argument pertinent sur le poéme le cygne

Publié le 9 oct. 2019 il y a 4A par marthe.besson - Fin › 12 oct. 2019 dans 4A
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Sujet du devoir

bonjour, j'ai a trouver des arguments pertinents et littéraires pour défendre mon poéme le cygne de c.baudelaire dans les fleurs du mal. 

Où j'en suis dans mon devoir

Charles Beaudelaire a une maitrise parfaite de la versifications et une modernité novatrice et souvent surprenante. Dans son poéme le cygne, charles beaudelaire s'est inspiré des changements causés à la ville par les travaux dans le quartier qui se situe entre le louvre et les tuileries. Il transcrit la modernité de paris en pleine rénovation associé à de nombreux références mythologiques avec un alexandrin précieux. Ainsi, dès le premier vers et méme le premier mot "Andromaque", le poéte évoque la notion d'exil. En effet, andromaque (personnage à la fois mythologique historique et littéraire) ainsi que la dédicace à victor hugo sont des exilés et qui fait du poéme un éloge de l'exilé.

Le cygne est également une allégorie des exilés dans ce nouveau paris, loin de son beau lac natal (v22). 

La référence au "simois" le petit fleuve cité au vers 4 correspond au" dieu flleuve" et qui féconde la mémoire du poéte.

Le "je pense à vous andromaque" v5 montre la force du souvenir.

ps: dites moi si mes arguments sont juste et si c'est des bons arguments. merci d'vance de me répondre vite car c'est a faire pour demain 

 

 




1 commentaire pour ce devoir


gamy1
gamy1
Posté le 9 oct. 2019

Ce poème, comme bien d'autres, fait appel au mal de vivre de Baudelaire , qui adu mal à trouver sa plce et qui dans ce cas là , se sent rejeté par des lieux qui ne lui appartiennet plus.

Le poème est à la 1° personne du singulier, Baudelaire étale ses sentiments.

 

Aborde également le champ lexical:

Je ne vois qu'en esprit tout ce camp de baraques,
Ces tas de chapiteaux ébauchés et de fûts,
Les herbes, les gros blocs verdis par l'eau des flaques,
Et, brillant aux carreaux, le bric-à-brac confus.

Là s'étalait jadis une ménagerie ;
Là je vis, un matin, à l'heure où sous les cieux
Froids et clairs le Travail s'éveille, où la voirie
Pousse un sombre ouragan dans l'air silencieux,

 

Un cygne qui s'était évadé de sa cage,
Et, de ses pieds palmés frottant le pavé sec,
Sur le sol raboteux traînait son blanc plumage.
Près d'un ruisseau sans eau la bête ouvrant le bec

Baignait nerveusement ses ailes dans la poudre,
Et disait, le coeur plein de son beau lac natal :
"Eau, quand donc pleuvras-tu ? quand tonneras-tu, foudre ?"
Je vois ce malheureux, mythe étrange et fatal, 

Vers le ciel quelquefois, comme l'homme d'Ovide,
Vers le ciel ironique et cruellement bleu,
Sur son cou convulsif tendant sa tête avide
Comme s'il adressait des reproches à Dieu !

 

La mort du cygne , associée à la mort d'Andromaque

https://www.bacdefrancais.net/le-cygne-baudelaire.php


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