rédaction

Publié le 1 févr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 5 févr. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Au 19ème siècle, un jeune peintre sans argent est sur le point d'être expulsé de son logement qui lui sert d'atelier. Dans un bric-à-brac du marché, il tombe en arrêt devant un tableau. Il l'achète pour quelques sous, l'emporte chez lui, le nettoie puis va se coucher. Il n'arrive pas à s'endormir et soudain, un étrange phénomène se produit...

Où j'en suis dans mon devoir

le travail est déjà fait c'est juste pour corriger les fautes d'orthographes ! merci d'avance !

Morgan Weistling - Reflection

Je me réveillai subitement, percevant une mélodie non loin de moi. Mais qu'était-elle donc, cette douce mélopée qui enivrait tous mes sens ? Peut être mon esprit me jouait t-il des tours ? Où alors le fait que ces maudis bailleurs de fonds me coupent les vivres, m'avait t-il affaibli ? Ma curiosité l'emporta, je m'assis sur ma couche, et tentai de découvrir d'où ce doux son provenait. L'oreille tendue, je crus le percevoir au fond de mon atelier. Je jetais un coup d'œil à la machinerie de mon appareil, qui indiquait trois heures. Malgré l'heure avancée de la nuit, je quittai ma natte pour me mettre en quête de ce bruit mystérieux qui continuait de me braver. Debout au milieu de la pièce, la cantilène se fit plus insistante presque implorante. Je venais d'allumer une chandelle lorsque le son s'effaça, me laissant perplexe. Ne sachant plus quoi penser de tout cela, je retournai à ma couche, à la fois confus et déçu. Je sommeillai jusqu'au lever du jour, repensant à l'étrange phénomène d'hier soir. Cela me tourmentai tellement que je décidai de prendre un peu l'air de peur d'être devenu fou. Si c'était le cas, le Tentateur avait réussi son coup. Il était peut-être là à m'observer attendant mon heure, jouissant du massacre fait à un pauvre peintre. L'air frais me fît grand bien, si bien que j'en oublier, pour quelques instants, mes tourments. Malgré ma pauvre condition, je ne pouvais nier le fait que la vue était splendide vu d'ici. Car mon atelier se trouvait en haut d'un vieux bâtiment délabré que tenait un vieil antiquaire de bon marché, qui depuis des années, guettait le moment où je partirais. Mais voilà dix ans que je lui tenais tête et ce n'est pas maintenant que cela allait changer!

Soudain, je repensai à ce tableau que j'avais acheté avec mes derniers sous au marché. Avec tous ces évènements, je l'avais intégralement oublié! Et pourtant, une telle beauté ne s'oublie pas facilement, croyez moi. Je me rappelle bien, lorsque je l'avais entraperçu parmi d'autres objets sans valeur, tel un ange déchu, elle se contemplait dans son beau miroir, irréelle et fantastique. Malgré la poussière qui recouvrait la peinture, on pouvait voir sa belle silhouette se détachant du reste du décor, elle vous illuminait à elle seule, avec sa belle robe blanche qui resplendissait au soleil, ses cheveux bouclés paraissaient de l'or à la lumière. Et puis, ce visage, tel la plus belle créature au monde, elle s'admirait dans son miroir contemplant son teint hâlé, ses lèvres carmins, son nez droit, ses yeux cobalt, ses sourcils qui la laissaient impassible face à son reflet. Un élan d'amour était né en moi. Tel sentiment pourrait assurer que j'étais devenu un aliéné, et pourtant je ne pouvais le nier.
Je sortis de ma léthargie et revenait au présent en entendant la mélodie. Mon cœur chavira, et je couru guidait par elle, quelle ne fût pas ma surprise de découvrir que le son provenait du portrait de ma douce! J'écoutais plus attentivement, il me semblait entendre de la harpe mais ce n'était là, qu'une simple hypothèse car il aurait était impossible d'en être sûr. Puis, alors que j'avisais le portrait, il me sembla distinguai de fines traces sur le miroir du tableau. Gardant toujours mes bésicles avec moi, je les sorti de ma poche et les mis. Grand dieu! Était-ce là bien des mots? J'aurais beaucoup de mal à les lire car ils étaient presque indiscernable. Pourtant, c'est à cela que je passai le reste de ma journée, n'allant juste au marché que pour acheter de quoi nettoyer le tableau avec le plus grand soin et une infime précision. Le travail achevé, le soleil avait laissé place à la lune, quand à moi je me tenais debout, fier de ma trouvaille, à contempler la toile. Malgré tout, une question me préoccupait, pourquoi ces mots étaient-ils là ? Je me les rappelai tâchant de trouver une réponse adéquate: « mon destin est entre vos mains. » Pourquoi l'artiste avait-il peint cela sur sa peinture? Cela n'avait aucun sens! Je décidai d'aller me coucher, espérant avoir les idées plus claires le lendemain. Hélas, malgré cette sage décision, je ne réussi à fermer l'œil de la nuit, hanté par cette énigme. C'était devenu une hantise qui ne me lâchait plus.
Au lever du jour, je décidai d'aller voir le peintre qui l'avait créé. C'est avec un nouvel espoir que je sorti de chez moi, et me dirigeai vers le marché. Je pris de cette promenade, pour respirer l'air doux de campagne du village. Lorsque j'arrivai enfin au marché, la foule se bousculait pour voir les nouvelles marchandises que les marchands leur proposaient. Priant pour qu'il soit encore là, je réussi tant bien que mal à me frayer un passage parmi la cohue, me faisant bousculer au passage. Et quelle ne fût pas mon désespoir, lorsque je découvris l'emplacement vide, tout espoir qui pu y avoir en moi disparu. Cela devenait aberrant! Je repris le chemin du retour bien décidé à élucidé cette affaire. Mais lorsque j'arrivai chez moi, comme pour saboter le reste de ma journée, l'antiquaire m'attendait patiemment sur le pas de sa porte, un sourire malfaisant aux lèvres. Je savais que je ne lui avais pas encore donner les fonds pour ce mois-ci. Sachant bien que je ne m'en sortirais pas cette fois-ci, je lui sortis le reste de mes gains de ma bourse de fortune et les lui donnai.
Lorsque je rentrai enfin chez moi, j'étais abattu. Comment allais-je finir le mois ? S'en était fini de moi, je ne pourrais jamais tenir, il m'avait tout pris le malotru! Le rustre! Je continuais à me plaindre de mon sort si bien que je n'avais pas aperçu le changement de la toile. Je ne m'en rendis compte qu'à la toute fin de la journée, où le soleil descendait lentement derrière les plaines, que non seulement les inscriptions avaient disparut du miroir mais qu'en plus elles avaient été remplacées par un autre message! Intrigué, je partis chercher mon mémorandum où j'avais écris la phrase pour être sûr qu'elle ne m'échappe pas. Oui j'en étais certain à présent, ce n'était pas le peintre qui avait écrit ces mots, mais c'était bel et bien la dame du tableau! Je la fixais intensément croyant la voir bouger à tous moments, mais elle n'en fît rien. Je remis donc mes verres sur le nez et me remis à l'ouvrage. La tâche finie, j'étais turbide ne sachant pas comment interpréter le message. Je l'écrivis aussitôt sur mon mémento: « Liberté ». Pourtant le message paraissait irréfutable mais si absurde! Comment une dame pouvait-elle être prisonnière d'un tableau? Et si c'était réellement la vérité comment l'en sortir? Ma tête me tournait, trop de question se bousculaient entre-elles. Je décidai de faire une pause et m'installai à la croisée, admirant ce magnifique panorama qui s'étendait sous mes yeux. La lune éclairait d'une douce lumière les ruelles désertes, se reflétant sur chaque baies...
Subitement, une idée germa dans mon esprit. J'avais remarquai, il y a quelques heures, que sur la peinture se trouvait une fenêtre placé juste à côté de la dame. C'est justement elle qui éclairait tout le tableau. Peut-être serait-elle la clé de l'histoire, celle qui pourrait libérer ma douce! Je revins auprès du tableau et contemplai le vitrage, ensuite je parti chercher au fond d'un tiroir de quoi dessiner et écrire puis je me mis à l'œuvre. L'esquisse terminée, je constatai qu'il était parfaitement possible de peindre par dessus la peinture. N'ayant plus peins depuis un certain temps, une appréhension m'envahit. Et si le don s'était éteint en moi ? Ne me laissant pas me décourager, je préparai tout mon matériel nécessaire qui me permettrai de peindre dans de bonnes conditions, puis commençai le travail, tremblant. Cela dura pendant des heures interminables durant lesquelles la peur ne me quitta pas. Quand tout fût enfin fini, un éclat de joie se lut dans mes yeux, j'avais réussi, moi peintre pauvre et sans valeur dans la société, avait peint une œuvre unique tel que personne n'en a jamais connu de pareil. A présent, ce n'était plus le même tableau, on pouvait voir la fenêtre grande ouverte, qui laissait librement la lumière s'installer dans la pièce et éclairer le beau visage de la dame, qui à présent avait l'air heureuse. Je crus même discerner un léger sourire à ses lèvres, mais cela devait certainement être mon imagination, n'est-ce pas ? Je partis enfin me coucher, en paix. Je savais que tout irait mieux à présent. Quelque chose en moi s'était réveillé. Ce soir là, je dormis sereinement si bien que lorsque je me levai, le soleil avait déjà emplit la pièce d'une douce lumière. Quand je me levai, une chose fantastique se produisit, car lorsque je m'étais approché de la toile, elle n'était plus là, ma chère et tendre avait prit son envol vers la liberté. Je remarquai qu'elle avait laissé un mot et un seul sur le miroir qui me fit sourire,
« merci ».
Quand l'on croit que tout va mal y se peut parfois qu'un miracle se produise.




14 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
c'est un travil long, ne te décourage pas, je reviens :
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
merci =)
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
Je me réveillai subitement, percevant une mélodie non loin de moi. Mais qu'était-ce donc, cette douce mélopée qui enivrait tous mes sens ? Peut être mon esprit me jouait t-il des tours ? Où alors le fait que ces maudis bailleurs de fonds me coupent les vivres, m'avait t-il affaibli ? Ma curiosité l'emporta, je m'assis sur ma couche, et tentai de découvrir d'où ce doux son provenait. L'oreille tendue, je crues le percevoir au fond de mon atelier. Je jetais un coup d'œil à l'horloge, qui indiquait trois heures. Malgré l'heure avancée de la nuit, je quittai ma natte pour me mettre en quête de ce bruit mystérieux qui continuait de me braver. Debout au milieu de la pièce, la cantilène se fit plus insistante presque implorante. Je venais d'allumer une chandelle lorsque le son s'effaça, me laissant perplexe. Ne sachant plus quoi penser de tout cela, je retournai me coucher, à la fois confus et déçu. Je sommeillai jusqu'au lever du jour, repensant à l'étrange phénomène d'hier soir. Cela me tourmentai tellement que je décidai de prendre un peu l'air de peur d'être devenu fou. Si c'était le cas, le Tentateur avait réussi son coup. Il était peut-être là à m'observer attendant mon heure, jouissant du massacre fait à une pauvre peintre. L'air frais me fît grand bien, si bien que j'en oublier, pour quelques instants, mes tourments.
Je m'arrête là car je vois qu'il n'y pas énormément de fautes
Tu la écrite tous seul ou c'est un texte copier d'un site?
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
je suis assez choqué de ces propos ! Je tiens à dire que je ne suis pas DU TOUT ce genre de personne et que ce texte est ENTIÈREMENT fait pas moi! j'espère que vous me croirez sinon et bien cherchez sur le net mais je vous certifie que vous ne trouverez rien !

Aurélie
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
Oula!!?? ce que je disais n'est pas méchant du tout tu l'as mal pris je crois...C'est tout en ton honneur de faire un texte comme cela...Mais je pensai que tu es vraiment doué pour la rédaction..
à ton âge c'est à peine si j'arrivai à faire une phrase correcte ^^
(et encore aujourd'hui ^^)
Et je suis très content de personne comme toi qui recopie bêtement ce que d'autre on fait.
Je vois que compostelle s'occupe de toi donc je la laisse faire car personnellement je pense même que je vais oublier des fautes.
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
qui ne recopie pas*(lol)
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
désolé si je me suis emporté c'est juste que j'y ai passé énormément de temps et lorsque je vois que les gens ne me croient pas ça fait un peu mal mais d'un autre côté ça montre que tu apprécie le travail que j'ai fait =) donc merci quand même !
encore désolé...
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
Je me réveillai subitement, percevant une mélodie non loin de moi. Mais qu'était-ce donc, cette douce mélopée qui enivrait tous mes sens ? Peut-être mon esprit me jouait-il des tours ? Où alors le fait que ces maudits bailleurs de fonds m'aient coupé les vivres, m'avait-il affaibli ?

Ma curiosité l'emporta, je m'assis sur ma couche, et tentai de découvrir d'où ce doux son provenait. L'oreille tendue, je crus le percevoir au fond de mon atelier. Je jetai un coup d'œil à la machinerie de mon appareil, qui indiquait trois heures. Malgré l'heure avancée de la nuit, je quittai ma natte pour me mettre en quête de ce bruit mystérieux qui continuait de me braver. Debout, au milieu de la pièce, la cantilène se fit plus insistante presque implorante. Je venais d'allumer une chandelle lorsque le son s'effaça, me laissant perplexe.

Ne sachant plus quoi penser de tout cela, je retournai à ma couche, à la fois confus et déçu. Je sommeillai jusqu'au lever du jour, repensant à l'étrange phénomène d'hier soir. Cela me tourmentai tellement que je décidai de prendre un peu l'air, de peur d'être devenu fou. Si c'était le cas, le Tentateur avait réussi son coup. Il était peut-être là à m'observer attendant mon heure, jouissant du massacre fait à un pauvre peintre. L'air frais me fît le plus grand bien, si bien que j'en oubliai, pour quelques instants, mes tourments.

Malgré ma pauvre condition, je ne pouvais nier le fait que la vue était splendide d'ici. Car mon atelier se trouvait en haut d'un ancien bâtiment délabré que tenait un vieil antiquaire à bon marché, qui depuis des années, guettait le moment où je partirais. Mais voilà dix ans que je lui tenais tête et ce n'est pas maintenant que cela allait changer !

Soudain, je repensai à ce tableau que j'avais acheté avec mes derniers sous au marché. Avec tous ces évènements, je l'avais totalement oublié ! Et pourtant, une telle beauté ne s'oublie pas facilement, croyez moi.

Je me rappelle bien, lorsque je l'avais entraperçu parmi d'autres objets sans valeur, tel un ange déchu, elle (qui ?) se contemplait dans son beau miroir, irréelle et fantastique. Malgré la poussière qui recouvrait la peinture, on pouvait voir sa belle silhouette se détachant du reste du décor, elle vous illuminait à elle seule, avec sa magnifique robe blanche qui resplendissait au soleil, ses cheveux bouclés paraissaient de l'or à la lumière. Et puis, ce visage, tel la plus belle créature au monde, elle s'admirait dans son miroir contemplant son teint hâlé, ses lèvres carmins, son nez droit, ses yeux cobalt, ses sourcils qui la laissaient impassible face à son reflet. Un élan d'amour était né en moi. Tel sentiment pourrait assurer que j'étais devenu un aliéné, et pourtant je ne pouvais le nier.

Je sortis de ma léthargie et revins au présent en entendant la mélodie. Mon cœur chavira, et je couru guidé par elle, quelle ne fût pas ma surprise de découvrir que le son provenait du portrait de ma douce ! J'écoutais plus attentivement, il me semblait entendre de la harpe mais ce n'était là, qu'une simple hypothèse car il aurait été impossible d'en être sûr. Puis, alors que j'avisais le portrait, il me sembla distinguer de fines traces sur le miroir du tableau. Gardant toujours mes bésicles avec moi, je les sortis de ma poche et les mis. Grand Dieu ! Était-ce là bien des mots? J'aurais beaucoup de mal à les lire car ils étaient presque indiscernables. Pourtant, c'est à cela que je passai le reste de ma journée, n'allant juste au marché que pour acheter de quoi nettoyer le tableau avec le plus grand soin et une infime précision.

Le travail achevé, le soleil avait laissé place à la lune, quand à moi je me tenais debout, fier de ma trouvaille, à contempler la toile. Malgré tout, une question me préoccupait, pourquoi ces mots étaient-ils là ? Je me les rappelai tâchant de trouver une réponse adéquate: « mon destin est entre vos mains. » Pourquoi l'artiste avait-il peint cela sur sa peinture? Cela n'avait aucun sens! Je décidai d'aller me coucher, espérant avoir les idées plus claires le lendemain.

Hélas, malgré cette sage décision, je ne réussis à fermer l'œil de la nuit, hanté par cette énigme. C'était devenu une obsession qui ne me lâchait plus.

Au lever du jour, je décidai d'aller voir le peintre qui l'avait créé. C'est avec un nouvel espoir que je sortis de chez moi, et me dirigeai vers le marché. Je profitai de cette promenade, pour respirer l'air doux de la campagne et du village. Lorsque j'arrivai enfin au marché, la foule se bousculait pour voir les nouvelles marchandises que les marchands leur proposaient.

Priant pour qu'il soit encore là, je réussis tant bien que mal à me frayer un passage parmi la cohue, me faisant bousculer au passage. Et quelle ne fût pas mon désespoir, lorsque je découvris l'emplacement vide, tout l'espoir qui avait pu naître en moi, avait disparu. Cela devenait aberrant! Je repris le chemin du retour bien décidé à élucider cette affaire. Mais lorsque j'arrivai chez moi, comme pour saboter le reste de ma journée, l'antiquaire m'attendait patiemment sur le pas de sa porte, un sourire malveillant aux lèvres. Je savais que je ne lui avais pas encore donner le loyer pour ce mois-ci. Sachant bien que je ne m'en sortirais pas cette fois encore, je lui sortis le reste de mes gains de ma bourse de fortune et les lui donnai.

Lorsque je rentrai enfin chez moi, j'étais abattu. Comment allais-je finir le mois ? C'en était fini de moi, je ne pourrais jamais tenir, il m'avait tout pris le "rat" ! Le rustre! Je continuais à me plaindre de mon sort si bien que je n'avais pas aperçu le changement de la toile. Je ne m'en rendis compte qu'à la toute fin de la journée, où le soleil descendait lentement derrière les plaines, que non seulement les inscriptions avaient disparus du miroir mais qu'en plus elles avaient été remplacées par un autre message ! Intrigué, je partis chercher mon mémorandum où j'avais écrit la phrase pour être sûr qu'elle ne m'échappe pas. Oui j'en étais certain à présent, ce n'était pas le peintre qui avait écrit ces mots, mais c'était bel et bien la dame du tableau ! Je la fixais intensément croyant la voir bouger à tous moments, mais elle n'en fît rien. Je remis donc mes verres sur le nez et me remis à l'ouvrage. La tâche finie, j'étais turbide ne sachant pas comment interpréter le message. Je l'écrivis aussitôt sur mon mémento : « Liberté ». Pourtant le message paraissait irréfutable mais stellement absurde! Comment une dame pouvait-elle être prisonnière d'un tableau ? Et si c'était réellement la vérité, comment l'en sortir ? La tête me tournait, trop de questions se bousculaient entre elles. Je décidai de faire une pause et m'installai à la croisée, admirant ce magnifique panorama qui s'étendait sous mes yeux. La lune éclairait d'une douce lumière les ruelles désertes, se reflétant sur chaque baie...
Subitement, une idée me traversa l'esprit. J'avais remarqué, il y a quelques heures, qu'au-dessus de la peinture, se trouvait une fenêtre placée juste à côté de la dame. C'est justement elle qui éclairait tout le tableau. Peut-être serait-elle la clé de l'histoire, celle qui pourrait libérer ma douce ! Je revins auprès du tableau et contemplai le vitrage, ensuite je partis chercher au fond d'un tiroir de quoi dessiner et écrire puis je me mis à l'œuvre. L'esquisse terminée, je constatai qu'il était parfaitement possible de peindre par dessus la peinture. N'ayant plus peins depuis un certain temps, une appréhension m'envahit. Et si le don s'était éteint en moi ? Ne me laissant pas décourager, je préparai tout le matériel nécessaire qui me permettrait de peindre dans de bonnes conditions, puis commençai le travail, tremblant. Cela dura pendant des heures interminables durant lesquelles la peur ne me quitta pas. Quand tout fût enfin fini, un éclat de joie se lut dans mes yeux, j'avais réussi, moi peintre pauvre et sans valeur dans la société, avait peint une œuvre unique tel que personne n'en a jamais connu de pareil. A présent, ce n'était plus le même tableau, on pouvait voir la fenêtre grande ouverte, qui laissait librement la lumière s'installer dans la pièce et éclairer le beau visage de la dame, qui à présent avait l'air heureuse. Je crus même discerner un léger sourire à ses lèvres, mais cela devait certainement être le fruit de mon imagination, n'est-ce pas ? Je partis enfin me coucher, en paix. Je savais que tout irait mieux à présent. Quelque chose en moi s'était réveillé. Ce soir là, je dormis sereinement si bien que lorsque je me levai, le soleil avait déjà emplit la pièce d'une douce lumière. Une chose fantastique se produisit alors, car lorsque je m'étais approché de la toile, elle n'était plus là, ma chère et tendre avait prit son envol vers la liberté. Je remarquai qu'elle avait laissé un mot et un seul sur le miroir qui me fit sourire,
« merci ».

Quand l'on croit que tout va mal, il se peut parfois qu'un miracle se produise.


Voilà. A un endroit j'ai mis entre parenthèse "Qui ?" car tu parles d'elle sans qu'on sache qui c'est, on ne le découvre qu'après. Bon courage
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
Non je ne l'apprécie pas.... je l'adore c'est une différence , l'écriture enfin la rédaction ,a toujours été mon point faible à l'école ^^
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
je comprends la réaction d'aiglez, car moi-même je suis soufflée de ton style et de tes idées... tu as de l'avenir dans l'écriture ou le journaliste. Cela fait vraiment plaisir de voir une "jeunesse" maîtriser aussi bien le français... et tu n'as pas fait tellement de fautes... quelques fautes d'accord, j'espère n'avoir rien oublier. J'ai parfois modifié des mots pour éviter les répétitions. Pour le mot "mélopée" vérifie quand même le sens exact. Bravo, je suis vraiment fière de toi. Je te souhaite une pleine réussite dans tout ce que tu entreprendras. Mille merci de nous avoir fait chaud au coeur. Compostelle
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
je suis tellement heureuse de lire ce que tu as marqué !! ça fait vraiment chaud au cœur ! un très grand merci à toi pour avoir eu la patiente de corriger toutes mes fautes d'orthographe ! merci beaucoup je ne suis que nouvelle sur ce site mais on m'a toujours aidé je suis très contente de le connaître !
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
chacun a ses points faibles et ses points forts on ne peut pas être bon partout ! =)
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
Tu as tous à fait raison et bienvenue sur le site les personnes comme toi sont accueillies les bras ouvert tu fais ton travail et nous on t'aide
Alors que certains croient que l'on va faire leur travail ^^
Anonyme
Posté le 1 févr. 2010
oui et bien je fais de mon mieux je me doute très bien que les gens qui aident les autres n'ont pas que ça à faire ! C'est déjà super que vous nous aidiez comme cela je ne m'attendais pas à recevoir autant de réponse aujourd'hui ! comme quoi =)

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