Lettre pour Hans (ami retrouver)

Sujet du devoir

Conrad,

J’ai bien reçu ta lettre et je dois te dire que la lire m’a était très difficile et que je suis déçu de ta décision de suivre le mouvement nazi.
A la fin de ma lecture, je dois t’avouer que de nombreux sentiments m’ont parcouru, j’ai d’abord senti comme un arrière-gout de trahison et une irascible colère montée en moi, car moi qui pensais que nous étions ami, tu as retourné ta veste au profit de l’ennemi. Oui car Hitler est loin d’être un homme bon comme tu sembles le penser, ce n’est qu’un être abominable qui comme toute personne de son espèce n’a soif que de pouvoir, c’est aussi un grand manipulateur et il t’a eu toi et ta grande naïveté. Je croyais en toi, j’avais confiance, et je t’aurais donné ma vie si un jour il l’eût fallut. 
Le tout laissant place à un immense chagrin, celui d’avoir perdu la personne qui put compter un jour le plus à mes yeux.

Cette « Nouvelle Allemagne » comme tu le dit, est la pire chose qui puisse arriver à notre pays tant aimé. Peut-être bien que pour toi Hitler est un sauveur mais il n’en est rien. Il oblige des Allemands, de vrais patriotes, juifs, certes, à se cacher, à quitter leur pays pour être en sécurité.
Mes parents n’ont pas souhaités quitter Stuttgart car malgré tout ce que notre fière Allemagne aura à subir et eut subit, ils l’aiment et n’ont pu se résigner à la quitter. 
Comment peux-tu être aussi sûr qu’ils ne sont pas en danger ? Rien de ce que tu pourras me dire ne fera taire l’inquiétude que j’éprouve à leur égard. Ils sont juifs. Hitler est contre les juifs.
Moi-même me suis fait molester, alors pourquoi pas eux ? Ta naïveté te perdra. 
Le grand maître de l’Allemagne de demain est Hitler, plus aucuns juifs, bons ou mauvais ne peut être en sécurité maintenant.

Je sais néanmoins que tout n’est pas ta faute, tes parents étant favorable au nazisme, tu as était influencer par leurs paroles.

Un jour, tu m’as dit « Tu es, tu le sais, mon seul ami. Et tu sais que je t'aime plus que quiconque. Tu sais que j'étais seul, moi aussi, et que si je te perdais, je perdrais l'unique ami en qui je puisse avoir confiance. »
Si tu as toujours cette confiance envers moi, alors tu croiras mes paroles et peut-être réussirais-je à te faire changer d’avis. 
Malgré tout je ne perdrais pas l’espoir d’un jour retrouvée mon ami perdu.
Je sais que tu n’as rien contre les Juifs sinon nous ne serions pas ami, alors je te prie de ne pas te laisser influencer par les beaux discours et les promesses d’Hitler ni par les probables éloges faites à son égard. Hitler est et restera l’homme qu’il est, soit un lâche, à la recherche de pouvoirs. Restes donc sur tes gardes.noublie jamais que c’est une mauvaise personne 

ps=je comptes rester longtemps en Amérique. 

Adieu, mon ami perdu 
Hans.

Où j'en suis dans mon devoir

je précise, c’est un brouillon que je n’est pas corriger^ est-ce que c’est bien ? 

C'est un copié/collé.
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