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Sujet du devoir
Bonjour / Bonsoir =)
Alors voila j etudie Phedre de Racine et ma prof nous a demande de retrancrire la scene de l aveu de phedre à Oenone ( sa gouvernante) du pathetique au comique =(
voici la scene :
PHÈDRE
Mon mal vient de plus loin. À peine au fils d’Égée
Sous les lois de l’hymen je m’étais engagée,
Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ;
Athènes me montra mon superbe ennemi :
Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ;
Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue ;
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ;
Je sentis tout mon corps et transir et brûler :
Je reconnus Vénus et ses feux redoutables,
D’un sang qu’elle poursuit tourments inévitables !
Par des vœux assidus je crus les détourner :
Je lui bâtis un temple, et pris soin de l’orner ;
De victimes moi-même à toute heure entourée,
Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée :
D’un incurable amour remèdes impuissants !
En vain sur les autels ma main brûlait l’encens !
Quand ma bouche implorait le nom de la déesse,
J’adorais Hippolyte ; et, le voyant sans cesse,
Même au pied des autels que je faisais fumer,
J’offrais tout à ce dieu que je n’osais nommer.
Je l’évitais partout. Ô comble de misère !
Mes yeux le retrouvaient dans les traits de son père.
Contre moi-même enfin j’osai me révolter :
J’excitai mon courage à le persécuter.
Pour bannir l’ennemi dont j’étais idolâtre,
J’affectai les chagrins d’une injuste marâtre ;
Je pressai son exil ; et mes cris éternels
L’arrachèrent du sein et des bras paternels.
Je respirais, ŒNONE ; et, depuis son absence,
Mes jours moins agités coulaient dans l’innocence :
Soumise à mon époux, et cachant mes ennuis,
De son fatal hymen je cultivais les fruits.
Vaines précautions ! Cruelle destinée !
Par mon époux lui-même à Trézène amenée,
J’ai revu l’ennemi que j’avais éloigné :
Ma blessure trop vive aussitôt a saigné.
Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachée :
C’est Vénus tout entière à sa proie attachée.
J’ai conçu pour mon crime une juste terreur ;
J’ai pris la vie en haine, et ma flamme en horreur ;
Je voulais en mourant prendre soin de ma gloire,
Et dérober au jour une flamme si noire :
Je n’ai pu soutenir tes larmes, tes combats :
Je t’ai tout avoué ; je ne m’en repens pas.
Pourvu que, de ma mort respectant les approches,
Tu ne m’affliges plus par d’injustes reproches,
Et que tes vains secours cessent de rappeler
Un reste de chaleur tout prêt à s’exhaler
Où j'en suis dans mon devoir
Alors comment dire .... j ai tenté quelque chose mais ce n ai pas du tout comique je pense dispnt que mon domaine c est plus tout ce qui est triste et sombre que le drole
si vous avez des idees je suis preuneuse =) =)
Mon mal vient de plus loin. A Oenone si tu savais
Le desir qui brule en moi sans arret
je le vis je rougis je palis
et un vertige de moi s est emparé
quand il arriva tel un preux chevalier
Et me rattrapa in extremis
oh oui Oenone tellement romantique
comme dams les pieces de la rome antique
arrete donc de me rappeler mon age
ils sont loin mes dix ans
et admire donc ce visage
qui ne rayonnait point avant
Mais comment oses tu
me jeter un seau d eau en pleine rue
Cesse dejubiler ma foi
et hote moi ce sourire beat
l amour est une mort sure
qui ne te laisse qu une ecorchure
mais je l aime oui je l aime
il fair chavirer mon ame
sa voix ses yeux ses oreilles
tout est chez lui parfait
et je ne peux trouver le sommeil
tel une adolescente paumee
ah et pourtant tout ce que je n ai pas fait
marabou et sorcieres j ai consulté
des autels j ai orné
foutaises Cupidon m avait deja piqué
4 commentaires pour ce devoir
Je trouve ton texte bien mais des fautes a corrigées
Qu'est ce que c'est que ce titre?
Si vous ne voulez pas que votre travail soit vu, il ne faut pas venir sur un forum d'aides aux devoirs .
Ils ont besoin d'aide !
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Mon mal vient de plus loin.
Ah! Oenone si tu savais
Le désir qui brule en moi sans arrêt
Je le vis, je rougis, je palis,
Je ne corrige plus les majuscules en début de ligne, tu le feras.
et un vertige de moi s' est emparé
quand il arriva tel un preux chevalier
Et me rattrapa in extremis
oh oui Oenone, tellement romantique
comme dans une pièce de la Rome antique
arrete donc de me rappeler mon age
ils sont loin mes dix ans
et admire donc ce visage
qui ne rayonnait point avant
Mais comment oses tu
me jeter un seau d eau en pleine rue
Cesse de jubiler ma foi
et ôte moi ce sourire béat
Id pour les apostrophes,et les accents , il en manque trop
l amour est une mort sure
qui ne te laisse qu une ecorchure
mais je l aime oui je l aime
il fait chavirer mon ame
sa voix ses yeux ses oreilles
tout est chez lui parfait
et je ne peux trouver le sommeil
telle une adolescente paumée
ah et pourtant tout ce que je n ai pas fait
marabouts et sorcieres j ai consulté
des autels j ai orné
foutaises! Cupidon m avait déjà piquée
Je trouve ce texte plutôt bien.
merci s‘est juste que mon clavier est en allemand