sujet d'invention

Publié le 22 févr. 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 1 mars 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

j'ai a faire un sujet d'invention mai jec pa comment on le fait si c comme le commentaire on met des paragraphes ,si c le cas l'intro doi-je lecrire comme un paratexte ou sa doit etre le narrateur qui parle

Où j'en suis dans mon devoir

c sur le texte de zola l'assommoir je ssai commen rediger mes phrase mai chui poa organisé ché pa comment presenté sa jai jammai fai de sujet dinvention



2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 22 févr. 2011
Salut im32

Juste pour t'aider , je te propose mon point de vue :

Le roman raconte «la simple vie de Gervaise», depuis son arrivée à Paris, dans la force de la jeunesse, jusqu'à sa mort, lamentable dix-neuf années plus tard. Son existence est rythmée par une série de grandes scènes : la bataille des femmes dans le lavoir, la fête chez Gervaise, la chute de Coupeau tombant d'un toit, la visite au Louvre, la forge de Goujet, la scène de delirium tremens de Coupeau à l'hôpital, la déchéance finale de Gervaise se prostituant dans la rue.
Zola dégage nettement le rôle du destin dans la vie de cette femme du peuple détruite par la «promiscuité» et par l’alcoolisme. Selon le début de l'”Ébauche”, le roman devait d’abord s’appeler “La simple vie de Gervaise Macquart”. Après un chapitre fort sombre où Gervaise, abandonnée avec ses deux enfants, attend en vain le retour de l’ouvrier tanneur Auguste Lantier, sa rencontre avec Coupeau est comme un rayon de soleil : la vie paraît commencer ce jour-là pour eux. Elle décrit son rêve : «Mon Dieu ! je ne suis pas ambitieuse, je ne demande pas grand-chose... Mon idéal, ce serait de travailler tranquille, de manger toujours du pain, d’avoir un trou un peu propre pour dormir, vous savez, un lit, une table, deux chaises, pas davantage... Ah ! je voudrais aussi élever mes enfants, en faire de bons sujets, si c’était possible... Il y a encore un idéal, ce serait de ne pas être battue, si je me remettais jamais en ménage ; non, ça ne me plairait pas d’être battue.... Et c’est tout, vous voyez, c’est tout.» Ce rêve sympathique de la jeune femme semble à portée de leurs mains. Mais la rencontre se fait au cabaret, et l’alambic du père Colombe, «la machine à soûler» surveille déjà ses victimes : «L’alambic, sourdement, sans une flamme, sans une gaieté dans les reflets éteints de ses cuivres, continuait, laissait couler sa sueur d’alcool, pareil à une source lente et entêtée, qui à la longue devait envahir la salle, se répandre sur les boulevards extérieurs, inonder le trou immense de Paris.». Il est en effet un personnage vivant et un monsytr redoutable. Victime pitoyable, mais non coupable, Gervaise est persécutée par un destin mauvais, qui prend divers visages. Un événement imprévisible, la chute de Coupeau , le transforme en oisif adonné à l'ivrognerie, ce qui entraîne la perte de Gervaise. Zola a en quelque sorte personnifié la volonté du destin avec la «petite vieille» faisant le guet et disparaissant «comme satisfaite» aussitôt après le drame. Trois personnages sont les émissaires du destin : le père Bazouges qui, par ses propos grossièrement ambigus, ne cesse de préfigurer la fin de Gervaise ; Virginie, «grande diablesse» dont «les yeux noirs s'allument d'étincelles jaunes» et qu’un mauvais sort a voulu que Gervaise retrouve au sortir de chez Goujet ; Lantier, surtout, qui incarne l'esprit du mal : il entretient le mystère sur son passé et ses occupations , une séduction trouble émane de lui et il poursuit ses desseins avec une obstination et une habileté démoniaques, s'abattant sur sa proie après une série de cercles concentriques .

“L'assommoir” comporte treize chapitres de longueur équivalente précédés d'une brève mais importante préface. Au centre de l'œuvre, le chapitre sept contient l'événement décisif qui va faire basculer le destin de Gervaise (le retour de Lantier). Ainsi, la vie de celle-ci apparaît d'abord comme une lente ascension sociale. Mais le ver est dans le fruit : l'événement qui symbolise le sommet de sa réussite est aussi le point de départ d'une déchéance irréversible dont les six derniers chapitres décrivent les étapes. Il y a donc là une construction simple et logique.
Anonyme
Posté le 22 févr. 2011
Un sujet d'invention en fait, c'est la même chose qu'une rédaction.
Tu écris alors tout simplement ton texte, tu peux faire une introduction si tu veux pour renseigner sur la situation spatio-temporel, tu choisis aussi le point de vue du narrateur et si tu veux faire des paragraphes fais comme bon te semble, mais n'oublie pas que c'est un récit et non un article de presse ^^

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