Traduction en anglais

Publié le 30 avr. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 3 mai 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Voilà les textes :
Signifiant « séparation » en afrikaans, l’Apartheid fut un système politique mis en place par le Parti National en Afrique du Sud de 1948 à 1991.
l’Apartheid a divisé la société en 4 catégories : les Blancs(Afrikaners et Anglais, soit 21 % de la population sud-africaine en 1950) ; les Indiens qui travaillant dans les plantations de canne à sucre (3% de la population) ; les Coloured qui regroupent les métis entre Blancs et Hottentots (peuple de pasteurs décimés par les colons Hollandais) remontant aux 16e s. et 17e s. (soit 9% de la population), et enfin, les Bantous répartis en une dizaine d’ethnies dont les deux plus importantes sont les Xhosas et les Zoulous, ils représentaient 67% de la population.

1. Origins

En 1902, Afin de soutenir le projet de colonisation, Londres étend la charge d'Alfred Milner. Le Haut Commissaire en poste au Cap devient en outre gouverneur des colonies boers. C'est un partisan inconditionnel de l'empire, convaincu de la supériorité de la race blanche et du régime britannique. Son objectif est clair, il s'agit de faire de l'Afrique du Sud.
L'afrikaans devient le point de ralliement de tous ceux qui veulent résister. Face à l'intrusion massive de l'anglais, l'on réhabilite la langue du peuple au détriment du néerlandais.
On préfère désormais l'appellation d'Afrikaner, celui qui parle afrikaans, soulignant du même coup une appartenance au continent à l'inverse des autres immigrants européens.
Le gouverneur veut que les Britanniques dominent en nombre l'Afrique du Sud. Il espère attirer 100000 colons. A son grand dam, seules 12000 personnes font le voyage. En quittant le pays, Milner reconnait que la population blanche d'Afrique du Sud demeure afrikaner à 60 %.
L'arrivée massive des Chinois permet en effet d'exploiter la principale richesse du pays. La production retrouve son plein rendement en 1906 avec 18000 mineurs blancs, 51000 chinois et 94000 africains, tandis que les revenus de l'or doublent en trois ans.


2. Social differences

Les nouveaux maîtres du pays ne pouvaient accepter d’associer les Noirs à la gestion du pays. On créa aussitôt les premières «réserves» pour les Noirs, qui occupaient 7 % du territoire, même s'ils représentaient les deux tiers de la population du pays. Peu de temps après, les élites noires créèrent le premier parti bantou qui allait devenir en 1923 le Congrès national africain (l’African National Congress: ANC). Le Parlement blanc, qui avait adopté en 1911 une première loi de ségrégation interdisant aux non-Blancs les emplois spécialisés, adopta en 1913 Loi sur la propriété foncière indigène (Native Lands Act), qui réservait à la minorité blanche 93 % des territoires de l’Union.
La séparation implique des écoles pour les Noirs et les Métisses en effet la politique de l'éducation bantoue avait pour objectif de former les jeunes Noirs et les Métis à un marché du travail non qualifié et assurer la seule prospérité aux Blancs et le contrôle total des Sud-Africains. Hendrik Verwoerd, alors ministre chargé des Affaires indigènes, a lui-même déclaré que son objectif principal était d'empêcher les Africains de recevoir une instruction qui les pousserait à aspirer aux postes enviés dans la société. Il existe donc 3 types d’écoles : es écoles des collectivités bantoues, les écoles publiques bantoues et les écoles des missionnaires.
Dans les écoles bantoues, les jeunes Noirs recevaient une instruction dans leur langue maternelle, mais l'enseignement demeurait limité à la langue maternelle et à l'agriculture pour les garçons, à la couture et au tricot pour les filles. On voulait faire des enfants de futurs fermiers sans aucune connaissance des mathématiques ou des sciences, et sachant à peine lire. L’enseignement destiné aux Noirs était différent de celui des Blancs et de moindre qualité.
L’Apartheid donne aussi des exemples de séparation tels que : Autobus et tramways pour les noirs bans et couloirs pour les blancs interdit aux noirs.

Où j'en suis dans mon devoir

Désolé je n'ai rien fait. Merci d'avance.



8 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 30 avr. 2010
il font tradure koii la les 2 texte ou les 3?
Anonyme
Posté le 30 avr. 2010
il font traduire 1 et 2?
5
Anonyme
Posté le 30 avr. 2010
Rebonjour,

cette traduction va prendre un peu de temps, mais je m'en occupe, pas de panique!
Anonyme
Posté le 30 avr. 2010
Intro:

Meaning "separation", Apartheid was a political system put by the National Group in South Africa between 1948 and 1991.
Apartheid divided society in four groups: White (Afrikaners and English that is 21% of the population in 1950); Indian who worked in sugar cane plantation (3% of the population); Coloured
which regroups people between White and Hottentots (sheperds killed by the Dutch colonist in the 16th ou 17th century, 9% of the population); and finally the Bantous splitted between ten ethnic groups in which the two most importants are the Xhosas and the Zoulous, they represented 67% of the population.
Anonyme
Posté le 30 avr. 2010
va sur google sur traducteur et tu fait copier coller de ton texte et puis c'est tout
Anonyme
Posté le 2 mai 2010
1.Origins

In 1902, to support the project of colonization, the English government extended Alfred Milner's responsibilities. The High Commissioner in charge in Cape Town became governor of the boers colonies. He was an unquestioning partisan of the empire, convinced of the superiority of the white race and of the British governement. His goal was clear: making South Africa.
Afrikaans became the assembly point of all those who want to resist. In front of the massive intervention of English language, the language of the people was rehabilitated to the detriment of Dutch.
Henceforth being called Afrikaner is prefered, the one who speaks Afrikaans, underlining at the same moment a membership to the African continent contrary to the other European immigrants.
The governor wanted that British people dominated in number in South Africa. He hoped to attract 100000 colonists. To his great displeasure, only 12000 persons make the journey. When leaving the country, Milner reckoned that the white population is around 60% of Afrikaners.
The massive arrival of Chinese people indeed allowed the exploitation of the main wealth of the country. The production found its full return in 1906 with 18000 white miners, 51000 Chinese and 94000 Africans, whereas the income from gold doubled in three years.
Anonyme
Posté le 2 mai 2010
2. Social differencies

The new masters of the country could not agree with associating with black people on the management of the country. Thus the first "reserves" for Blacks were immediately created,black people who occupied 7% of the territory even if they represented two thirds of the population of the country. A short time later, the black elite created the first Bantu party which was going to become in 1923 the African National Congress. The white Parliament, which had adopted in 1911 a first law of segregation forbidding the non-whites off the specialized jobs, adopted in 1913 the Native Lands Act which reserved for the white minority 93 % of the territories of the Union.
The separation implied schools for Blacks and Half-bloods, indeed the policy of the bantou education aimed to train the young Blacks and the Half-bloods for a not qualified job market and to assure prosperity only for the Whites and the total control of the South Africans. Hendrik Verwoerd, then Minister in charge of Native Business, declared himself that his main objective was to prevent the Africans from receiving an instruction which would urge them to aspire to the posts envied in the society. There are thus 3 kind of schools: schools for bantou communities, the public bantou schools and the schools for the missionaries.
In bantou schools, the young Blacks were taught their mother language, but the teaching remained limited to this and to farming for boys and sewing and knitting for girls. Future farmers without any knowledge of the mathematics or the sciences and hardly knowing how to read were wanted. The education for black people was different from the one for white people and its quality was lower.
Apartheid also gave examples of separation such as: buses and tramways for black people and benches and corridors for white people which were prohibited to Black.


Tout le texte est au passé.
Anonyme
Posté le 2 mai 2010
Un énorme merci

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