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Sujet du devoir
Bonjour à tous,
Je dois aider ma fille pour un de ses devoirs de français : Jeannot et Colin. Pourriez-vous m'aider ?
Voixci les questions :
8. Analysez la valeur du présent de l'indicatif dans le 4ème paragraphe. Quels en sont les effets ?
9.Expliquez les sous entendus contenus dans les citations suivantes :
"Un entrepreneur des hôpitaux des armées, homme d’un grand talent, et qui pouvait se vanter d’avoir tué plus de soldats en un an que le canon n’en fait périr en dix."
"C'était un théatin très accrédité, qui ne dirigeait que les femmes de la première considération."
10. a. Relevez les expressions qui désignent l"arbitre" qui participe au diner. Enquoi sont-elles ironiques ?
b. Quelle relation Voltaire crée t il ainsi avec ses lecteurs? A quelles fins ?
11. Comment le personnagede Jeannot évolue-t il dès que sa famille devient riche ?
Observez notamment son nom, ses vêtements, ses activités et son attitude.
12 a. Quels modes de vie des parisiens du XVIIe siècle Voltaire dénonce t -il ?
b. Quelles sont ses différentes cibles ?
13 D'après le portrait qui est fait de Colin au moment des retrouvailles, précisez quelles sont les valeurs de la vie à la campagne d'après l'auteur. Justifiez votre réponse avec précision.
14 a . Quels sens donnez-vous au dernier mot du conte : "vanité" ligne264. Illustrez votre réponse par des références du texte.
b. En quoi la dernière phrase s'apparente t elle à une moralité ?
Où j'en suis dans mon devoir
Voicin le lien du texte
http://www.atramenta.net/lire/jeannot-et-collin/1258/1#oeuvre_page
2 commentaires pour ce devoir
Ils ont besoin d'aide !
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8 - je dirais qu'il s'agit d'un présent de vérité générale: "Les lecteurs qui aiment à s’instruire doivent savoir que", "Vous demandez comment on fait ces grandes fortunes ? C’est parce qu’on est heureux."...
9 - ironie: " homme d’un grand talent, et qui pouvait se vanter d’avoir tué plus de soldats en un an que le canon n’en fait périr en dix".
Même ironie dans la seconde phrase: le théatin est un religieux, mais qui ne "dirige" que la conscience des femmes haut placées. On entrevoit ici les bénéfices personnels qu'il peut tirer de sa clientèle. Ce qui se confirme dès qu'il apprend le revers de fortune de son ouaille:
"— Mais, mon père, en attendant, n’y aurait-il pas moyen d’obtenir quelques secours dans ce monde ?
— Adieu, mon fils ; il y a une dame de la cour qui m’attend."
Merci