Corpus.

Publié le 17 sept. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 19 sept. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

Bonjours , voici mes questions de corpus : 

1/ Quelle image du monstre chacun de ces texte donne t-il ? 

2/ Quels messages les auteurs veulent-ils transmettre , à votre avis ? 

 

Je dispose des extraits suivants :

- Les Essais , de Michel de Montaigne.  ( Texte 1 • )

- La belle et la bête de JM Leprince de Beaumont.  ( Texte 2 • )

- L'homme qui rit de Victor Hugo.

 

 

Voici ce que j'ai fait pour mon corpus : 

Ce corpus est composé de trois extraits de romans. Le premier , Les Essais , issu du livre II chapitre 30 à été écrit par Michel de Montaigne en 1595. Le second , Le Belle et la Bête à été écrit par JM Leprince de Beaumont en 1757 et le troisième, L'Homme qui rit à été écrit en 1869 par Victor Hugo. A travers ces 3 extraits nous allons dans un premier temps étudier l'image du monstre. Puis dans un deuxième temps , nous allons nous intéresser aux messages transmis par les auteurs.

Tout d'abord , nous allons analyser l'image du monstre de chacun des personnages de ces extraits.
Dans Les Essaies , nous voyons dès la première ligne que le personnage est un enfant. Il est décrit , à la ligne 3 comme «un enfant avec une étrangeté». Le lecteur devine que l'enfant a en réalité un frère siamois grâce aux lignes 7 et 8 : «Il était attaché et collé à un autre enfant sans tête». Il n’apparaît pas comme un monstre , mais comme on peut le voir aux lignes 12 à 15 comme une création de Dieu.
Dans La Belle et la Bête , le personnage est qualifié de «monstre» (ligne 1, 9, 5.. ) et de «bête» ( ligne 12, 20.. ). Il y a une atténuation de la monstruosité à la ligne 21 par «Pauvre monstre» , mais aussi du fait qu'il parle. Dans le dernier extrait de Victor Hugo , Gwynplaine est décrit comme un homme au visage monstrueux. On peut le voir a la ligne 57 : « Cet homme était effroyable. » et a la ligne 60 « insupportable a voir et impossible a regarder. » Le champ lexical du rire est présent , comme a la ligne 1 : »en riant » , « rire », Les citation ligne 1 à 4 donne une impression d'obsession. Le vocabulaire de l'automate ainsi que le champs lexical de la machine sont présents : on voit a la ligne 7 « rire automatique » ligne 3 : « Comme une roue se concentre sur un moyeu ».Gwynplaine est donc perçu comme un pantin/une machine , mais il est aussi perçu comme un monstre.


En second lieu , dans l'extrait Les Essais , l'enfant n’apparaît pas comme un monstre , comme on peut le voir aux lignes 12 à 15 , mais comme une création de Dieu. On comprend alors qu'il ne faut pas juger les apparences physique. A travers l'extrait de JM Leprince de Beaumont , nous pouvons voir que ce monstre à les mêmes émotions qu'un humain , les même attitudes ainsi que le même language. L'auteur veut nous transmettre qu'il ne faut pas s’arrêter uniquement à l'apparence physique d'une personne. Enfin , dans l'extrait L'Homme qui rit , on voit que le malheur qui est arrivé a Gwynplaine le rend monstrueux. L'auteur veut nous faire comprendre qu'il ne faut pas juger sans savoir ce qu'il c'est passé.

 

Ces 3 extraits on pour messages de ne pas juger les apparences physique , car derrière chaque physique se trouve un cœur.

 

 

 

Où j'en suis dans mon devoir

J'aurai besoin d'avis , sur mes tournure de phrases , si il y a des répétitions ou des éléments inutiles , si j'ai oublier beaucoup de chose.. etc. 

Je n'ai pas l'impression d'avoir fait du bon boulot.. Si quelqu'un pouvait me donner son avis. Merci. 




1 commentaire pour ce devoir


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Anonyme
Posté le 17 sept. 2014

Au lieu de "Il y a" une atténuation. Tu peux commencer directement par l'atténuation qu'on souligne telle ligne, etc. Cela fait plus fluide.

C'est une piste à explorer 


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