écrire un récit fantastique

Publié le 4 févr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 10 févr. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

au XIXe siècle un jeune peintre sans argent est sur le point d'être expulsé de son logement qui lui sert d'atelier. Dans un bric-a-brac du marché il tombe en arrêt devant un tableau(portrait,paysage,vous avez le choix...). Il l'achète pour quelques sous, l'emporte chez lui, le nettoie puis va se coycher. il n'arrive pas a s'endormir et soudain, un étrange phénomène se produit.
Commencez votre récit en mettant en scène cette situation initiale puis imaginez se qi se passe ensuite, jusqu'à la sitution finale. Votre récit sera au passé et adoptera le point de vue interne (1er personne du singulier)

Où j'en suis dans mon devoir

J’étais un jeune peintre sans argent sur le point d’être expulsé de mon logement qui me servait d’atelier. J’étais au marché lorsque j’eus aperçut un incroyable tableau : il représentait une montre brisée sur un rocher. Interloqué par les reproductions très vraisemblable d’insectes, je m’interrogé de l’ambigüité que révélé ce tableau avec la présence en arrière plan de la mer. Je regagnai mon atelier où je nettoyai et posai sur un chevalet cette œuvre énigmatique. Le ventre vide, esseulé la fatigue m’emporta. Je fus réveillé par le bourdonnement d’un insecte qui se cognait à plusieurs reprises sur la vitre. Je regardais pour la fenêtre, plus rien ne bougé. Le temps était arrêté. Je passais devant le tableau achetait au marché, les insectes que j’observais avant la nuit n’y étaient plus. Je passais la main à l’endroit où je les avais vus dessiner, alors ma main fut happée et je me retrouvais échoué sur une plage. Il y avait plein de monde. Des enfants couraient et riaient, des hommes qui faisaient une partie de carte en buvant un cocktail et les femmes qui en surveillant d’un œil leur enfant lisaient le visage serein. Je n’avais jamais vu la mer parce que mes parents ne possédaient pas assez d’argent pour mis emmener. J’étais éblouit par temps de bonheur, chez moi il n’y avait que des gens tristes qui parlaient peu qui n’exprimaient que morosité et peine et j’en faisais partie. Après avoir durant de longues heures observais ces moments de joie et de bonheur partagés. Un pêcheur s’approcha : « - je c’est ce qui vous amène ici et vous trouverai maintenant le bonheur de l’autre côté de la toile.
- je voudrai bien mais comment sortir de cet endroit ?
-Salvator, tu dois savoir que nous somme dans ton futur, pour remonter le temps il te faut trouver la clef de ton présent. » Reprenant le chemin vers la mer le veille homme s’éloigna, me laissant seul avec mes interrogations. Je repensais au tableau, se qui m’avais attiré vers lui c’était les insectes. La nuit était tombé est les mêmes papillons de nuit venaient de se poser près de moi. Etaient-ce eux la clef de mon retour. C’est encore la faim et le sommeil qui me fit sombrer et aussi étonnant que je me fusse retrouvé sur le sable, je ressentais à nouveau la chaleur aigre de ma couche. C’est le bruit des papillons cognant sur la vitre qui me confirmèrent que j’étais bien revenu dans mon présent morne et sans saveur. Mon esprit lui était habité par toute cette joie de bord de mer. Aussi je n’eus plus qu’en idée reproduire cette sensation de plénitude et d’euphorie rencontrée durant mon court voyage dans le futur. Je regardais un petit moment ma toile blanche ne sachant par quoi commencé. Après de longues réflexions je décidais de commencer par la mer. L’eau était d’un bleu turquoise, le sable blanc lisse là où venait de passer une vague. Je fis un grand soleil, sur un ciel bleu. Puis je commençais à dessiner les personnages que j’avais si longuement observé. Mes personnages étaient tous habillés dans des couleurs vives, ils avaient tous un grand sourire. J’étais pour une fois heureux d’avoir pu reproduire cette belle idée du bonheur. J’avais m’y âme et cœur dans cette reproduction du bonheur.
Cela n’était pas arriver depuis mon premier tableau et mon premier tableau était celui que j’avais acheté au marché. Dans ma tête je revoyais la scène du marché, j’avais demandé au marchant si il savait de qui était ce tableau :
« Savait vous de qui est se tableau lui avais-je demandait
-non, je ne sais pas.
-vous l’avait eu où ?
-c’est un homme qui me la donne
-il ne vous a même pas dit de qui il était ??
-si il a dit que se tableau dater de 10ans et que c’était l’un de premier œuvre d’un peintre qui avait des problèmes d’argent en se moment. »
Je ne sus jamais qui était cet homme qui avait donné le tableau au marchant, ce devait être lui qui avait rajouté les insectes. J’avais finit les derniers détails de mon tableau en pensant a tous cela. Ce tableau était la suite de ma premier œuvre. Je mus rendit compte que depuis cette premier œuvre je n’avais plus mis mon cœur et mon âme dans les tous les autres tableaux. Je recommençais a reprendre du plaisir à faire mes tableaux. Je passais la nuit à faire des œuvres. Après avoir passé plus de 12 heures à faire des tableaux. Je regardais à la fenêtre le temps était toujours arrêter. Je ne savais pas comment faire pour le remettre en marche. J’eux une idée si je peignais deux tableaux des gens de la rue mais un comme on les voyait l’autre un peu décalé comme si il avait avancé. Je mis était mis de suite. Lorsqu’ils firent secs je passais le chiffon que j’avais utilisé pour nettoyer le tableau que j’avais acheté au marché. Et tous d’un coup je réentendis le même bruit que j’entendais depuis des années mais pour une fois se bruit me déranger. C’était comme un ostinato musique que je déteste avec de temps en temps un klacson. Je m’étais pendant se temps rappelait que demain j’allai être expulsé de mon logement. Je n’avais plus envie d’habitais en pleine ville mais d’habité a la mer. Pour entendre le son de la mer qui tape dans les rochers, mais il y avait un problème je n’avais pas assez d’argent pour payer une maison au bord de mer. J’eus une autre idée si je nettoyais a nouveau mon tableau que j’avais racheté au marché je pourrai faire de nombreuse œuvre pour pouvoirs les vendre avant que je ne sois a la rue. Mais il y avait un problème le chiffon que j’avais utilisé était sale est allé abîmer le tableau.




15 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
merci,a mon avis ce de vrai fautes d'orthographe parce que je ne suis vraiment pas douée en orthographe
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
est ce que ca vous derangerez pas de corriger les erreur d'orthographe??
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
desolé mais en faite j'ai mis pour le 10 février mais en faite c''est pour demain. je viens de decouvrir le site et j'ai eu du mal a mettre mon texte en ligne cela fait plusieur jour que j'essaye et je viens de reussir
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
meric quand même
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
je me ferais un plaisir de te le corriger ! =)
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
merci beaucoup
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
J’étais un jeune peintre sans argent, sur le point d’être expulsé de mon logement qui me servait d’atelier. J’étais au marché lorsque j’aperçus un incroyable tableau : il représentait une montre brisée sur un rocher. Intrigué par la reproduction très réaliste des insectes, je m’interrogeai de l’ambigüité que révélait le tableau avec en fond la mer. Je regagnai mon atelier où je nettoyai et posai sur un chevalet cette œuvre énigmatique. Le ventre vide, esseulé la fatigue l’emporta. Je fus réveillé par le bourdonnement d’un insecte qui se cognait à plusieurs reprises sur la vitre. Je regardai par la fenêtre, plus rien ne bougeait. Le temps s'était arrêté. Je passai devant le tableau acheté au marché, les insectes que j’observais avant la nuit n’y étaient plus. Je passai la main à l’endroit où je les avais vu auparavant, alors ma main fut entraînée et je me retrouvai échoué sur une plage. Il y avait plein de monde. Des enfants couraient et riaient, des hommes qui faisaient une partie de cartes en buvant un cocktail et les femmes qui, en surveillant d’un œil leur enfant, lisaient le visage serein. Je n’avais jamais vu la mer parce que mes parents ne possédaient pas assez d’argent pour m'y emmener. J’étais ébloui par temps de bonheur, chez moi il n’y avait que des gens tristes qui parlaient peu et qui n’exprimaient que morosité et peine et j’en faisais partie. Après avoir, durant de longues heures, observé ces moments de joie et de bonheur, un pêcheur s’approcha : « - je sais ce qui vous amène ici et vous trouverez maintenant le bonheur de l’autre côté de la toile.
- je voudrais bien mais comment sortir de cet endroit ?
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
mais en fait il faut que je fasse encore un peu de la fin
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
. Je décidai de le laver à la main, mais le temps qu’il sèche cela serait trop tard. J’avais déjà fait un dizaine d’œuvre. Mais je ne savais pas si j’aurais le temps de tous les vendre avant d’être à la rue. Pour ne pas perdre de pendant que le chiffon sécher je recommençais a peindre. Je réussie à en peindre cinq de plus il fallait absolument que je les vends je décidai de tous les prendre et d’aller les vendre dans la rue. Je mis les œuvres en valeurs et en peu de temps une foule énorme vint. Je décidais de mettre en vente mes tableaux à 1000 sous l’unité. Je ne tardif pas a ne plus en avoir. J’eus une nouvelle idée si j’allais chercher un chevalet et que je faisais des portraits des personnes. Après avoir passé plus d’une matinée a faire ça j’eus 1000000 sous se qui me permettait largement d’achetait une maison au bord de mer.
c'est la suite.
je vais manger et je reviens merci de faire se que tu fait JTD
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
-Salvator, tu dois savoir que nous sommes dans ton futur, pour remonter le temps il te faut trouver la clef de ton présent. » Reprenant le chemin vers la mer, le vieil homme s’éloigna, me laissant seul avec mes interrogations. Je repensai au tableau, se qui m’avais attiré vers lui c’était les insectes. La nuit était tombée et des papillons de nuit venaient de se poser près de moi. Étaient-ce eux la clef de mon retour? C’est encore la faim et le sommeil qui me firent sombrer et aussi étonnant que cela puisse paraître, je ressentis de nouveau la chaleur aigre de ma couche. C’est le bruit des papillons cognant sur la vitre qui me confirmèrent que j’étais bien revenu dans le présent morne et sans saveur. Mon esprit lui, était habité par toute cette joie de bord de mer. Aussi je n’eus plus qu’une idée en tête: reproduire cette sensation de plénitude et d’euphorie rencontrée durant mon court voyage dans le futur. Je regardai un petit moment ma toile blanche ne sachant pas par quoi commencer. Après de longues réflexions, je décidai de commencer par la mer. L’eau était d’un bleu turquoise, le sable blanc lisse là où venait de passer une vague. Je fis un grand soleil, sur un ciel bleu. Puis je commençais à dessiner les personnages que j’avais si longuement observé. Mes personnages étaient tous habillés dans des couleurs vives. Ils avaient tous un grand sourire aux lèvres. J’étais pour une fois heureux d’avoir pu reproduire cette belle idée du bonheur. J’y avais mis âme et cœur dans cette reproduction de joie.
Cela ne m'était pas arrivé depuis mon premier tableau et le premier avait été celui que j’avais acheté au marché. Dans ma tête je revoyais la scène du marché, j’avais demandé au marchand si il savait de qui était ce tableau :
« Savez-vous de qui est se tableau? lui avais-je demandé.
-non, je ne sais pas.
-vous l'avez eu où ?
-c’est un homme qui me l'a donné
-il ne vous a même pas dit de qui il était ?
-si, il a dit que ce tableau datait de 10 ans et que c’était l’un des premières œuvres d’un peintre qui avait des problèmes d’argent en ce moment. »
Je ne sus jamais qui était cet homme qui avait donné le tableau au marchand, cela devait être lui qui avait rajouté les insectes. J’avais fini les derniers détails de mon tableau en pensant à tous cela. Ce tableau était la suite de ma première œuvre. Je me rendis compte que depuis cette dernière, je n’avais plus mis mon cœur et mon âme dans les tous les autres tableaux. Je recommençai a reprendre du plaisir à faire des tableaux. Je passai la nuit à faire des œuvres. Après avoir passé plus de douze heures à peindre, je regardais à la fenêtre le temps était toujours en arrêt. Je ne savais pas comment faire pour revenir dans l'activité. J’eus soudain une idée. Si je peignais deux tableaux représentant les gens de la rue mais l'un serait comme je le voyais dans le moment et l’autre un peu décalé comme si il avait avancé. Je m'y mis de suite. Lorsqu’ils furent secs, je passai le chiffon que j’avais utilisé pour nettoyer le tableau que j’avais acheté au marché. Et tous à coup, je perçus le même bruit que j’entendais depuis des années mais pour une fois le son me dérangeait. C’était comme un Ostinato musique que je déteste avec de temps en temps un klacson. Je m’étais pendant se temps rappelait que demain j’allai être expulsé de mon logement. Je n’avais plus envie d’habitais en pleine ville mais d’habité a la mer. Pour entendre le son de la mer qui tape dans les rochers, mais il y avait un problème je n’avais pas assez d’argent pour payer une maison au bord de mer. J’eus une autre idée si je nettoyais a nouveau mon tableau que j’avais racheté au marché je pourrai faire de nombreuse œuvre pour pouvoirs les vendre avant que je ne sois a la rue. Mais il y avait un problème le chiffon que j’avais utilisé était sale est allé abîmer le tableau.
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010

désolé j'ai eu un beug je m'étais arrêté à :

C’était comme un " Ostinato " en musique que je détestais avec de temps en temps un klaxon. Je m’étais pendant ce temps rappelé que demain j’allais être expulsé de mon logement. Je n’avais plus envie d’habiter en pleine ville mais au bord de la mer. Pour pouvoir entendre le son de cette dernière, les vagues qui frappent contre les rochers, mais il y avait un problème. Je n’avais pas assez d’argent pour payer une maison au bord de mer. J’eus une autre idée si je nettoyais à nouveau mon tableau que j’avais acheté au marché, ainsi, je pourrais faire de nombreuses œuvres pour pouvoir ensuite les vendre avant que je ne me retrouve à la rue. Mais il y avait un problème, le chiffon que j’avais utilisé était sale et aller abîmer le tableau.
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
Je décidai de le laver à la main, mais le temps qu’il sèche, il serait trop tard. J’avais déjà fait une dizaine d’œuvres. Mais je ne savais pas si j’aurais le temps de tous les vendre avant d’être à la rue. Pour ne pas perdre de temps pendant que le chiffon séchait, je recommençai à peindre. Je réussis à faire cinq tableaux de plus. Il fallait absolument que je les vendis. je décidai de tous les prendre et d’aller les vendre dans la rue. Je mis les œuvres en valeur et en peu de temps une grande foule s'était rassemblée autour de moi. Je décidai de mettre en vente mes tableaux à mille sous l’unité. Il ne fallut pas longtemps pour ne plus en avoir. Une nouvelle idée me vint à l'esprit: et si j’allais chercher un chevalet et que je faisais le portrait des personnes? Après avoir passé plus d’une matinée au travail, j’eus 1000000 sous se qui me permettait largement d’acheter une maison en bord de mer.
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
j'espère ne rien avoir oublié ! à demain ! bisous
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010
merci beaucoup pour le reste je vais me débrouillé
a demain
Anonyme
Posté le 4 févr. 2010

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