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Sujet du devoir
Bonjour, avez vous la gentillesse de corriger et d’améliorer ma nouvelle réaliste s’il vous plaît? Mon professeur de français suggère beaucoup de choses: En effet, les fautes sont beaucoup trop nombreuses: soyez particulièrement attentif à la syntaxe (phrases sans verbes, mal construite) et à la concordance des temps.
A propos du fond je vous invite à faire quelques modifications : veillez bien à la cohérence: à propos du travail du père, ce n'est pas clair. Vous pouvez également expliciter davantage les motivations du garçon. Enfin, attention à la nécessité de vraisemblance de votre nouvelle réaliste: l'armée n'est pas déployée dans les rues en France. Vous pourriez corriger cela aisément en les remplaçant facilement par des policiers.
Bon courage pour ce travail et Bonne journée!
Où j'en suis dans mon devoir
Dans les rues vides de Paris, depuis quelques jours, tous les habitants restaient dans leur foyer tout comme le monde entier en raison de la pandémie du coronavirus …
Suite de l’arrivée des soldats de l’armée, face à la maladie et toujours une présence d’un fort taux de mortalité dans chaque pays soit environ quinze mille morts à travers le monde.Phrase à revoir Une famille composée de deux parents, du fils Arthur et de leur fille Morgane. Pas de verbe dans cette phrase Le père n’avait plus de travail mais s’occupait souvent du jardin et de la cabane .la mère faisait la cuisine et le ménage dans la maison. Morgane jouait tous les jours à la poupée. Arthur jouait avec ses voitures et des lego pour de belles constructions La famille n’avait peu de moyens de s’informer des nouvelles de tous les jours. Toutefois, son père devait appeler des proches pour avoir des nouvelles à cause du travail du père qui n’aurait pas encore trouver et le manque d’argent. Ainsi, Arthur allait voir sa sœur. Il la contemplait puis leur regard se croisait et demanda à Morgane ce qu’il avait eu comme idée. En l’assurant, il lui expliqua que les jours seront en permanence pénibles pour l’un d’entre nous et que l’on devrait sans cesse trouver quelque chose à faire pour tuer l’ennui ajoutant qu’il aurait besoin pour l’intérêt de la famille. Il prenait sa sœur cadette dans ses bras, elle lui serra fort, ne pouvait pas, rien n’y fut, ni ses peurs ni ses petites larmes. Le visage, malheureux et déçu, est disparu par une promesse, son frère lui donna un sourire. La petite n’a plus que ses yeux pour son ainé ce qu’il décida de changer pour la famille. Son esprit était redevenu calme, celui des parents était moins qui l’inquiétude l’habitait. Pourtant une discussion se fut installéeentre le père et son fils :
« - Fils, tu peux dire ce qu’il se passe ici ? J’ai besoin de savoir : posé par le père avec un air inquiet. – Morgane s’ennuie beaucoup ! - Bien, je suis surpris et pourquoi elle pleure ? – oui la raison ce sont les émotions qu’elle ne peut pas contrôler ! Ok ! Compris ! Merci, on t’appelle ce soir à sept heures ! – D’accord papa ! »
Dans une belle couchée de soleil, rayonnant les derniers instants sur toute la vue de la chambre de l’ainé suivi de la tombée de la nuit, toute la famille alla se coucher. Il se leva tranquillement de son lit, il prit tous les objets et les outils nécessaires avec un air désolé et un silence profond se propagea sur toute la maison, il alla à la porte. Ce fut peut-être sa grosse bêtise. Il marcha discrètement dans la rue et il se retrouva face à un soldat qui patrouillait sur tous les endroits.
Le soldat surpris s'adressa à l'enfant :
" -Que fais-tu ici ? Tu dois impérativement rentrer chez toi !!
- Je dois aller voir mon père qui travaille chez une vieille dame d'ici quelques mètres, Répondait-il avec une voix tremblante.
- que fait-il comme métier ton père ?
- Il est plombier et il travaille énormément 24/24 heures et 7/7 jours ...
-D'accord ! Qu'est-ce qu'il y a dons le sac ? Je dois vérifier ton sac ...
En ouvrant le sac, Arthur commença à courir très rapidement et il se précipita très loin vers un lieu où il pourrait se cacher. Pendant ce temps, l'engagé le cria plusieurs fois jusqu'à une intensité forte et appela les renforts grâce à des talkies-walkies compris dans les équipements des soldats. Arthur, fatigué après avoir couru aussi longtemps qu'il pouvait, se rassura en se trouvant sur un passage étroit, sombre et entre deux grands murs. Face à lui, il remarquait qu'une supérette Auchan se révéla utile pour sa mission, loin des soldats. En allant vers l'arrière du bâtiment, il prit son sac et fouilla les outils nécessaires tels une clé et un pied-de-biche permettant d'ouvrir la porte. Il essaya avec main reprise de casser la porte. Heureusement, un trombone était sur le trottoir. Le jeune écartait le fil métallique pour former une courbe identique à celle qui pourrait ouvrir l'accès au supermarché en introduisant dans la serrure. Ce fut ainsi l'ouverture de la porte.
Excité de joie, l'enfant se montra émerveillé par la grandeur gigantesque des rayons de chaque type d'aliments. Il imaginait tous les produits qu'il pourrait et fallait emporter. En tout cas, il fit ses petites courses sereinement et paisiblement. Dans son panier, on y retrouva : 3 paquets de 6 de biscuits " Prince" ; deux gros pots de nutella pour la famille ; 1,5 Litres jus d'orange pour le petit-déjeuner ; des paquets de bonbons comme " les cocas cola ", les têtes brulés", "les carambars ", "les schtroumpfs " ... Pour se partager entre frères - sœurs ; il y a également des fruits et des légumes pour sa mère ; sûrement des paquets de "tortis", de " coquillettes " ; un radio et bien sûr du riz pour nourrir tout le monde pendant plusieurs jours. Un souci se posa pour lui : comment pourrait-il porter tout cela ? Ce fut pourquoi il trouva une valise près de la caisse, devant l'ouverture par où tous les clients rentraient. Suffisamment une bonne mémoire et une éducation juste, il laissa le billet 50 $ avec un mot écrit " cher le vendeur, je paye avec ceci tous les produits qui aideront ma famille à survivre signer Arthur ". Par la suite, il referma la porte de derrière.
Quelques minutes plus tard, un sans-abri se réveilla, se toussa très fort et Arthur pour la compassion de lui offrir par la main deux paquets de gâteaux et un sachet de banane. Le sans-abri le remerciait chaleureusement. Pourtant, il s'était rendu compte que l'armée était à sa recherche. Pour contrer son problème, il avait redécouvert le chemin du train qui passait souvent près de la maison dont il y a trois mois, la voie s'était fermée. Il ne restait pour lui que casser le cadenas à l'aide d'une grosse pince. Il avait vu que les lumières, des voix graves et des pas se rapprochaient. Il se dépêcha et ferma la grille avec une planche de bois pour les bloquer. Il oublia la grosse pince de son père. En traversant la voie en étant épuisé d'une marche longue et pénible, il s'est échappé des regards des officiers. Enfin, il trouva une grille qui se trouva quelques mètres de chez lui. Par conséquence Arthur tomba à pic sur son foyer et posa la nourriture dans la cabane. Stressé, il ne trouva plus la pince. Il décida d'y retourner là où il avait perdu. Les soldats, en attendant son retour, seront cacher et l'attraperont quand il sera là. Arthur l'avait retrouvée et tout d'un coup une voix surgissait, l'officier l'attrapa par le col de son manteau. L'officier l'expliqua qu'il devait lui dire où il habitait ou ses parents devrait le chercher au commissariat de police. Dès tôt le matin, la famille avait eu une visite de l'armée. Cette dernière raconta tout ce qui se passait cette nuit-là. Plusieurs heures après, une discussion lourde entre Arthur et ses parents qui, le gronda très fortement en raison de son acte lors du confinement. Entre temps, Morgane alla et trouva les provisions d'hier soir dans la cabane. Décidément les parents et Morgane étaient surpris qu'Arthur avait fait pour sa famille. Ses parents avaient finalement supprimé sa punition. Le soir, la famille pouvait se payer d'un bon repas.
Lors de la fin du confinement, la propagation du virus s'est arrêtée et pour cela, la famille voulut aller chez le médecin. Par une triste nouvelle, les résultats étaient positifs pour tout le monde ....
14 commentaires pour ce devoir
Malgré l’arrivée des soldats , en renfort dans certaines situations : le transfert des malades , pour maîtriser l'épidémie, et le confinement ,le taux de mortalité progresse , soit environ quinze mille morts à travers le monde aujourd'hui.Une famille composée des deux parents, du fils Arthur et de leur fille Morgane, tentait de vivre tant bien que mal cet épisode.
Le père n’avait plus de travail mais s’occupait souvent du jardin et de la cabane .la mère faisait la cuisine et le ménage dans la maison. Morgane jouait tous les jours à la poupée. Arthur jouait avec ses voitures et des lego pour de belles constructions. La famille avait peu de moyens de s’informer des nouvelles tous les jours. Toutefois, son père devait appeler des proches pour avoir des nouvelles, il espérait toujours trouver du travail, et le manque d’argent. Ainsi, Arthur allait voir sa sœur. Il la contempla puis leurs regards se croisèrent et il informa de l'idée qu'il avait eue . Tout en la rassurant, il lui expliqua que les jours seront en permanence pénibles pour tous, et que l’on devrait sans cesse trouver quelque chose à faire pour tuer l’ennui .
Il prit sa sœur cadette dans ses bras, elle le serra fort, elle ne pouvait pas, rien n’y fit, ni ses peurs ni ses petites larmes ne cessèrent . Le visage, malheureux et déçu, son frère lui sourit.Il avait décidé d'agir . Son esprit était redevenu calme, celui des parents l'était moins . Pourtant une discussion s'installa entre le père et son fils :
« - Fils, tu peux dire ce qu’il se passe ici ? J’ai besoin de savoir
– Morgane s’ennuie beaucoup !
- Bien, je ne suis pas surpris et pourquoi elle pleure ?
– Ce sont ses émotions qu’elle ne peut pas contrôler !
- Ok ! Compris ! Merci, on t’appelle ce soir à sept heures !
– D’accord papa ! »
Il y avait un magnifique coucher de soleil, qui rayonnait dans la chambre de l’ainé , puis la tombée de la nuit, toute la famille alla se coucher. Il se leva tranquillement de son lit, il prit tous les objets et les outils nécessaires avec un air désolé et un silence profond se propagea sur toute la maison, il alla à la porte. Ce fut peut-être sa grosse bêtise. Il marcha discrètement dans la rue et il se retrouva face à un gendarme qui patrouillait .
" -Que fais-tu ici ? Tu dois impérativement rentrer chez toi !!
- Je dois aller voir mon père qui travaille chez une vieille dame d'ici quelques mètres, répondit-il avec une voix tremblante.
- Que fait-il comme métier ton père ?
- Il est plombier et il travaille énormément 24/24 heures et 7/7 jours ...
-D'accord ! Qu'est-ce qu'il y a dans ton sac ? Je dois le vérifier ...>>
Arthur commença à courir très rapidement et il se précipita très loin vers un lieu où il pourrait se cacher. Pendant ce temps, le policier cria plusieurs fois jusqu'à hurler et appela les renforts grâce à des talkies-walkies compris dans les équipements des militaires . Arthur, fatigué après avoir couru aussi longtemps qu'il put , se rassura en trouvant un passage étroit, sombre et entre deux grands murs. Face à lui, il remarqua qu'une supérette Auchan pourrait se révéler utile pour sa mission, loin des soldats. En allant vers l'arrière du bâtiment, il prit son sac et prit les outils nécessaires, une clé et un pied-de-biche qui permettraient d'ouvrir la porte. Il essaya avec maintes reprises de casser la porte. Heureusement, un trombone était sur le trottoir. Le jeune écarta le fil métallique pour former une courbe identique à celle qui pourrait ouvrir l'accès au supermarché en l' introduisant dans la serrure, qui céda .
Excité de joie, l'enfant se montra émerveillé par la grandeur gigantesque des rayons de chaque type d'aliments. Il estima tous les produits qu'il voulait emporter. En tout cas, il fit ses petites courses sereinement et paisiblement. Dans son panier, on y retrouva : 3 paquets de 6 de biscuits " Prince" ; deux gros pots de nutella pour la famille ; 1,5 Litres jus d'orange pour le petit-déjeuner ; des paquets de bonbons comme " les coca cola ", les têtes brulés", "les carambars ", "les schtroumpfs " ... Pour se partager avec sa sœur ; il prit également des fruits et des légumes pour sa mère ; sûrement des paquets de "tortis", de " coquillettes " ; une radio et bien sûr du riz pour nourrir tout le monde pendant plusieurs jours. Un souci se posa pour lui : comment pourrait-il porter tout cela ? Il trouva une valise près de la caisse, devant l'ouverture par où tous les clients rentraient. Il avait reçu une bonne éducation , il laissa un billet de 50 € avec un mot écrit " cher le vendeur, je paye avec ceci tous les produits qui aideront ma famille à survivre signer Arthur ". Il sortit , et referma la porte de derrière.
Quelques minutes plus tard, un sans-abri se réveilla, toussa très fort et Arthur par compassion lui offrit deux paquets de gâteaux et un sachet de banane. Le sans-abri le remercia chaleureusement. Pourtant, il s'était rendu compte que la police était à sa recherche en entendant des bruits de chausssures . Pour résoudre son problème, il prit le chemin du train qui passait près de la maison , depuis trois mois, la voie était fermée. Il ne lui restait qu'à casser le cadenas à l'aide d'une grosse pince. Il vit des lumières, des voix graves et entendit des pas qui se rapprochaient. Il se dépêcha et ferma la grille avec une planche de bois pour la bloquer. Il oublia la grosse pince de son père. En traversant la voie , épuisé parcette marche longue et pénible, il échappa aux regards des officiers. Enfin, il trouva la grille qui se trouvait quelques mètres de chez lui. Par conséquence Arthur tomba à pic sur son foyer et posa la nourriture dans la cabane.
D’après mon professeur de français, « Il reste encore des défauts structurels à corriger: on ne comprend toujours pas très bien les motivations du garçon: peut-être faudrait-il davantage insister sur la pauvreté de la famille, qui va jusqu'à un manque de nourriture, au début. Ensuite, je ne comprends toujours pas le dialogue entre le père et le fils: qu'est-ce qui le justifie? quel en est l'enjeu? je comprends encore moins l'allusion à un coup de fil vers sept heures (ne sont-ils pas dans la même maison?)
Stressé, il ne trouva plus la pince. Il décida de retourner là où il l'avait perdue. Les soldats, en embuscade, l'attendaient , là où ils avaient trouvé la clé , l'officier l'attrapa par le col de son manteau. L'officier l'expliqua qu'il devait lui dire, où il habitait, ou alors ses parents devraient venir le chercher au commissariat de police. Tôt le matin, la famille avait eu une visite de l'armée. Cette dernière raconta tout ce qui s'était passé cette nuit-là. Plusieurs heures après, une discussion lourde entre Arthur et ses parents eut lieu qui le grondèrent très fort en raison de son acte lors du confinement. Entre temps, Morgane avait trouvé les provisions d'hier soir dans la cabane. Les parents et Morgane furent surpris de ce qu'Arthur avait fait pour sa famille. Ses parents avaient finalement supprimé sa punition. Le soir, la famille put s'offrir un bon repas.
Quelques semaines plus tard, la propagation du virus s'était ralentie et pour cela, la famille voulut aller chez le médecin: les résultats furent positifs pour toute la famille , Arthur avait contracté le virus au commissariat.
je te remercie beaucoup !!!
Complète avec les questions de ton prof, c'est très diffcile de corriger un gd texte comme ça par morceau.
Il prit sa sœur cadette dans ses bras, elle le serra fort, elle ne pouvait pas, rien n’y fit, ni ses peurs ni ses petites larmes ne cessèrent . Le visage, malheureux et déçu, son frère lui sourit.Il avait décidé d'agir . Son esprit était redevenu calme, celui des parents l'était moins . Pourtant une discussion s'installa entre le père et son fils :
« - Fils, tu peux dire ce qu’il se passe ici ? J’ai besoin de savoir
– Morgane s’ennuie beaucoup !
- Bien, je ne suis pas surpris et pourquoi elle pleure ?
– Ce sont ses émotions qu’elle ne peut pas contrôler !
Supprime les 2 répliques
Le père n’avait plus de travail mais s’occupait souvent du jardin et de la cabane .la mère faisait la cuisine et le ménage dans la maison. Morgane jouait tous les jours à la poupée. Arthur jouait avec ses voitures et des lego pour de belles constructions.Mais la famille , avait peu de réserves alimentaires et le chômage du père agravait la situation, il leur fallait manger des pâtes tous les soirs et ils n 'avaient que la télévision pour s’informer des nouvelles tous les jours. Toutefois, son père apelait des proches pour avoir des nouvelles, il espérait toujours trouver du travail . Ainsi, Arthur alla voir sa sœur. Il la contempla puis leurs regards se croisèrent et il informa de l'idée qu'il avait eue . Tout en la rassurant, il lui expliqua que les jours seront en permanence pénibles pour tous, et que l’on devrait sans cesse trouver quelque chose à faire pour tuer l’ennui .
Ils ont besoin d'aide !
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Je ne peux pas copier ton texte.
Est ce que tu peux maintenant le faire s’il te plaît ? C’est pour demain !