,la violence à l'écran

Publié le 29 janv. 2021 il y a 3A par marinettelouis7 - Fin › 31 janv. 2021 dans 3A
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Sujet du devoir

On a beaucoup entendu parler, ces dernières années, de l'invasion des écrans de télévision par la violence. On a cité des chiffres établissant qu'un spectateur qui aurait regardé toute une semaine une chaîne. Comme M6 ou TF1 y aurait vu plusieurs centaines de meurtres, viols, agressions en tous genre... De tels chiffres n'ont pas manqué de soulever des inquiétudes dans le public et dans la presse : les spectateurs, et surtout les jeunes spectateurs, plus vulnérables, seraient particulièrement menacés par cette exposition constante aux images violentes . Celles-ci seraient du même coup banalisées et le jeune public n'éprouverait plus la moindre gêne à imiter les pratiques dont on lui offre la vision quotidienne.
Un tel raisonnement pourrait ; pour des esprits superficiels, sembler fondé. pourtant, je ne partage pas les inquiétudes qui on été exprimées au sujet de la violence à l'écran. Tout d'abord, je pense qu'il ne faut pas exagérer l'influence des films de fiction sur le spectateur : durant mon enfance, J'ai adoré les westerns, et je ne suis devenu ni sheriff, ni chasseur de prime , ni indien scalpeur de visages pâles. d'autre part si la télévision montre les spectacles de violence, c'est qu'elle constitue un reflet de notre société ; nous vivons dans un monde violent, la télévision nous renvoie cette image de violence : elle n'encourage pas la violence, elle la traduit en images. enfin et surtout, les spectacles violents, loin d'inciter au passage à l'acte, constituent une barrière contre la violence. l'enfant face a son poste de télévision se décharge de ses pulsion violentes. Nous savons tous, en effet que la violence habite chacun de nous ; il suffit, pour s'en convaincre de regarder les jeux pratiqués par nos chers petits bambins dans une cour de récréation. le spectacle de la violence offre donc l'occasion d'un défoulement imaginaire qui peut , dans bien le cas, éviter le passage a l'acte: le plus important est donc de lutter contres les causes bien réelles de la violence - je pense au chômage et à l'urbanisation aberrante de nos banlieues - plutôt que d'accuser la télévision d'un crime qui n'est pas le sien

Où j'en suis dans mon devoir

On a beaucoup entendu parler, ces dernières années, de l'invasion des écrans de télévision par la violence. On a cité des chiffres établissant qu'un spectateur qui aurait regardé toute une semaine une chaîne. Comme M6 ou TF1 y aurait vu plusieurs centaines de meurtres, viols, agressions en tous genre... De tels chiffres n'ont pas manqué de soulever des inquiétudes dans le public et dans la presse : les spectateurs, et surtout les jeunes spectateurs, plus vulnérables, seraient particulièrement menacés par cette exposition constante aux images violentes . Celles-ci seraient du même coup banalisées et le jeune public n'éprouverait plus la moindre gêne à imiter les pratiques dont on lui offre la vision quotidienne.
Un tel raisonnement pourrait ; pour des esprits superficiels, sembler fondé. pourtant, je ne partage pas les inquiétudes qui on été exprimées au sujet de la violence à l'écran. Tout d'abord, je pense qu'il ne faut pas exagérer l'influence des films de fiction sur le spectateur : durant mon enfance, J'ai adoré les westerns, et je ne suis devenu ni sheriff, ni chasseur de prime , ni indien scalpeur de visages pâles. d'autre part si la télévision montre les spectacles de violence, c'est qu'elle constitue un reflet de notre société ; nous vivons dans un monde violent, la télévision nous renvoie cette image de violence : elle n'encourage pas la violence, elle la traduit en images. enfin et surtout, les spectacles violents, loin d'inciter au passage à l'acte, constituent une barrière contre la violence. l'enfant face a son poste de télévision se décharge de ses pulsion violentes. Nous savons tous, en effet que la violence habite chacun de nous ; il suffit, pour s'en convaincre de regarder les jeux pratiqués par nos chers petits bambins dans une cour de récréation. le spectacle de la violence offre donc l'occasion d'un défoulement imaginaire qui peut , dans bien le cas, éviter le passage a l'acte: le plus important est donc de lutter contres les causes bien réelles de la violence - je pense au chômage et à l'urbanisation aberrante de nos banlieues - plutôt que d'accuser la télévision d'un crime qui n'est pas le sien




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Posté le 29 janv. 2021

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