Commentaire sur La faute de l'abbé mouret d'émile Zola

Publié le 28 janv. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 30 janv. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Bonjour , voila j'ai un commentaire à faire sur le l'extrait de texte de La faute de l'Abbé Mouret d'Emile Zola mais j'ai du mal à interpréter, commenter.

Voici le texte :
A peine pouvait-on, à la longue, reconnaître sous cet envahissement formidable de la sève l'ancien dessin du Paradou. En face, dans une sorte de cirque immense, devait se trouver le parterre, avec ses bassins effondrés, ses rampes rompues, ses escaliers déjetés, ses statues renversées dont on apercevait les blancheurs au fond des gazons noirs. Plus loin, derrière la ligne bleue d'une nappe d'eau, s'étalait un fouillis d'arbres fruitiers; plus loin encore, une haute futaie enfonçait ses dessous violâtres, rayés de lumière, une forêt redevenue vierge, dont les cimes se mamelonnaient sans fin, tachées du vert jaune, du vert pâle, du vert puissant de toutes les essences.
A droite, la forêt escaladait des hauteurs, plantait des petits bois de pins, se mourait en broussailles maigres, tandis que des roches nues entassaient une rampe énorme, un écroulement de montagne barrant l'horizon; des végétations ardentes y fendaient le sol, plantes monstrueuses immobiles dans la chaleur comme des reptiles assoupis; un filet d'argent, un éclaboussement qui ressemblait de loin à une poussière de perles, y indiquait une chute d'eau, la source de ces eaux calmes qui longeaient si indolemment le parterre. A gauche enfin, la rivière coulait au milieu d'une vaste prairie, où elle se séparait en quatre ruisseaux, dont on suivait les caprices sous les roseaux, entre les saules, derrière les grands arbres; à perte de vue, des pièces d'herbage élargissaient la fraîcheur des terrains bas, un paysage lavé d'une buée bleuâtre, une éclaircie de jour se fondant peu à peu dans le bleu verdi du couchant. Le Paradou, le parterre, la forêt, les roches, les eaux, les près, tenaient toute la largeur du ciel.
“Le Paradou!” balbutia Serge ouvrant les bras comme pour serrer le jardin tout entier contre sa poitrine.
Il chancelait. Albine dut l'asseoir dans un fauteuil. Là, il resta deux heures sans parler. Le menton sur les mains, il regardait. Par moments, ses paupières battaient, une rougeur montait à ses joues. il regardait lentement, avec des étonnements profonds. C'était trop vaste, trop complexe, trop fort.


A quoi sert l'énumération de cette phrase :'' Le Paradou, le parterre, la forêt, les roches, les eaux, les près, tenaient toute la largeur du ciel ?''

Opposer le Champ lexical de la ruine/destruction à celui de la grandeur.

A quoi sert l'hyperboles de cette phrase : " sous cet envahissement formidable de la sève l'ancien dessin du Paradou. "

Ainsi que la Gradaction de cette phrase : ''A gauche enfin, la rivière coulait au milieu d'une vaste prairie, où elle se séparait en quatre ruisseaux, dont on suivait les caprices sous les roseaux, entre les saules, derrière les grands arbres; à perte de vue, des pièces d'herbage élargissaient la fraîcheur des terrains bas, un paysage lavé d'une buée bleuâtre, une éclaircie de jour se fondant peu à peu dans le bleu verdi du couchant."

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai posté que cela que je n'est pas réussi.
Je n'ai pas trop le temp de mettre ce que j'ai déjà répondu mais c'est bon car on l'a corrigé.
Merci de m'aider.



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