Sujet du devoir
Bonjour, j'ai vraiment besoin d'aide sur une question SIMPLE . Je dois rediger un commentaire de texte sur un court extrait que je vous metterai sur bel ami mais je suis bloqué, je ne trouve pas d'argument pour mes 2 partie qui sont:Partie 1 : vous montrerez que la passion amoureuse dépeinte dans cet extrait n’est pas une passion
partagée.
2) Partie 2 : vous montrerez les ridicules de Mme Walter, qui n’a ici rien d’une héroïne romantique.
merci beaucoup pour toute les personne qui m'aideront et voici l'extrait:
Depuis six semaines il essayait de rompre avec elle sans parvenir à lasser son attachement
acharné.
Elle avait eu, après sa chute, un accès de remords épouvantable, et, dans trois rendez-vous
successifs, avait accablé son amant de reproches et de malédictions. Ennuyé de ces scènes, et déjà
rassasié de cette femme mûre et dramatique, il s'était simplement éloigné, espérant que l'aventure serait
finie de cette façon. Mais alors elle s'était accrochée à lui éperdument, se jetant dans cet amour comme
on se jette dans une rivière avec une pierre au cou. Il s'était laissé reprendre, par faiblesse, par
complaisance, par égards ; et elle l'avait emprisonné dans une passion effrénée et fatigante, elle l'avait
persécuté de sa tendresse.
Elle voulait le voir tous les jours, l'appelait à tout moment par des télégrammes, pour des
rencontres rapides au coin des rues, dans un magasin, dans un jardin public.
Elle lui répétait alors, en quelques phrases, toujours les mêmes, qu'elle l'adorait et l'idolâtrait, puis
elle le quittait en lui jurant qu'elle était bien heureuse de l'avoir vu.
Elle se montrait tout autre qu'il ne l'avait rêvée, essayant de le séduire avec des grâces puériles,
des enfantillages d'amour ridicules à son âge. Étant demeurée jusque-là strictement honnête, vierge de
cœur, fermée à tout sentiment, ignorante de toute sensualité, ça avait été tout d'un coup chez cette
femme sage dont la quarantaine tranquille semblait un automne pâle après un été froid, ça avait été une
sorte de printemps fané, plein de petites fleurs mal sorties et de bourgeons avortés, une étrange éclosion
d'amour de fillette, d'amour tardif, ardent et naïf, fait d'élans imprévus, de petits cris de seize ans, de
cajoleries embarrassantes, de grâces vieillies sans avoir été jeunes. Elle lui écrivait dix lettres en un jour,
des lettres niaisement folles, d'un style bizarre, poétique et risible, orné comme celui des Indiens, plein
de noms de bêtes et d'oiseaux.
Dès qu'ils étaient seuls elle l'embrassait avec des gentillesses lourdes de grosse gamine, des moues
de lèvres un peu grotesques, des sauteries qui secouaient sa poitrine trop pesante sous l'étoffe du corsage.
Il était surtout écœuré de l'entendre dire : « Mon rat », « Mon chien », « Mon chat », « Mon bijou », «
Mon oiseau bleu », « Mon trésor », et de la voir s'offrir à lui chaque fois avec une petite comédie de
pudeur enfantine, de petits mouvements de crainte qu'elle jugeait gentils, et de petits jeux de
pensionnaire dépravée.
Où j'en suis dans mon devoir
j'ai relevé quelque point sur le texte qui sont :
Un duel entre prédateur, faussement amoureux, et sa proie, faussement outrée
Duroy a une vision différente de l’alour(vision différente de l’amour)
Mme walter aime duroy tandis qu’il la repousse
Mme walter est victime de l’hypocrisie amoureuse
Point de vue interne ⇒ montre à quel point Duroy trouve Mme Walter ridicule
Mme walter est decrite comme un objet
les ridicules de Mme Walter, qui n’a ici rien d’une héroïne romantique.
Elle adopte l’attitude d’un attitude d’adolecente
lle est maladroite et ne sait pas se comporter avec les hommes. Elle est étouffante.
Sa passion débordante la rend repoussante
elle apparaît comme un personnage sans raison et pathtique
L’amour n’est pas reciproque.
Georges Duroy apparaît comme un personnage vide d’émotions
pas de reaction emmotionnele
pejoratif, critique Mme walter
Georges Duroy feint l’amour mais n’en éprouve pas le moindre symptôme
amour obssesional face au desinteraissement
passion vaine de mme walter