Correction de ma rédaction

Publié le 26 janv. 2014 il y a 10A par Anonyme - Fin › 30 janv. 2014 dans 10A
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Sujet du devoir

Au XIXème siècle, un jeune garçon rescapé d'un naufrage, se retrouve sur une île déserte. Tandis qu'il explore l'île , il es attaqué par un grand singe qui lui paraît redoutable. Après un difficile combat, l'enfant a le dessus, mais, au moment où il s'apprête à tuer le monstre, il se rend compte qu'il s'agit en fait d'un homme, un autre naufragé, probablement seul sur cette île depuis des années. Il tente alors de communiquer avec cet homme.(A partir du texte créer une suite )

Contraintes:

-Racontez cette scène au passé et à la première personne du singulier, en mettant l'accent sur l'action, mais aussi sur les émotions ressenties par le narrateur.

-Vous commencerez par les mots suivants: "Tandis que je me frayais péniblement un chemin à travers les arbres.."

-pour être intéressant, votre récit doit ménager du suspense et créer des surprises: quelle ruse l'enfant ou quel événement innatendu va créer un retournement de situation dans le combat

Où j'en suis dans mon devoir

Tandis que je me frayais péniblement un chemin à travers les arbres, j’entendais des bruits effrayant et mystérieux, dont il était difficile de déterminer leurs provenances. On aurait dit quelqu’un ou quelque chose me suivait. Mes poils commencèrent à s’hérisser et des sueurs froides coulèrent le long de mes tempes. Les bruits se rapprochaient de moi, je les distinguais bien. Alors je pris mais jambe à mon coup et m’en fuyais avec grande précipitation, je sentis une terrible angoisse en moi. Les arbres, resserrés entre eux, bloquèrent mon chemin. J’étais dans une impasse, j’étais épouvantai. Les bruits s’estompèrent, j’avais la chair de poule et soudain un monstre immonde velu de poils noirs me sauta dessus. Il m’abattit sur le dos un coup de poing qui m’aplatit sur le sol. Quand je voulus me relever, le monstre m’attrapa par le col et me plaqua contre un arbre. Je me débâti de toutes mes forces pour me sauver de son emprise, en vain. Il était trop fort. Il me souleva et m’écrasa contre la terre. J’avais mal, je criais et hurlais pour lui faire prendre la fuite, Je vis sur un tronc d’arbre une liane assez longue et large. Je me mis à genou pour rassembler mes forces et j’accouru à toutes vitesses pour l’attraper. Le monstre enragé fonça tout droit sur moi, j’attendis le dernier instant et je me décalai vers la droite. Le monstre se pris en pleine face le tronc d’arbre et s’évanouis sous le choc. Le monstre ressemblé à un singe. Lorsque je m’apprêtais à lui nouer la gorge, le visage du singe se sépara du corps. J’étais bouleversée, la surprise fut grande : le singe était un humain. J’attendis le réveil de l’étranger c’était probablement un naufragé tout comme moi. Je lui ligotais les mains pour précaution. A son réveille, il était chamboulé et tenta de s’évader. J’intervenus pour le calmait. J’essayais de rentrer en contact avec lui et je lui dis en français : << Qui es-tu ? Pourquoi m’as-tu attaqué ? Il me répondit pour mon grand étonnement. Il me dit :
- Je me nomme Harry de La Roche mais tu peux m’appeler esprit noir. Je t’ai attaqué car je t’ai pris pour un amérindien de cette île. Je suis perdu dans cet endroit depuis plus de cinq ans. Nous étions, moi et mon équipage, en expédition puis une tempête chavira notre bateau. Et au moment où je me suis réveillé je constatais que j’étais seul ou presque sur cette île déserte. Et toi qui es-tu ?
- Je m’appelle Bekir, nous partageons réciproquement le même destin. Heureux de faire t’as connaissance.
- Moi aussi pardonne moi pour se malentendu.
- Tu es pardonné. >>

Ainsi, une grande amitié apparait entre nous et nous vivions une longue et heureuse vie sur l’île.




5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 26 janv. 2014
Tandis que je me frayais péniblement un chemin à travers les arbres, j’entendais des bruits effrayant et mystérieux, dont il était difficile de déterminer leurs provenances. On aurait dit quelqu’un ou quelque chose me suivait. Mes poils commencèrent à s' hérisser et des sueurs froides coulèrent le long de mes tempes. Les bruits se rapprochaient de moi, je les distinguais bien. Alors je pris mais jambe à mon coup et m’en fuyais avec grande précipitation, je sentis une terrible angoisse en moi. Les arbres, resserrés entre eux, bloquèrent mon chemin. J’étais dans une impasse, j’étais épouvantai. Les bruits s’estompèrent, j’avais la chair de poule et soudain un monstre immonde velu de poils noirs me sauta dessus. Il m’abattit sur le dos un coup de poing qui m’aplatit sur le sol. Quand je voulus me relever, le monstre m’attrapa par le col et me plaqua contre un arbre. Je me débâti de toutes mes forces pour me sauver de son emprise, en vain. Il était trop fort. Il me souleva et m’écrasa contre la terre. J’avais mal, je criais et hurlais pour lui faire prendre la fuite, Je vis sur un tronc d’arbre une liane assez longue et large. Je me mis à genou pour rassembler mes forces et j’accourus à toutes vitesses pour l’attraper. Le monstre enragé fonça tout droit sur moi, j’attendis le dernier instant et je me décalai vers la droite. Le monstre se pris en pleine face le tronc d’arbre et s’évanouit sous le choc. Le monstre ressemblé à un singe. Lorsque je m’apprêtais à lui nouer la gorge, le visage du singe se sépara du corps. J’étais bouleversée, la surprise fut grande : le singe était un humain. J’attendis le réveil de l’étranger c’était probablement un naufragé tout comme moi. Je lui ligotais les mains pour précaution. A son réveille, il était chamboulé et tenta de s’évader. J' intervenus pour le calmait. J’essayais de rentrer en contact avec lui et je lui dis en français : << Qui es-tu ? Pourquoi m’as-tu attaqué ? Il me répondit pour mon grand étonnement. Il me dit : - Je me nomme Harry de La Roche mais tu peux m’appeler esprit noir. Je t’ai attaqué car je t’ai pris pour un amérindien de cette île. Je suis perdu dans cet endroit depuis plus de cinq ans. Nous étions, moi et mon équipage, en expédition puis une tempête chavira notre bateau. Et au moment où je me suis réveillé je constatais que j’étais seul ou presque sur cette île déserte. Et toi qui es-tu ?  - Je m’appelle Bekir, nous partageons réciproquement le même destin. Heureux de faire t’as connaissance. - Moi aussi pardonne moi pour se malentendu. - Tu es pardonné. >> Ainsi, une grande amitié apparaît entre nous et nous vivions une longue et heureuse vie sur l’île. tien le voila corriger =)
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Anonyme
Posté le 26 janv. 2014

Tandis que je me frayais péniblement un chemin à travers les arbres, j’entendais des bruits effrayantS et mystérieux, dont il était difficile de déterminer leur(pas de s) provenance(pas de s). On aurait dit QUE quelqu’un ou quelque chose me suivait. Mes poils commencèrent à SE (car le h est aspiré, pas muet)hérisser et des sueurs froides coulèrent le long de mes tempes. Les bruits se rapprochaient de moi, je les distinguais bien. Alors je pris mais(MES car ce sont les miennes) jambeS à mon coup(non , c'est COU ) et m’enfuyais(tout attaché) avec grande précipitation(je préfèrerais précipitamment). Je (il vaut mieux commencer une autre phrase) sentis une terrible angoisse en moi(m'envahir serait + imagé). Les arbres, resserrés entre eux, bloquèrent mon chemin. J’étais dans une impasse, j’étais épouvanté(ce nest pas un verbe conjugué mais un adjectif ici). PUIS,les bruits s’estompèrent(es-tu sûr de connaître la bonne définition ? car s'ils s'estompent tu devrais, du coup, avoir moins peur ! ne veux-tu pas plutôt dire s'emplifièrent ?), j’avais la chair de poule et soudain un monstre immonde,(virgule) velu(hum ... velu de poils ? couvert de poils ou velu tout court mais pas les 2) de poils noirs me sauta dessus. Il m’abattit sur le dos un coup de poing qui m’aplatit sur le sol. Quand je voulus me relever, le monstre m’attrapa par le col et me plaqua contre un arbre. Je me débâtiS de toutes mes forces pour me sauver de son emprise, en vain. Il était trop fort. Il me souleva et m’écrasa contre la terre. J’avais mal, je criais et hurlais pour lui faire prendre la fuite, Je vis sur un tronc d’arbre une liane assez longue et large. Je me mis à genou pour rassembler mes forces et j’accouruS à toute(sans s) vitesse(sans s) pour l’attraper. Le monstre enragé fonça tout droit sur moi, j’attendis le dernier instant et je me décalai vers la droite. Le monstre se prit en pleine face le tronc d’arbre et s’évanouit sous le choc. Le monstre ressemblait à un singe. Lorsque je m’apprêtai(sans s car c'est le passé simple, pas l'imparfait)à lui nouer la gorge, le visage du singe se sépara du corps. J’étais bouleversée(oui si tu es une fille), la surprise fut grande : le singe était un humain. J’attendis le réveil de l’étranger(il faut une ponctuation un : ou ; ou .) c’était probablement un naufragé tout comme moi. Je lui ligotai(pas de s) les mains pour (non PAR) précaution. A son réveil, il était chamboulé et tenta de s’évader. J’intervins pour le calmer. J’essayai(sans s) de rentrer en contact avec lui et je lui dis en français : << Qui es-tu ? Pourquoi m’as-tu attaqué(avec un e si tu es une fille) ? Il me répondit à mon grand étonnement : (Il me dit : ça tu peux l'enlever)

-" Je me nomme Harry de La Roche mais tu peux m’appeler Esprit Noir. Je t’ai attaqué car je t’ai pris pour un amérindien de cette île. Je suis perdu dans cet endroit depuis plus de cinq ans. Nous étions, moi et mon équipage(mon équipage et moi !), en expédition puis une tempête a fait chaviré notre bateau. Et au moment où je me suis réveillé, (virgule) j'ai constaté que j’étais seul ou presque sur cette île déserte. Et toi qui es-tu ? "
- "Je m’appelle Bekir, nous partageons réciproquement le même destin. Heureux de faire t’as (non ta, c'est ton, ta tes...)connaissance."
-" Moi auss si !  pardonne-(tiret) moi pour ce (celui-là) malentendu".
- " Tu es pardonné. >>

Ainsi, une grande amitié apparut entre nous et nous avons vécu une longue et heureuse vie sur l’île.

Anonyme
Posté le 26 janv. 2014

Tandis que je me frayais péniblement un chemin à travers les arbres, j’entendais des bruits effrayant et mystérieux, dont il était difficile de déterminer leurs provenances. On aurait dit quelqu’un ou quelque chose qui me suivait. Mes poils commencèrent à s’hérisser et des sueurs froides coulèrent le long de mes tempes. Les bruits se rapprochaient de moi, je les distinguais bien. Alors je pris mesjambes à mon coup et m’enfuyaisavec une grande précipitation, je sentis une terrible angoisse en moi. Les arbres, resserrés entre eux, bloquèrent mon chemin. J’étais dans une impasse, j’étaisépouvanté.

Les bruits s’estompèrent, j’avais la chair de poule et soudain un monstre immonde velu de poils noirs me sauta dessus. Il me surpris sur le dos un coup de poing m’aplatit sur le sol. Quand je voulu me relever, le monstre m’attrapa par le col de ma chemise et me plaqua contre un arbre. Je me débâti de toutes mes forces pour me sauver de son emprise, en vain. Il était trop fort. Il me souleva et m’écrasa contre la terre. J’avais mal, je criais et hurlais pour lui faire prendre la fuite, Je vis sur un tronc d’arbre une liane assez longue et large. Je me mis à genou pour rassembler mes forces et j’accouru à toutes vitesse pour l’attraper. Le monstre enragé fonça tout droit sur moi, j’attendis le dernier instant et je me décalais vers la droite. Le monstre se pris en pleine face le tronc d’arbre et s’évanouis sous le choc. Le monstre ressemblait à un singe. Lorsque je m’apprêtais à lui nouer la gorge, le visage du singe se sépara du corps. J’étais bouleversée, la surprise fut grande : le singe était en réalité un humain. J’attendis le réveil de l’étranger c’était probablement un naufragé tout comme moi. Je lui ligotais les mains parprécaution. A son réveil, il était chamboulé et tenta de s’évader. J’intervenus pour le calmer.J’essayais de rentrer en contact avec lui et je lui dis en français : << Qui es-tu ? Pourquoi m’as-tu attaqué ? Il me répondit pour mon grand étonnement. Il me dit :

- Je me nomme Harry de La Roche mais tu peux m’appeler esprit noir. Je t’ai attaqué car je t’ai pris pour un amérindien de cette île. Je suis perdu dans cet endroit depuis plus de cinq ans. Nous étions, moi et mon équipage, en expédition puis une tempête a fait chavirer notre bateau. Et au moment où je me suis réveillé je constatais que j’étais seul ou presque sur cette île déserte. Et toi qui es-tu ?
- Je m’appelle Bekir, nous partageons réciproquement le même destin. Heureux de faire ta connaissance.
- Moi aussi pardonne moi pour cemalentendu.
- Tu es pardonné. >>

Ainsi, une grande amitié est nait entre nous et nous vivions une longue et heureuse vie sur l’île.

Anonyme
Posté le 26 janv. 2014

rappel :il existe de nombreux sites de conjugaison de verbes sur internet pour vérifier ses conjugaisons

tape "intervenir conjugaison " par ex

Tandis que je me frayais péniblement un chemin à travers les arbres, j’entendis (passé simple) des bruits effrayants et mystérieux, dont il était difficile de déterminer la provenance. On aurait dit que quelqu’un ou quelque chose me suivait. Mes poils commencèrent à se hérisser et des sueurs froides coulèrent le long de mes tempes. Les bruits se rapprochaient de moi, je les distinguais bien(ou nettement). Alors je pris mes jambes à mon cou (tes jambes à toi que tu rapproches de ton cou =tu cours très vite) et m’enfuis (passé simple)avec grande précipitation, je sentis une terrible angoisse en moi. Les arbres, resserrés entre eux,(mal dit) bloquèrent mon chemin. J’étais dans une impasse, j’étais épouvanté (ou épouvantée si tu es une fille). Les bruits s’estompèrent, j’avais la chair de poule et soudain un monstre immonde et couvert de poils noirs me sauta dessus. Il m’asséna sur le dos un coup de poing qui m’aplatit sur le sol. Quand je voulus me relever, le monstre m’attrapa par le col et me plaqua contre un arbre. Je me débattis de toutes mes forces pour me sauver de son emprise, en vain. Il était trop fort. Il me souleva et m’écrasa contre la terre. J’avais mal, je criais et hurlais pour lui faire prendre la fuite, Je vis sur un tronc d’arbre une liane assez longue et large. Je me mis à genou pour rassembler mes forces et me précipita pour l’attraper. Le monstre enragé fonça tout droit sur moi, j’attendis le dernier instant et je me décalai vers la droite. Le monstre se prit en pleine face le tronc d’arbre et s’évanouit sous le choc. Le monstre ressemblait (imparfait) à un singe. Lorsque je m’apprêtai à lui nouer la gorge, le visage du singe se sépara du corps (je ne comprends pas ce que tu as voulu dire,nouer la gorge ça ne se dit pas). J’étais bouleversée, la surprise fut grande : le singe était un humain. J’attendis le réveil de l’étranger c’était probablement un naufragé tout comme moi. Je lui ligotais les mains par précaution. A son réveil, il était chamboulé et tenta de s’évader. J’intervins pour le calmer (infinitif du verbe après pour). J’essayai de rentrer en contact avec lui et je lui dis en français : << Qui es-tu ? Pourquoi m’as-tu attaqué ? Il me répondit pour mon grand étonnement. Il me dit :

Anonyme
Posté le 26 janv. 2014

- Je me nomme Harry de La Roche mais tu peux m’appeler Esprit noir. Je t’ai attaqué car je t’ai pris (prise si tu es une fille? tu as écrit "bouleversée") pour un amérindien de cette île. Je suis perdu dans cet endroit depuis plus de cinq ans. Nous étions, moi et mon équipage, en expédition puis une tempête coula notre bateau. Et au moment où je me suis réveillé je constatais que j’étais seul ou presque sur cette île déserte. Et toi qui es-tu ?
- Je m’appelle Bekir, nous partageons (réciproquement :inutile)le même destin. Heureux (ou heureuse) de faire ta connaissance.
- Moi aussi ,pardonne-moi pour ce malentendu.
- Tu es pardonné . >>

Ainsi, une grande amitié apparut entre nous et nous avons partagé (plutôt que "vivre une vie") une longue et heureuse vie sur l’île.


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