commentaire de texte sur le rapport de brodeck

Publié le 12 févr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 15 févr. 2010 dans 14A
10.00 / 20
5

Sujet du devoir

je voudrait avoir de l'aide pour réaliser mon plan: sur le denouement du rapport de brodeck à partir de "j'ai marché" page 373 jusqu'à la fin.

2 grandes parties avec deux sous parties minimum.
en répondant par exemple aux questions suivantes:
Que philipe claudel veut faire comprendre dans ce denouement? ou quel est l'enjeu de ce denouement?

Où j'en suis dans mon devoir

Dans ce dénouement on assiste à la fuite de bodeck et sa famille du village.

Famille de brodeck:
- Poupchette qui est sa fille
- Emelia qui est sa femme
- Férodine qui est comme sa mère adoptive

il s'enfut a travers une foret, on peut donc citer le champs lexical de la nature:
"ciel","forêts","bêtes","arbres","montagnes","rivières" ...

Ici c'est brodeck le narrateur, il raconte son histoire, sa fuite.On peut donc dire qu'il est interieur a l'histoire car il assiste à toutes les scènes.On peut également dire qu'il raconte ce dénouement d'un point de vue interne car il raconte l'histoire comme il l'a vecu, il décrit ce qu'il voit , mais ne connait pas le futur, ne connait pas les pensées des personnages.

Il est vue comme une sorte d'être puissant qui ne semble pas être atigué du voyage qu'il fait avec sa famille pour s'enfuir.
"je ne ressentais aucune fatigue"

par contre sa famille , elle était fatigué, brodeck disait même qu'il les portait toute les trois comme si il était puissant, comme si il était impatient de s'enfuir.

Durant sa fuite, Brodeck nous décrit le paysage à travers quelque nom propres : la Staubi, le pateau du Haneck, les chaumes du Bourenkopf.

pendant sa fuite il rencontre un homme "l'honmeist" qui est vue par brodeck comme une sorte de sauveur, de messi, comme si il était la pour lui montrer le chemin de fuite du village.

Quand brodeck dit "l'honmeist a courru pour grimper sur un rocher. les premières lueurs de l'aube l'ont alors éclairé." ici cet homme est vue comme une sorte de roi qui reigne par la suite il est comparé a un renard car un renard est très rapide et très malin , et lui d'un coup il disparait.

Brodeck utilise des phrases très courtes et présises pour montrer sa joie de s'être enfuit. "je suis heureux., oui, je suis heureux."

les sommets sont comprarés a une sorte de complice, car les mntagnes entourent les personnages, comme si elles assistaient a leurs fuite, comme si elles etaient témoins, mais aussi comme si elles etaient protectrice.

Plus brodeck avancait, plus son village rétréssisait, plus il disparisait.
Alors brodeck le voyait comme si les maisons était des figurines et comme si il pouvaitle prendre dans le creux de la main, comme si brodeck voualait l'ecrasé.

Mais un matin il ne le voyait plus au loin, pourtant il faisait comprendre que le mauvais temps n'était pas présent.

Le village a disparue en ne laissant rien autour de lui comme si pus brodeckavancait et plus tout s'effacait, le mal commis au village par les villageois ne semblais plus être présent.

Champs lexical du mauvais temps : "brume",nuages","brouillard".

Il avait peur d'être responsable de sa disparition.

A la fin, on a l'impression que Brodeck a peur qu'on l'oubi, a peur qu'il disparaisse, car il nous cite 4 fois son nom a la fin de l'oeuvre et dit "souvenez-vous".



0 commentaire pour ce devoir



Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte