Juste Une question en Francais !

Publié le 1 mai 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 3 mai 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonjour comment pourrais je introduire ma problematique sachant que c'est la suivante : Quelles sont les intentions de l'auteur dévoilées dans ce passage ? dans un commentaire litteraire .
SVp Dite moi si c'est bon sa :

Dans l'extrait du receuil " Un Barrage .." écrit par M. duras et paru en 1950, le narrateur qui est ici M.Duras décrit la vie quotidienne des blancs et des indigénes en Indochines , Mais en réalité M . Duras dénonce les bus et les maltraitances mis en place par les colonisateurs . L'auteur nous explique que c'est grace à l'exploitation des indigenes , que les blancs peuvent vivre dans le luxe . ( PROBLEMATIQUE que je ne sais comment formulé ) Et le l'autre probléme c'est que le prof nous a donné juste a cherche le 1er axe donc je fais un plan ou non ?


Est ce que vous auez d'autre idée ou essayée de m'ameliorer car je dois faire 20 lignes .

Merci bien !

Où j'en suis dans mon devoir




6 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 1 mai 2010
il est intéressant d'étudier quelles sont les véritables intentions de l'auteur qui sont dévoilées dans ce texte ? En effet, il s'agit d'un prétexte pour dénoncer les abus et les maltraitances mis en place par les colons, l'auteur expliquant que c'est grace à l'exploitation des indigenes que les blancs peuvent vivre dans le luxe. Ainsi, il sera possible d'étudier d'abord..., ensuite... pour finir sur... (annonce de ton plan)
Anonyme
Posté le 1 mai 2010
bon courage
Anonyme
Posté le 1 mai 2010
Merci Mr , je peux me permettre de vous montrer le texte pour verifier avec moi .
Juste il y a un probleme c'est que notre professeur ( c'est la 1er fois que nous faison des commentaires litteraire ) donc nous a donnée juste le 1er axe à chercher comment je pourrai alors le dire dans le plan .

Merci bien .

Cordialement
Anonyme
Posté le 1 mai 2010
Voici le texte :

Dans le haut quartier n’habitaient que des blancs qui avaient fait fortune. Pour marquer la mesure surhumaine de la démarche blanche, les rues et les trottoirs du haut quartier étaient immenses. Un espace orgiaque*, inutile était offert aux pas négligents des puissants au repos. Et les avenues glissaient leurs autos caoutchoutées, suspendues, dans un demi - silence impressionnant.

Tout cela était asphalté*, large, bordé de trottoirs plantés d’arbres rares et séparés en deux par des gazons et des parterres de fleurs le long desquels stationnaient les files rutilantes des taxis-torpédos. Arrosées plusieurs fois par jour, vertes, fleuries, ces rues étaient aussi bien entretenues que les allées d’un immense jardin zoologique où les espèces rares veillaient sur elles-mêmes. Le centre du haut quartier était leur vrai sanctuaire. C’était au centre seulement qu’à l’ombre des tamariniers* s’étalaient les immenses terrasses de leurs cafés. Là ,le soir, ils se retrouvaient entre eux. Seuls les garçons de café étaient encore indigènes, mais déguisés en blancs, ils avaient été mis dans des smokings, de même qu’auprès d’eux les palmiers des terrasses étaient en pots. Jusque tard dans la nuit, installés dans des fauteuils de rotin derrière les palmiers et les garçons en pot, on pouvait voir les blancs suçant pernods, whisky-soda ou martelperrier* , se faire, en harmonie avec le reste un foie bien colonial.

La luisance des autos, des vitrines, du macadam arrosé, l’éclatante blancheur des costumes, la fraîcheur ruisselantes des parterres faisait du haut quartier un bordel magique où la race blanche pouvait se donner, dans une paix sans mélange, le spectacle sacré de sa propre présence. Les magasins de cette rue, modes, parfumeries, tabacs américains, ne vendaient rien d’utilitaire. L’argent même, ici, ne devait servir à rien. Il ne

fallait pas que la richesse des blancs leur pèse. Tout y était noblesse.

C’était la grande époque. Des centaines de milliers de travailleurs indigènes saignaient les arbres des cent mille hectares de terres rouges, se saignaient à ouvrir les arbres des cent mille hectares de terres qui par hasard s’appelaient déjà rouges avant d’être la possession des quelques centaines de planteurs blancs aux fortunes colossales. Le latex coulait. Le sang aussi. Mais le latex* seul était précieux, recueilli, et recueilli, payait. Le sang se perdait. On évitait encore d’imaginer qu’il s’en trouverait un grand nombre pour venir un jour en demander le prix.
Anonyme
Posté le 1 mai 2010
slt


Moi je trouve que c'est bien des petites choses que tu peut changer toutefois


bonne continuation
Anonyme
Posté le 1 mai 2010

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