Devoir texte +questions

Publié le 30 sept. 2019 il y a 4A par jojoouax - Fin › 3 oct. 2019 dans 4A
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Sujet du devoir

Je n’ai compris ni le texte ni les questions...

TEXTE

 

Sur les terrasses du Luxembourg, des enfants jouer, je m’approchais deux, il me frôler sans me voir, je l’ai regardé avec des yeux de pauvres : comme ils étaient forts et rapide ! Comme ils étaient beaux ! Devant ses héros de chair et d’os, je perdais mon intelligence prodigieuse mon savoir universel, ma musculature athlétique, je m’à côté à un arbre, j’attendais. Sur un mot du chef De la bande, brutalement jeter: « avance, c’est toi qui fera le prisonnier » J’aurais abandonné mes privilèges. Même un rôle muet m’eut comblé; J’aurais accepté dans l’enthousiasme de faire un blessé sur une civière, un mort. L’occasion ne m’en fuit pas donné : j’avais rencontré mes vrais juges, mes contemporains, mes pairs, leur indifférence me condamnait. Je n’en revenais pas de me découvrir par eux : ni merveilles ni méduse, un gringalet qui n’intéressait personne. Ma mère cacher mal son indignation : cette grande et belle femme s’arranger bien de ma courte taille, elle n’y voyez rien que de naturel : les SchwetzerSont grands et les Sartre petit, je tenais de mon père voilà tout. Elle aimé que je sois, à huit ans, rester portatif et d’un maniement Élysée : mon format réduit passer à ses yeux pour un premier age prolongé. Mais, voyant que nul ne m’inviter à jouer, elle poussait l’amour jusqu’à deviner que je risquais de me prendre pour un nain–ce que je ne suis pas tout à fait–et d’en souffrir.

Pour me sauver du désespoir elle faisait semblant d’être impatiente : «  qu’est-ce que tu attends gros idiot ? Demande leur si ils veulent jouer avec toi »

Je secoué la tête : j’aurais accepté les besogne les plus basses, je m’étais mon orgueil à ne pas les solliciter. Elle désigner des dames qui tricoter sur des fauteils de fer: Veux-tu que je parle à leur maman ? Je la supplier de ne rien faire ; elle prenait ma main nous repartions nous allions d’arbres en arbres et de groupe en groupe, toujours implorant, toujours exclu.

J’ai lu ce texte a mon clavier donc désolé si il y a des fautes

question1:

 Quelles sont les réactions successives du narrateur face aux autres enfants dans les lignes 1 à 10 ? Comment s’expliquent-t-elles?

question2: comment pouvez-vous qualifier l’attitude des enfants ? 

question 3:De quoi le narrateur fait-il alors l’apprentissage ? Expliquer

Où j'en suis dans mon devoir

je n’ai pas compris le texte donc je n’ai pas pu commencer...




4 commentaires pour ce devoir


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gamy1
gamy1
Posté le 30 sept. 2019

Quelles sont les réactions successives du narrateur face aux autres enfants dans les lignes 1 à 10 ?

 

Sur les terrasses du Luxembourg, des enfants jouer, je m’approchais deux, il me frôler sans me voir, je l’ai regardé avec des yeux de pauvres : comme ils étaient forts et rapide !Comme ils étaient beaux !

 

complexé et admiratif

 

 Devant ses héros de chair et d’os, je perdais mon intelligence prodigieuse mon savoir universel, ma musculature athlétique,

Il se liquéfie , n'a plus aucune assurance

 

je m’à côté à un arbre, j’attendais. Sur un mot du chef De la bande, brutalement jeter: « avance, c’est toi qui fera le prisonnier » J’aurais abandonné mes privilèges. Même un rôle muet m’eut comblé; J’aurais accepté dans l’enthousiasme de faire un blessé sur une civière, un mort.

Prêt à tout pour être intégré

 

L’occasion ne m’en fuit pas donné : j’avais rencontré mes vrais juges, mes contemporains, mes pairs, leur indifférence me condamnait. Je n’en revenais pas de me découvrir par eux : ni merveilles ni méduse, un gringalet qui n’intéressait personne.

Il se considère comme  insignifiant , invisible

 

 

jojoouax
jojoouax
Posté le 30 sept. 2019

Merci beaucoup

gamy1
gamy1
Posté le 30 sept. 2019

Continue, je regarderai .

Entrechat#5522
Entrechat#5522
Posté le 30 sept. 2019

Le texte sans les fautes, qui nuisent à la compréhension:

Sur les terrasses du Luxembourg, des enfants jouaient je m’approchais d'eux, ils me frôlaient sans me voir, je les regardais avec des yeux de pauvre : comme ils étaient forts et rapides ! Comme ils étaient beaux ! Devant ces héros de chair et d’os, je perdais mon intelligence prodigieuse, mon savoir universel, ma musculature athlétique, mon adresse spadassine (1); je m’accotais (2) à un arbre, j’attendais. Sur un mot du chef de la bande, brutalement jeté: « avance, Pardaillan (3), c’est toi qui feras le prisonnier », j’aurais abandonné mes privilèges. Même un rôle muet m’eût comblé; J’aurais accepté dans l’enthousiasme de faire un blessé sur une civière, un mort. L’occasion ne m’en fut pas donnée : j’avais rencontré mes vrais juges, mes contemporains, mes pairs, et leur indifférence me condamnait. Je n’en revenais pas de me découvrir par eux : ni merveille ni méduse, un gringalet qui n’intéressait personne. Ma mère cachait mal son indignation : cette grande et belle femme s’arrangeait bien de ma courte taille, elle n’y voyait rien que de naturel : les Schweitzer sont grands et les Sartre petit, je tenais de mon père, voilà tout. Elle aimait que je fusse, à huit ans, resté portatif et d’un maniement aisé : mon format réduit passait à ses yeux pour un premier âge prolongé. Mais, voyant que nul ne m’invitait à jouer, elle poussait l’amour jusqu’à deviner que je risquais de me prendre pour un nain – ce que je ne suis pas tout à fait – et d’en souffrir.

Pour me sauver du désespoir elle feignait l'impatience : «  qu’est-ce que tu attends gros benêt ? Demande leur s'ils veulent jouer avec toi »

Je secouais la tête : j’aurais accepté les besogne les plus basses, je m’étais mon orgueil à ne pas les solliciter. Elle désignait des dames qui tricotaient sur des fauteils de fer: "Veux-tu que je parle à leur maman ?" Je la suppliais de n'en rien faire ; elle prenait ma main, nous repartions, nous allions d’arbre en arbre et de groupe en groupe, toujours implorants, toujours exclus.

1: adresse spadassine: aussi habile qu'un homme d'épée.

2: s'accoter: s'adosser, s'appuyer.

3 Pardaillan: héros de romans de cape et d'épée.

Relis le texte corrigé, et s'il reste quelque chose que tu ne comprends pas, précise quoi.


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