synthèse sur la medecine à l'époque de la Renaissance.

ah oui évite oodevoirs au fond ça ne t'apportera rien!

justement la synthèse fait parti d'un dossier que je dois faire dur la medecine de la Renaissance donc les document je les trouve toute seule. Et je voulais trouver ma problématique avant de me lancer

la situation dans les villes, dans les maison, les conditions sociales jouent dans la ville.
des évolution dans la médecine et en particulier en chirurgie a été réalisé (Ambroise Paré...) la pratique de la saigné (souvent mortelle dans certains cas) est encore pratiqué alors!le manque d'hygiène est aussi apparant source de maladie qu'accentu la proximité et la méconaissance des microbes et de l'action de l'eau (elle boucherait les pores, les gens ne se lavaient que rarement et les aristocrates changeaient souvent de vêtement et se parfumé à la place!)
donc la pbtq pourrait être: médecine, entre progrès et continuité?

a aussi, une problématique ne se trouve pas avant la recherche, elle se trouve quand on connais un peu le sujet: on se pose une question alors, et ont bati un réel raisonnement à partir de se que l'on a cherché. C'est par sa méthodologie que l'histoire est une science, ne faites pas l'erreur de tout renverser!

L'histoire de la médecine à la renaissance :

Dans les civilisations préhelléniques le prêtre et le médecin sont souvent une même personne. La maladie est perçue comme une punition ou la résultante de l'emprise du corps par des <>, un dieu ou un mort.

Au Moyen-Age, la médecine de Galien est un véritable dogme. Toute contestation de ses théories est condidérée comme une hérésie et punie de bûcher.

A la Renaissance, André Vésale (1514-1564), père de l'anatomie moderne, constate que certaines descriptions anatomiques de Galien décrivent non pas l'être humain, mais le singe. Il favorise le développement de la chirurgie ainsi que le Français Ambroise Paré (1509-1590).

Au XVIIe siècle, William Harvey (1578-1657) étudie le sens du courant sanguin dans les vaisseaux et établit que le coeur est le moteur de la circulation. L'essor du microscope donne accès à l'infiniment petit. Vers 1665, Hooke emploie le terme de cellules.

Au XVIIIe siècle, on recherche de nouvelles théories pour expliquer le fonctionnement du corps et l'origine des maladies qui sont classées par symptômes. L'anatomie et la physiologie se développent et les premières maternités sont créées. La chirurgie obtient un statut identique à la médecine. Jenner (1749-1823) invente le vaccin contre la variole.

Au début du XIXe siècle, on confronte l'examen clinique et les données de l'autopsie : la médecine devient scientifique. Claude Bernard (1813-1878) fonde les bases de la recherche biologique ;
Louis Pasteur (1822-1895) découvre le rôle des microbes et met au point le vaccin contre la rage en 1885.

La fin du XIX siècle voit le développement des examens en laboratoires (cultures) et la découverte du sphyg-momètre, de l'électrocadigramme, de la seringue et des pinces hémostatiques qui limitent les hémorragies. On isole les micro-organismes responsables des maladies infectueuses.

En chirurgie, la douleur est abolie grâce à l'anesthésie. Des mesures d'antisepsie et d'asepsie, préviennent les infections : le lavage des mains, le port de gants et la stérilisation des instruments.

Au XXe siècle, les traitements font des progrès spectaculaires : Hoffmann avec l'aspirine (1899) ; Banting avec l'insuline dans le traitement du diabète (1921) ; Fleming avec le premier antibiotique (1928) grâce à sa découverte de la pélicilline. De nombreux vaccins sont mis au point : la rougeole, l'hépatite B, la grippe...