RESUME archipel du chien

Bonjour,

J'espère que sa t'aidera :

Philip Crowder a collaboré avec L'Archipel du Chien et a signé un roman mêlant fables et polars. Il raconte l'histoire d'une île et de ses habitants, dont la vie apparemment paisible sera détruite par des accidents : Trois corps échoués sur la plage, bouleversés sur l'équilibre de vie, un projet de spa pour inciter les résidents à se montrer. Face à ces corps, les personnages du roman sont désignés selon leurs fonctions, et leurs professions (maire, curé, médecin, boulanger, enseignant, etc.) seront liées par un contrat que seul l'enseignant refuse. « Luttez contre cette alliance malsaine. Il a rappelé certaines valeurs de respect, de dignité et d'humanisme, et s'est interrogé sur les responsabilités des maires les uns envers les autres : « Si vous n'êtes pas quelqu'un qui comprend le monde, qui peut s'y aventurer, dans ces eaux dangereuses ? » Monsieur le Maire, Est-ce la personne ici ? "Et pour être précis, "quelqu'un d'ici", il n'est pas. "Rappelez au professeur qu'il ne vient pas d'ici. Il n'est pas né sur l'île. Il est différent d'eux. Vous ne pouvez que l'écouter ou le regarder. Après tout, c'est le meilleur argument sur la naissance, la communauté et la naissance. C'est grâce à cela que la civilisation peut être établie et consolidée. "Bientôt, l'enseignant rejoint la catégorie dérangeante, c'est-à-dire la catégorie de l'autre. L'autre n'est pas une personne d'ici, mais une autre personne, tout comme le « corps noir » de ces immigrés est devenu des symboles et des auteurs de prétextes à développer. lui Complot. Un symbole qui révèle une île noire, comme l'âme de ses habitants, comme la lave. Face à cet autre, la réponse n'est que méfiance et rejet. 3 C'est le côté obscur de la position dominante : La cupidité et l'égoïsme justifient la position du maire. "Les gens qui sont prêts à investir beaucoup d'argent dans le complexe immobilier aiment l'ombre et la discrétion... Ces gens détestent les ennuis, les accidents, les journalistes et les tribunaux. D'un côté, les habitants oscillent entre la calomnie, l'accusation, la bassesse, et la lâcheté. Incertain, d'autre part vacillation entre culpabilité et injustice. Puis il y a l'arrivée du ferry et "l'homme à la valise", qui serait le commissaire venu enquêter. Crowdel explore une île et le l'âme de ses habitants , A suscité l'indignation et parfois même la peur des lecteurs. C'est un roman sur l'errance humaine, sur une île anonyme qui offre un environnement familier, plein d'hostilité et de méfiance. C'est aussi une histoire de rumeurs, de racisme et de vie quotidienne Un roman lâche avec une performance narrative puissante. Le récit procède par anecdotes, superposées avec talent. On peut souligner cependant une position quelque peu moralisatrice, l’absence de suivi ou l’inconsistance des personnages féminins et parfois des ressorts qui ne provoquent pas d’émotions.

4À la fin du roman, le pacte se heurte à l’ampleur du phénomène migratoire auquel l’île est confrontée : « Qu’avions-nous donc fait pour mériter ça ? Ou qu’avions-nous pas fait ? Nous nous sommes mis à pleurer. (…) À chaque instant la mer poussait à nos pieds des dizaines de cadavres qui avaient l’âge auquel il devait être interdit de mourir et tous avaient sur le visage la même expression, grave, qui rentrait dans notre âme pour lui demander des comptes. »

5Un roman pamphlet qui dénonce aussi bien l’individualisme et les sociétés d’accueil, incapables d’hospitalité, que les manipulations, l’avidité et les bassesses car « l’amour finit par s’estomper, mais pas la détestation ».