Améliorer le début de mon récit fantastique

Publié le 20 janv. 2020 il y a 4A par hinda.abderaman - Fin › 22 janv. 2020 dans 4A
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Sujet du devoir

Bonjour  vous pouvez m'aider améliorer et  rajouter des choses  le début de ma rédaction ( ou meme continuer un peu la suite si vous voulez sa me pose aucun probleme )  qui doit être fantastique ( donc avoir du doute et deux explications )  . 

Sujet :  Vous êtes le personnage de l'extrait la nuit de Maupassant  . Une voiture apparaît et vous suit lentement . Imaginez la suite . Décrivez la scène puis l'inquiétude et la peur que vous ressentez ( sentiments , réactions et les sensations )  .

 

Mon idée principale est que la voiture me suit dans un but précis ( mais je n’ai pas de but précis ) . Dans ces nouvelles, Maupassant adore décrire des événements étranges qui peuvent être expliqués de manière r irrationnelle sans par la suite donner la réelle explication, laissant ainsi le lecteur dans une réflexion et un suspens interminables.

 

Consignes : 

 - vous commencerez à partir de « au loin pourtant un fiacre roulait , un seul fiacre, celui peut-être qui avait passé devant moi tout à l’heure . » 

 

- vous écrirez à la première personne du singulier et aux temps du passé le narrateur doit être interne  . 

 

- Vous utiliserez le vocabulaire de la peur en essayant de le rendre le plus riche et varié possible ( donc le champs lexical de la peur ,  les manifestations physique  le cadre )  . 

 

 - Vous utiliserez également quelques procédés de la modalisation afin de mettre en valeur la subjectivité de votre texte . 

 

Le début de ma rédaction :

 J'entends un bruit derrière moi. Je me retourne: tiens, c'est le fiacre de tout à l'heure!  Il prend la même route que moi. Mais j'ai tout à coup l'impression qu'il avance à mon rythme : me suivrait-il ? Je chasse cette idée, elle est absurde. Cependant, il va toujours à la même allure, et je commence à avoir des doutes. Alors je ralentis. Lui aussi. J'accélère, lui aussi. Plus de doute! Mais que me veut-on ? Qui est-ce ? ...

 

 

 

Où j'en suis dans mon devoir

4 choses pour vous aider  :

 

Je me souviens d'avoir fait une histoire inquiétante qui se rapporte aux champs lexicals de la peur et de la nuit et sur les fantomes je sais que sa n'a aucaun rapport avec la nuit de Maupassant mais pour vous aider sur le fantastique  . Mais juste pour vous aider . 

 

 l'histoire inquiétante : 

L'horreur du trouble de la personnalité paranoïaque est parfois très perturbante pourquoi : Cette nuit-là, au crépuscule, la Lune et les étoiles éclairaient timidement le ciel sombre et nuageux, alors que je rentrais chez-moi dans l'obscurité jusqu'à ce que je ressente une présence mystérieuse. J'ai toujours eu la phobie des fantômes et à cet instant j'eus l'appréhension d'en rencontrer un, la panique m'avait emporté dans une terreur inextricable, et je courus alors, dans une grande angoisse me réfugier dans ma maison qui n'était heureusement plus très loin...Je lendemain matin, à l'aube, je me réveillai sans aucun souvenir de ce que j'avais fait...et pourtant je me trouvais en panique, comme s'il s'était passé quelque chose de terrible.

 

 

 

 

 LE CHAMP LEXICAL DE LA PEUR : 

 

ADJECTIFS

Ce qui fait peur

 

 

 angoissant, inquiétant

effrayant

 

 

redoutable, menaçant

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

effroyable

 

terrible, terrifiant, terrorisant

 

épouvantable

 

horrible, horrifiant

 

paniquant

 

affolant

ADJECTIFS

La personne qui a peur

 

 

angoissé, inquiet

effrayé, effarouché

apeuré, craintif

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

terrorisé, terrifié

 

 

épouvanté

 

horrifié

 

paniqué

 

affolé

NOMS

 

 

y

une angoisse, une anxiété une appréhension

une crainte

une inquiétude

 

 

LE TRAC

 

LA PEUR = LA FRAYEUR

 un saisissement

 

LES PHOBIES

 

Å

un effroi

 

une terreur

 

une épouvante

 

une horreur

 

une panique 

 

un affolement

VERBES

 

 

(s’)angoisser ; appréhender ; (s’)inquiéter

(s’)effrayer ; (s’)apeurer ; (s’) effaroucher

Craindre ; redouter

 

 

 

avoir peur

être saisi 

  

 

 

 

 

 

saisir d'effroi

 

terroriser ; terrifier

 

 

épouvanter

 

horrifier

 

paniquer 

 

(s’)affoler

 

 

 

 

LES MANIFESTATIONS PHYSIQUES DE LA PEUR

 

 

Avoir froid dans le dos, se sentir glacé

 

« son sang ne fit qu’un tour », sentir son sang se glacer dans ses veines , avoir les veines ressorties 

 

Suer ou transpirer de peur, avoir le front trempé de sueur, avoir des sueurs froides

 

Trembler, tressaillir, frissonner de peur, éprouver un frisson d’angoisse

Sursauter

 

S’affoler, s’alarmer, être en alerte

 

Sentir son cœur battre, avoir le cœur qui s’emballe, avoir le cœur qui bat la chamade

 

Etre paralysé ou figé sur place, pétrifié de peur, par la peur, être frappé d’horreur

 

Claquer des dents

 

Avoir les mains crispées

 

Avoir la chair de poule

 

Sentir ses cheveux se dresser sur sa tête, les poils se hérisser

 

Flageoler,

 

Sentir ses jambes se dérober sous soi, 

 

S’évanouir, défaillir de peur, se sentir défaillir

 

Blêmir, devenir livide, être blême, blanc de peur, 

 

 

 

 

. Pour voir plus clair voilà la nouvelle si vous vous les voir mieux : 

 

 

J'aime la nuit avec passion. Je l'aime comme on aime son pays ou sa maîtresse, d'un amour instinctif, profond, invincible. Je l'aime avec tous mes sens, avec mes yeux qui la voient, avec mon odorat qui la respire, avec mes oreilles qui en écoutent le silence, avec toute ma chair que les ténèbres caressent. Les alouettes chantent dans le soleil, dans l'air bleu, dans l'air chaud, dans l'air léger des matinées claires. Le hibou fuit dans la nuit, tache noire qui passe à travers l'espace noir, et, réjoui, grisé par la noire immensité, il pousse son cri vibrant et sinistre. Le jour me fatigue et m'ennuie. Il est brutal et bruyant. Je me lève avec peine, je m'habille avec lassitude, je sors avec regret, et chaque pas, chaque mouvement, chaque geste, chaque parole, chaque pensée me fatigue comme si je soulevais un écrasant fardeau. Mais quand le soleil baisse, une joie confuse, une joie de tout mon corps m'envahit. Je m'éveille, je m'anime. A mesure que l'ombre grandit, je me sens tout autre, plus jeune, plus fort, plus alerte, plus heureux. Je la regarde s'épaissir la grande ombre douce tombée du ciel : elle noie la ville, comme une onde insaisissable et impénétrable, elle cache, efface, détruit les couleurs, les formes, étreint les maisons, les êtres, les monuments de son imperceptible toucher. Alors j'ai envie de crier de plaisir comme les chouettes, de courir sur les toits comme les chats ; et un impétueux, un invincible désir d'aimer s'allume dans mes veines. Je vais, je marche, tantôt dans les faubourgs assombris, tantôt dans les bois voisins de Paris, où j'entends rôder mes sœurs les bêtes et mes frères les braconniers. Ce qu'on aime avec violence finit toujours par vous tuer. Mais comment expliquer ce qui m'arrive? Comment même faire comprendre que je puisse le raconter? Je ne sais pas, je ne sais plus, je sais seulement que cela est. Voilà. Donc hier était-ce hier? oui, sans doute, à moins que ce ne soit auparavant, un autre jour, un autre mois, une autre année, je ne sais pas. Ce doit être hier pourtant, puisque le jour ne s'est plus levé, puisque le soleil n'a pas reparu. Mais depuis quand la nuit dure-t-elle? Depuis quand?... Qui le dira? qui le saura jamais? Donc hier, je sortis comme je fais tous les soirs, après mon dîner. Il faisait très beau, très doux, très chaud. En descendant vers les boulevards, je regardais au-dessus de ma tête le fleuve noir et plein d'étoiles découpé dans le ciel par les toits de la rue qui tournait et faisait onduler comme une vraie rivière ce ruisseau roulant des astres. Tout était clair dans l'air léger, depuis les planètes jusqu'aux becs de gaz. Tant de feux brillaient là-haut et dans la ville que les ténèbres en semblaient lumineuses. les nuits luisantes sont plus joyeuses que les grands jours de soleil. Sur le boulevard, les cafés flamboyaient ; on riait, on passait, on buvait. J'entrai au théâtre, quelques instants, dans quel théâtre? je ne sais plus. Il y faisait si clair que cela m'attrista et je ressortis le cœur un peu assombri par ce choc de lumière brutale sur les ors du balcon, par le scintillement factice du lustre énorme de cristal, par la barrière du feu de la rampe, par la mélancolie de cette clarté fausse et crue. Je gagnai les Champs-Élysées ou les cafés-concerts semblaient des foyers d'incendie dans les feuillages. Les marronniers frottés de lumière jaune avaient l'air peints, un air d'arbres phosphorescents. Et les globes électriques, pareils à des lunes éclatantes et pâles, à des œufs de lune tombés du ciel, à des perles monstrueuses, vivantes, faisaient pâlir sous leur clarté nacrée, mystérieuse et royale, les filets de gaz, de vilain gaz sale, et les guirlandes de verres de couleur. Je m'arrêtai sous l'arc de Triomphe pour regarder l'avenue, la longue et admirable avenue étoilée, allant vers Paris entre deux lignes de feux, et les astres! Les astres là-haut, les astres inconnus jetés au hasard dans l'immensité où ils dessinent ces figures bizarres, qui font tant rêver, qui font tant songer. J'entrai dans le bois de Boulogne et j'y restai longtemps, longtemps. Un frisson singulier m'avait saisi, une émotion imprévue et puissante, une exaltation de ma pensée qui touchait à la folie. Je marchai longtemps, longtemps. Puis je revins. Quelle heure était-il quand je repassai sous l'arc de Triomphe? Je ne sais pas. La ville s'endormait, et des nuages, de gros nuages noirs s'étendaient lentement sur le ciel. Pour la première fois je sentis qu'il allait arriver quelque chose d'étrange, de nouveau. Il me sembla qu'il faisait froid, que l'air s'épaississait, que la nuit, que ma nuit bien-aimée, devenait lourde sur mon cœur. L'avenue était déserte, maintenant. Seuls, deux sergents de ville se promenaient auprès de la station des fiacres, et, sur la chaussée à peine éclairée par les becs de gaz qui paraissaient mourants, une file de voitures de légumes allait aux Halles. Elles allaient lentement, chargées de carottes, de navets et de choux. Les conducteurs dormaient, invisibles ; les chevaux marchaient d'un pas égal, suivant la voiture précédente, sans bruit, sur le pavé de bois. Devant chaque lumière du trottoir, les carottes s'éclairaient en rouge, les navets s'éclairaient en blanc, les choux s'éclairaient en vert ; et elles passaient l'une derrière l'autre, ces voitures, rouges d'un rouge de feu, blanches d'un blanc d'argent, vertes d'un vert d'émeraude. Je les suivis, puis je tournai par la rue Royale et revins sur les boulevards. Plus personne, plus de cafés éclairés, quelques attardés seulement qui se hâtaient. Je n'avais jamais vu Paris aussi mort, aussi désert. Je tirai ma montre, il était deux heures. Une force me poussait, un besoin de marcher. J'allai donc jusqu'à la Bastille. Là, je m'aperçus que je n'avais jamais vu une nuit si sombre, car je ne distinguais pas même la colonne de Juillet, dont le Génie d'or était perdu dans l'impénétrable obscurité Une voûte de nuages, épaisse comme l'immensité, avait noyé les étoiles, et semblait s'abaisser sur la terre pour l'anéantir.Je revins. Il n'y avait plus personne autour de moi. Place du Château-d'Eau, pourtant, un ivrogne faillit me heurter, puis il disparut. J'entendis quelque temps son pas inégal et sonore. J'allais. A la hauteur du faubourg Montmartre un fiacre passa, descendant vers la Seine. Je l'appelai. Le cocher ne répondit pas. Une femme rôdait près de la rue Drouot : «Monsieur, écoutez donc.» Je hâtai le pas pour éviter sa main tendue. Puis plus rien. Devant le Vaudeville, un chiffonnier fouillait le ruisseau. Sa petite lanterne flottait au ras du sol. Je lui demandai : «Quelle heure est-il, mon brave?» Il grogna : «Est-ce que je sais! J'ai pas de montre.» Alors je m'aperçus tout à coup que les becs de gaz étaient éteints. Je sais qu'on les supprime de bonne heure, avant le jour, en cette saison, par économie ; mais le jour était encore loin, si loin de paraître! «Allons aux Halles, pensai-je, là au moins je trouverai la vie.» Je me mis en route, mais je n'y voyais même pas pour me conduire. J'avançais lentement, comme on fait dans un bois, reconnaissant les rues en les comptant. Devant le Crédit Lyonnais, un chien grogna. Je tournai par la rue de Grammont, je me perdis ; j'errai, puis je reconnus la Bourse aux grilles de fer qui l'entourent. Paris entier dormait, d'un sommeil profond, effrayant. Au loin pourtant un fiacre roulait, un seul fiacre, celui peut-être qui avait passé devant moi tout à l'heure. 

 

 

 




3 commentaires pour ce devoir


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t.mazouz
t.mazouz
Posté le 21 janv. 2020

Bonjour,

 

Fais attention, tu dois écrire ton texte au PASSE et non au présent.

Par exemple : J'entendAIS un bruit derrière moi....

Et n'oublie pas que le début de ta rédaction doit commencer par : « au loin pourtant un fiacre roulait , un seul fiacre, celui peut-être qui avait passé devant moi tout à l’heure . »

Si je peux te donner un conseil, tu peux faire en sorte que l'histoire soit paranormale (fantômes, allucinations...,) si tu apporte beaucoup de paranoia à ton personnage, tu peux facilement gagner des points sur ta redaction. Car la paranoia est synonyme de peur et le paranormal t'enmène forcément dans un monde fantastique "intouchable" et "invisible" pour les être vivants comme nous.

 Si tu veux on peut voir ensemble ta rédaction entière.

 

hinda.abderaman
hinda.abderaman
Posté le 21 janv. 2020

Oui se serais vraiment sympa  merci beaucoup . j'ai changé le début :

Il prit la même route que moi . Mais j'avais tout à coup l'impression qu'il avançait au mon rythme : me suivait-il ? Je chassai cette idée , elle était absurde . Cependant , il allait toujours à la même allure que moi , et je commençai à avoir des doutes . Alors je ralentis , lui aussi , j'accélérais , lui aussi . Plus de doute ! Mais que me voulait-on ? Qui était-ce ...

barbaras.holleman
barbaras.holleman
Posté le 22 janv. 2020

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