Nouvelle fantastique avec le champ lexical de la peur

Publié le 8 janv. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 21 janv. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

RÉDIGER UNE NOUVELLE FANTASTIQUE EN INTRODUISANT LE CHAMP LEXICAL DE LA PEUR ET INTRODUIRE UN PHÉNOMÈNE ÉTRANGE .

Où j'en suis dans mon devoir

LE SPECTRE




Un soir, par une nuit froide j'étais allé dans un hôpital abandonné pour un reportage sur des phénomènes étranges, j'entendais la pluie abondante battre sur les vitres et stagner sur le toit en ardoise.

C'est à ce moment là que j'aperçus un spectre. Mes jambes tremblaient mais je décidais quand même de rapporter les images de ce phénomène.

Il me fallait absolument l'immortaliser sur la pellicule car personne ne me croirait. J'essayais à plusieurs reprises de faire la prise, de la refaire, mais en vain, à la lecture de la vidéo, aucune trace, aucun signe.
Alors que derrière moi des bruits bizarres s'amplifiaient, je me retournais d'un bond mais le spectre disparaissait. On ajoute à cela des volets qui tapaient avec le vent, et la peur me tétanisait un peu plus, mes mains se figeaient, mon cœur se mettait à battre la chamade. J’étais seul avec le phénomène sans témoin et la technologie qui me lâchait...

Même si je ne pourrai pas diffuser des images, il restera mon vécu, et ma peur, il ne restera de cette nuit terrifiante que mon témoignage verbal.

Il me manque une péripétie pourriez-vous me donnez des idées pour poursuivre ma nouvelle .



7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 8 janv. 2010
tu me permets : je copie ton texte et je corrige...
Anonyme
Posté le 8 janv. 2010
Un soir, par une nuit froide j'étais allé dans un hôpital abandonné pour un reportage sur des phénomènes étranges.

J'entendais la pluie abondante battre sur les vitres et stagner sur le toit en ardoise.

C'est à ce moment là que j'aperçus un spectre. (décris ce que tu vois, ici) Mes jambes tremblaient, mais je décidais quand même de rapporter les images de ce phénomène.

Il me fallait absolument l'immortaliser sur la pellicule car personne ne me croirait. J'essayais à plusieurs reprises de faire la prise, de la refaire, mais en vain, à la lecture de la vidéo, aucune trace, aucun signe.

Alors que derrière moi des bruits bizarres s'amplifiaient, je me retournais d'un bond mais le spectre disparut. Ajoutez à cela des volets qui tapaient avec le vent, et la peur qui me tétanisait un peu plus à chaque instant, mes mains se figeaient et se glaçaient, mon cœur se mettait à battre la chamade.

J’étais seul avec le phénomène sans témoin et la technologie qui me lâchait...

Tant pis, je ne pourrai pas diffuser des images, mais il restera mon vécu et ma peur, il ne restera de cette nuit terrifiante au moins ce témoignage verbal.

que veux-tu y ajouter ? A+

Anonyme
Posté le 8 janv. 2010
j'ai trouvé un site qui correspond à tes attentes :

http://www.educnet.education.fr/lettres/im_pdflettres/chpeurfreemind/file

La peur :

• Noms : affolement, angoisse, crainte, appréhension, effroi, épouvante, frayeur, inquiétude, terreur, couardise.
• Verbes : Apeurer, épouvanter, terroriser, effrayer, craindre, redouter, paniquer, trembler, tressauter, sursauter.
• Adjectifs : peureux, pusillanime, poltron, couard, craintif, timoré, effrayé, froussard, pétrifié, épouvanté, trouillard, terrifiant.
• Adverbes : peureusement, craintivement.
• Expressions : être mort de peur, être blanc ou vert de peur, être en proie à la peur, être transis de peur, trembler de peur, avoir une peur bleue, avoir les chocottes, avoir la frousse, avoir le trac, avoir la tremblote, les avoir à zéro, être paralysé de peur, avoir des sueurs froides, claquer des dents.
Anonyme
Posté le 8 janv. 2010
Un soir, par une nuit froide j'étais allé dans un hôpital abandonné pour un reportage sur des phénomènes étranges.

J'entendais la pluie abondante battre sur les vitres et stagner sur le toit en ardoise.

C'est à ce moment là que j'aperçus un spectre. Mes jambes tremblaient, mais je décidais quand même de rapporter les images de ce phénomène.

Il me fallait absolument l'immortaliser sur la pellicule car personne ne me croirait. J'essayais à plusieurs reprises de faire la prise, de la refaire, mais en vain, à la lecture de la vidéo, aucune trace, aucun signe.

Alors que derrière moi des bruits bizarres s'amplifiaient, je me retournais d'un bond mais le spectre disparut. Ajoutez à cela des volets qui tapaient avec le vent, et la peur qui me tétanisait un peu plus à chaque instant, mes mains se figeaient et se glaçaient, mon cœur se mettait à battre la chamade.

J’étais seul avec le phénomène sans témoin et la technologie qui me lâchait...

Tant pis, je ne pourrai pas diffuser des images, mais il restera mon vécu et ma peur, il ne restera de cette nuit terrifiante au moins ce témoignage verbal.

Voila petit conseil,quand tu parle du spectre,décris le un peu
Si tu vois pas trop,voila un lien sur cela tu trouvera comment déecrir la peur

http://www.lille.iufm.fr/passages/article.php3?id_article=123
Anonyme
Posté le 8 janv. 2010
bonsoir,

tu pourrais un peu te fatiguer pour la fin, car ce texte c'est moi qui te l'avais écrit avant le bug ,alors fais un effort, on ne va pas toujours tout te donner
Anonyme
Posté le 8 janv. 2010
Je sentis une douce chaleur s’approcher de mon visage. Avais-je rêvé cette méchanceté, avait-elle été feinte ? Je ne pouvais plus me contredire à partir du moment où je reçue un crochet du gauche flamboyant. Je sentais une démangeaison dans ma pommette, gonflait-elle déjà ? Je m’en moquais, la seule véritable question c’était : comment avais-je été attaquée ? Comment un fantôme pouvait-il se rendre consistant et me frapper d’une telle force, m’amenant à goûter à la couche de poussière étalée sur le sol. La problématique laissa peur à l’effroi. La silhouette se rapprochait lentement, inexorablement, de moi. J’avais la crainte de ressortir de cette hôpital en morceau, voir même mort. Mon cœur s’accélérait, m’avouant mon anxiété d’une façon peu aimable.
Et puis ce fut le noir. La pièce redevint sombre, comme-ci toute cette scène avait été crée par ma seule imagination. Pourtant, mon cœur lui, ne cessait pas de cogner avec une puissance non feinte. Je me relevais lentement, effrayé par l’idée d’être encerclé par un nouveau spectre. Je tournais sur moi-même. Rien. Il ne fallait pas me le dire deux fois, je prenais mes jambes à mon cou, et fuyais à l’anglaise. Ou comme un voleur, au choix. Je tentais, pendant tout le trajet, de me rappeler des évènements, d’être sûr de ce que j’avais vécu. Et je repensais à ce maudit appareil photo toujours encré entre mes mains, il allait me révéler ma folie, ou au contraire la réalité des choses, aussi dure soit-elle.
J’avançais lentement vers mon ordinateur, le cœur cognant plus fort que jamais. J’insérais cette carte mémoire infime, et je visionnais les photos, une après l’autre. Passant de mes dernières vacances, à mes dernières investigations, jusqu’à cette fameuse soirée. Et les photos…

Blanches, totalement blanches. Le blanc n’était-il pas le signe du bien, de la pureté ? Pourtant ce fantôme avait été… Maléfique, diabolique. Avais-je rêvé, étais-je devenu fou au point de tomber tout seul, et de me cogner avidement le visage ? Je prenais ma tête entre mes mains, empreins au désespoir. Jusqu’à ce que je relève le visage, jusqu’à ce que mes yeux aperçoivent à nouveau cette photo, et jusqu’à ce que comme par enchantement je sois propulsé au fond de la pièce par une étrange lumière blanche.

C'est un exemple, bien entendu. Merci de le respecter et donc de ne pas le recopier, je n'ai jamais eu un tel sujet, je t'aide juste en donnant un exemple et non pas un texte à recopier.
Anonyme
Posté le 16 janv. 2010
Mais, tout à coup, le spectre noir réapparu et le flash de l'appareil se mit en route tout seul. Que d'évennement étranges.
Je ne vis pas le spectre mais je tirai la photo et , devinez-quoi, il était dessus en me touchant l'épaule. Je sorti de l'hôpital pour ramener la photo à l'école. Donc, comme prévu, le lendemain matin, je ramenait l'appareil à l'école et montrai le spectre. Il était toujours sur la photo et les élèves étaient très surpris. Je n'y croyait toujours pas mais le professeur me mit un 19/20 en trucage alors que tout ceci c'était bien passer mais cela rester peu clair dans ma tête. Quand je rentrai chez moi, je donnai ma note à mes parents et, eux qui avaient l'habitude de me voir avec des 19/20, me dirent juste "Bien mon enfant, continue comme ça". Le soir, je partis me coucher sans manger et, en pleine nuit, je me réveillerait, c'était le spectre...

J'espère que cela te plait et que je n'en ai pas trop fait.
@+ et Bonne chance...

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