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Sujet du devoir
J'ai juste besoin que l'on m'explique ces points de grammaire pour un contrôle coéficient 2 pour mercredi.Où j'en suis dans mon devoir
Je ne comprend ces points de grammaire donc mon trvail effectué est innexistant, je m'embrouille.merci de votre aide !5 commentaires pour ce devoir
merci !!!
dans l'ensemble j'ai compris mais pas trop la subordonnée t'a un exemple ? merci
En fait, l'ablatif absolu et la proposition infinitive sont deux types de proposition. En grammaire, même les propositions ont des fonctions, ce qui en latin se traduit par des mots à un certain cas.
La proposition infinitive est le complément d'objet direct de certains verbes (de parole, de pensée, etc.). Dès lors, son sujet et son verbe prennent le cas du COD : accusatif. L'accusatif de l'infinitif ne change pas, donc on ne reconnaît ce type de proposition qu'au cas de son sujet, et par la présence de son verbe introducteur :
Dicit ancillam laborare / il dit que la servante travaille.
Tu peux remarquer que le verbe introducteur est un verbe de parole, et que, dans la proposition complément, le sujet est à l'accusatif (ancillam), et le verbe à l'infinitif. C'est donc une proposition infinitve.
Quant à l'ablatif absolu, c'est une autre proposition, indépendante, qu'on dit "participiale". Elle est circonstancielle, avec une valeur de temps ou de cause le plus souvent (mais aussi de moyen, de manière... parfois). Elle est composée de deux éléments : un sujet, qui est un nom, et un participe, qui est le verbe. Ces deux éléments se mettent donc au cas du complément circonstanciel : l'ablatif.
Urbe capta, Duxit copias in castra / Venant de prendre la ville, il conduisit les troupes au camp.
Son sujet ne peut JAMAIS se rapporter à un autre mot du reste de la phrase (d'où le terme "d'absolu"): tu ne peux ainsi pas dire :
Urbe capta, hostis eam disripuit / la ville une fois prise, l'ennemi la pilla, car eam est le pronom qui rappelle urbe.
Tu diras plutôt Urbem captam hostis disripuit, littéralement "l'ennemi pilla la ville prise".
Quant à l'adjectif verbal, c'est une forme du verbe particulière. Elle est formée sur le radical auquel tu ajoutes -nd- et les terminaisons de l'adjectif en -us, -a, -um.
Il peut avoir deux utilités :
Comme attribut, il peut marque l'obligation de faire quelque chose (Carthago delenda est / Carthage est devant être détruite ; d'où "Carthage doit être détruite").
Sinon, comme épithète, il remplace souvent le gérondif avec complément, mais ça c'est plus compliqué, je ne pense pas qu'on en parle au collège.
Voilà, j'espère que ça t'aura été utile!
La proposition infinitive est le complément d'objet direct de certains verbes (de parole, de pensée, etc.). Dès lors, son sujet et son verbe prennent le cas du COD : accusatif. L'accusatif de l'infinitif ne change pas, donc on ne reconnaît ce type de proposition qu'au cas de son sujet, et par la présence de son verbe introducteur :
Dicit ancillam laborare / il dit que la servante travaille.
Tu peux remarquer que le verbe introducteur est un verbe de parole, et que, dans la proposition complément, le sujet est à l'accusatif (ancillam), et le verbe à l'infinitif. C'est donc une proposition infinitve.
Quant à l'ablatif absolu, c'est une autre proposition, indépendante, qu'on dit "participiale". Elle est circonstancielle, avec une valeur de temps ou de cause le plus souvent (mais aussi de moyen, de manière... parfois). Elle est composée de deux éléments : un sujet, qui est un nom, et un participe, qui est le verbe. Ces deux éléments se mettent donc au cas du complément circonstanciel : l'ablatif.
Urbe capta, Duxit copias in castra / Venant de prendre la ville, il conduisit les troupes au camp.
Son sujet ne peut JAMAIS se rapporter à un autre mot du reste de la phrase (d'où le terme "d'absolu"): tu ne peux ainsi pas dire :
Urbe capta, hostis eam disripuit / la ville une fois prise, l'ennemi la pilla, car eam est le pronom qui rappelle urbe.
Tu diras plutôt Urbem captam hostis disripuit, littéralement "l'ennemi pilla la ville prise".
Quant à l'adjectif verbal, c'est une forme du verbe particulière. Elle est formée sur le radical auquel tu ajoutes -nd- et les terminaisons de l'adjectif en -us, -a, -um.
Il peut avoir deux utilités :
Comme attribut, il peut marque l'obligation de faire quelque chose (Carthago delenda est / Carthage est devant être détruite ; d'où "Carthage doit être détruite").
Sinon, comme épithète, il remplace souvent le gérondif avec complément, mais ça c'est plus compliqué, je ne pense pas qu'on en parle au collège.
Voilà, j'espère que ça t'aura été utile!
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Par exemple si je prends le cas de "ayant aimé", il faut transformer le mot "aimer" au suppin. Donc amatum. Sauf que Amatum il n'est pas à l'ablatif, donc il faut le mettre à l'ablatif! Tout dépend du féminin, du neutre, ou du masculin > Amato (sg, m) amatis (pl, m) amata (f,sg) amatis (f,pl)...