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Sujet du devoir
bonjour a tous,
Je dois rédiger un journal intime qui parle de la vie de rescapée dune juifs voila mon début
Moi Juliette,
Si un jour vous retrouvez mon carnet cela veut dire que vous savais ma vie, Ma mère n'est plus là de nos jours et je pense que toi mon cher journal intime tu es mon confident comme ma mère l'était durant mon enfance. Tu es comme mon frère, je me sens seul, unique. J 'écris ce journal pour relâchez la haine, la tristesse que j'ai au fond de mon cœur, tu es comme une boîte qui renferme mes sentiments, je me sens libre. Je n'arrive pas à oublier ces scènes épouvantables
Dimanche 1er août 1943,
Autrefois j’étais une jeune fille presque comme toutes les autres, joyeuse, vivante, innocente, insouciante, aimant la vie, je dis presque, car j’avais le malheur durant cette période d’être juive. C’était durant les années 40, années placées sous le signe du nazisme. C’était ma 1ère année au lycée, j’avais 16 ans et la tête pleine de rêves. Mon plus grand rêve était de devenir musicienne dans un grand orchestre. Mon père venait de m’offrir mon premier violon. Je prenais des cours chez Monsieur Batignolles. Il habitait une petite rue en face du cimetière du Père Lachaise. Transportée par la musique, je me sentais libre. Mais cette sensation ne durait qu’un court instant. Un soir, alors que je rentrais du cimetière, je trouvais ma mère en sanglots, et mon père paniqué me dit qu’il fallait qu’on quitte les lieux le plus vite possible en emportant le strict nécessaire. - “Pourquoi?” m’écriais-je, prise à mon tour par la panique. - “La police du CGQT!” Je compris. C’était la police du Commissariat général aux questions juives. Nous n’avions droit qu’à 15kg par personne.
Mercredi 4 août,
Bonjour mon Ami
Il est tout juste 6 heures. J'entends la cloche qui sonne au loin.
J'ai froid, j'ai faim. Mais c'est surtout cette peur qui me ronge le ventre.
J'ai envie de hurler mais il faut rester muette. Ne pas attirer l'attention pour souffrir encore plus.
Ne rien dire, ne pas parler. Mais grâce à toi mon Journal je peux m'échapper un instant. Comme si je parlais avec un ami, tout doucement en chuchotant.
Je dois te laisser, j'entends le claquement des lourdes portes, le bruit des bottes. Ils reviennent
Pouvez vous m'aider a faire un texte entre le dimanche 1 août et le 4 août (dans le texte jai envie de raconter commet était les conditions de vie dans un wagons a bestiaux mais aussi comme s’était a l'arriver du camp....)
MERCIIIII
Où j'en suis dans mon devoir
Pouvez vous m'aider a faire un texte entre le dimanche 1 août et le 4 août (dans le texte jai envie de raconter commet était les conditions de vie dans un wagons a bestiaux mais aussi comme s’était a l'arriver du camp....)
3 commentaires pour ce devoir
Valentine.77
Posté le 17 avr. 2018
Mercredi 4 août
Bonjour mon Ami
Il est tout juste 6 heures. J'entends la cloche qui sonne au loin.
J'ai froid, j'ai faim. Mais c'est surtout cette peur qui me ronge le ventre.
J'ai envie de hurler mais il faut rester muette. Ne pas attirer l'attention pour souffrir encore plus.
Ne rien dire, ne pas parler. Mais grâce à toi mon Journal je peux m'échapper un instant. comme si je parlais avec un ami, tout doucement en chuchotant.
Je dois te laisser, j'entends le claquement des lourdes portes, le bruit des bottes. Ils reviennent
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jai envie de raconter commet était les conditions de vie dans un wagons a bestiaux mais aussi comme s’était a l'arriver du camp....)
Alors, fais le plutôt que d'attendre que tout arrive comme par magie .
Nous ne faisons pas votre travail.
Car, les § 2 et 3 , ont été faits par d'autres.
heu non jai juste repris les phrases qui était bien et tu veut dire quoi comme par magie et non il mont aider a faire l'introductionn ...