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Sujet du devoir
Bonjour c'est un devoir pour demain et je n'arrive pas du tout
Sujet:
Le narrateur personnage du pied de momie ''entre dans une boutique.Il aperçoit un étrange marchand qui lui fait peur.
-Décrivez le marchand (quatre à cinq phrases)
Décrivez aussi ce que ressent le narrateur(à l'aide des mot du vocabulaire de la peur)
écrivez au passé.
5 commentaires pour ce devoir
Décrivez aussi ce que ressent le narrateur
surpris, étonné, inquiet, angoissé,livide, pâle, figé, sur le qui vive ,
et d'autres:
https://sites.google.com/site/francais4eme/le-fantastique/le-champ-lexical-de-la-peur
pour le 2. tu peux t'aider de çà : http://cybersavoir.csdm.qc.ca/calendrier/files/2012/03/Champ_lexical_peur2.pdf
Décris le marchand: Sa taille, son visage, sa façon de marcher, de parler, ses vêtements
Il peut être laid, avoir un nez tordu, être très grand ou petit et voûté, vieux ?, un air sournois, une voix rauque ou éraillée ...? Il se frotte les mains...
Pense aux sorcier pour te donner des idées
Il peut être laid, avoir un nez tordu, être très grand ou petit et voûté, vieux ?, un air sournois, une voix rauque ou éraillée ...? Il se frotte les mains...
Pense aux sorcier pour te donner des idées
attention, c'est à partir du texte. Il ne faut pas inventer.
OK MERCI
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Décrivez le marchand (quatre à cinq phrases)
Le marchand me suivait avec précaution dans le tortueux passage pratiqué entre les piles de meubles, abattant de la main l’essor hasardeux des basques de mon habit, surveillant mes coudes avec l’attention inquiète de l’antiquaire et de l’usurier.
C’était une singulière figure que celle du marchand : un crâne immense, poli comme un genou, entouré d’une maigre auréole de cheveux blancs que faisait ressortir plus vivement le ton saumon-clair de la peau, lui donnait un faux air de bonhomie patriarcale, corrigée, du reste, par le scintillement de deux petits yeux jaunes qui tremblotaient dans leur orbite comme deux louis d’or sur du vif-argent. La courbure du nez avait une silhouette aquiline qui rappelait le type oriental ou juif. Ses mains, maigres, fluettes, veinées, pleines de nerfs en saillie comme les cordes d’un manche à violon, onglées de griffes semblables à celles qui terminent les ailes membraneuses des chauves-souris, avaient un mouvement d’oscillation sénile, inquiétant à voir ; mais ces mains agitées de tics fiévreux devenaient plus fermes que des tenailles d’acier ou des pinces de homard dès qu’elles soulevaient quelque objet précieux, une coupe d’onyx, un verre de Venise ou un plateau de cristal de Bohême ; ce vieux drôle avait un air si profondément rabbinique et cabalistique qu’on l’eût brûlé sur la mine, il y a trois siècles.
Le vieux gnome,