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Sujet du devoir
Une dissertation en français :
Selon vous, aller à la rencontre de l'autre permet-il de se connaitre soi-même ? Répondez à la question grâce à votre connaissance sur montaigne , des textes étudiés et de vos connaissance.
Où j'en suis dans mon devoir
Je souhaiterais avoir un peu d'aide pour se devoir qui est à rendre mercredi. J'ai commencé à travailler mais je n'ai jamais vraiment été exercé à la réalisation de disserte. Je me sens un petit peu perdu et j'aimerais au moins avoir de l'aide pour les parties et le corpus.
J'ai quand même commencé à travaillé dessus j'ai au brouillon séparé la question en deux d'un côté rencontre de l'autre : -les cannibales rencontrés par les français -autrui nous aide à nous voir tel que l'on est, il est une transition entre ce que l'on est et ce que l'on pense de sois. Et dans le deuxième point j'ai mis la seconde partie de la question se connaître soi-même :- la connaissance de soi par les rencontres - le regard extérieur nous force à nous remettre en question sur nos habitudes.
Comme vous le voyez je ne voles pas haut et je n'ai pas confiance en mes idées. Merci beaucoup d'avance.
1 commentaire pour ce devoir
Ils ont besoin d'aide !
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Quelques pistes pour mener la réflexion sur le sujet.
La question est de savoir si on peut mieux se connaître soi-même grâce aux autres plutôt que seul ?
- On se connaît soi-même jusqu'à un certain point:
Par exemple on connaît ses goûts, ses faiblesses et ses forces physiques et morales...
- On se connaît aussi dans son environnement: nos moeurs et croyances sont forgées par la société dans laquelle nous vivons, et nous pouvons, par la réflexion, analyser et relatativiser un certain nombre de choses.
- Mais si on rencontre des hommes d'une autre civilisation, les questions sont beaucoup plus nombreuses et amènent à relativiser encore davantage, à prendre encore plus de recul par rapport à un certain nombre de nos propres certitudes.
- Le retour sur soi-même peut-être alors enrichissant ou au contraire faire ressortir nos peurs, dont nous prenons ou non conscience.