger dans l'univers publicitaires, on lui propose des échantillons , des bons d'achats etc. Mais l'homme, sur de ses principes, refuse catégoriquement tout ce qu'on lui propose. Il arrive ensuite dans une salle , ou tout est fait pour qu'il se détende (fauteuil , couleur de fond , odeur), puis d'un coup comme descendu du ciel
, ses futurs interlocuteurs arrivent. F.Brune reprends ses esprits, fronce les sourcils et se prépare à la confrontation.

Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte