Sujet d invention terminé

Publié le 20 déc. 2017 il y a 6A par Anonyme - Fin › 23 déc. 2017 dans 6A
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Sujet du devoir

Bonjour / Bonsoir =) 

Alors voila j etudie Phedre de Racine et ma prof nous a demande de retrancrire la scene de l aveu de phedre à Oenone ( sa gouvernante) du pathetique au comique =(

 

voici la scene : 

PHÈDRE
Mon mal vient de plus loin. À peine au fils d’Égée
Sous les lois de l’hymen je m’étais engagée,
Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ;
Athènes me montra mon superbe ennemi :
Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ;
Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue ;
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ;
Je sentis tout mon corps et transir et brûler :
Je reconnus Vénus et ses feux redoutables,
D’un sang qu’elle poursuit tourments inévitables !
Par des vœux assidus je crus les détourner :
Je lui bâtis un temple, et pris soin de l’orner ;
De victimes moi-même à toute heure entourée,
Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée :
D’un incurable amour remèdes impuissants !
En vain sur les autels ma main brûlait l’encens !
Quand ma bouche implorait le nom de la déesse,
J’adorais Hippolyte ; et, le voyant sans cesse,
Même au pied des autels que je faisais fumer,
J’offrais tout à ce dieu que je n’osais nommer.
Je l’évitais partout. Ô comble de misère !
Mes yeux le retrouvaient dans les traits de son père.
Contre moi-même enfin j’osai me révolter :
J’excitai mon courage à le persécuter.
Pour bannir l’ennemi dont j’étais idolâtre,
J’affectai les chagrins d’une injuste marâtre ;
Je pressai son exil ; et mes cris éternels
L’arrachèrent du sein et des bras paternels.
Je respirais, ŒNONE ; et, depuis son absence,
Mes jours moins agités coulaient dans l’innocence :
Soumise à mon époux, et cachant mes ennuis,
De son fatal hymen je cultivais les fruits.
Vaines précautions ! Cruelle destinée !
Par mon époux lui-même à Trézène amenée,
J’ai revu l’ennemi que j’avais éloigné :
Ma blessure trop vive aussitôt a saigné.
Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachée :
C’est Vénus tout entière à sa proie attachée.
J’ai conçu pour mon crime une juste terreur ;
J’ai pris la vie en haine, et ma flamme en horreur ;
Je voulais en mourant prendre soin de ma gloire,
Et dérober au jour une flamme si noire :
Je n’ai pu soutenir tes larmes, tes combats :
Je t’ai tout avoué ; je ne m’en repens pas.
Pourvu que, de ma mort respectant les approches,
Tu ne m’affliges plus par d’injustes reproches,
Et que tes vains secours cessent de rappeler
Un reste de chaleur tout prêt à s’exhaler

Où j'en suis dans mon devoir

Alors comment dire .... j ai tenté quelque chose mais ce n ai pas du tout comique je pense dispnt que mon domaine c est plus tout ce qui est triste et sombre que le drole 

si vous avez des idees je suis preuneuse =) =) 

Mon mal vient de plus loin. A Oenone si tu savais

Le desir qui brule en moi sans arret 

je le vis je rougis je palis 

et un vertige de moi s est emparé

quand il arriva tel un preux chevalier 

Et me rattrapa in extremis

oh oui Oenone tellement romantique 

comme dams les pieces de la rome antique 

arrete donc de me rappeler mon age 

ils sont loin mes dix ans 

et admire donc ce visage 

qui ne rayonnait point avant 

Mais comment oses tu 

me jeter un seau d eau en pleine rue

Cesse dejubiler ma foi 

et hote moi ce sourire beat 

l amour est une mort sure 

qui ne te laisse qu une ecorchure 

mais je l aime oui je l aime 

il fair chavirer mon ame 

sa voix ses yeux ses oreilles 

tout est chez lui parfait 

et je ne peux trouver le sommeil 

tel une adolescente paumee 

ah et pourtant tout ce que je n ai pas fait 

marabou et sorcieres j ai consulté 

des autels j ai orné 

foutaises Cupidon m avait deja piqué

 




4 commentaires pour ce devoir


1
willffy
willffy
Posté le 20 déc. 2017

Mon mal vient de plus loin.

Ah!  Oenone si tu savais

Le désir qui brule en moi sans arrêt

Je le vis, je rougis, je palis,

 

Je ne corrige plus les majuscules en début de ligne, tu le feras.

et un vertige de moi s' est emparé

quand il arriva tel un preux chevalier 

Et me rattrapa in extremis

oh oui Oenone, tellement romantique 

comme dans une pièce de la Rome antique 

arrete donc de me rappeler mon age 

ils sont loin mes dix ans 

et admire donc ce visage 

qui ne rayonnait point avant 

Mais comment oses tu 

me jeter un seau d eau en pleine rue

Cesse de jubiler ma foi 

et ôte  moi ce sourire béat

 

Id pour les apostrophes,et les accents , il en manque trop

l amour est une mort sure 

qui ne te laisse qu une ecorchure 

mais je l aime oui je l aime 

il fait chavirer mon ame 

sa voix ses yeux ses oreilles 

tout est chez lui parfait 

et je ne peux trouver le sommeil 

telle une adolescente paumée

ah et pourtant tout ce que je n ai pas fait 

marabouts  et sorcieres j ai consulté 

des autels j ai orné 

foutaises! Cupidon m avait déjà piquée

 

Je trouve ce texte plutôt bien.

 

Anonyme
Posté le 20 déc. 2017

merci s‘est juste que mon clavier est en allemand 

Anonyme
Posté le 20 déc. 2017

Je trouve ton texte bien mais des fautes a corrigées 

Anonyme
Posté le 20 déc. 2017

Qu'est ce que c'est que ce titre?

Si vous ne voulez pas que votre travail soit vu, il ne faut pas venir sur un forum d'aides aux devoirs .


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