critique de théâtre sur la pièce J'accuse de Annick Lefebvre

Publié le 23 avr. 2015 il y a 9A par Anonyme - Fin › 26 avr. 2015 dans 8A
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Sujet du devoir

Bonjour svp j'ai besoin d'aide pour la correction de mon texte j'ai de la dificulter a voir mes fautes le sujet de mon devoir est la critique de la pièce de théâtre 

Où j'en suis dans mon devoir

Cinq chefs d’accusation du quotidien

 

Les principaux griefs d’accusation qui ont été porté contre le théâtre d’aujourd’hui concernent le manque d’implication de l’homme moderne dans la société. Des femmes qui expriment ouvertement leur colère. La pièce J’accuse est une pièce postmoderne qui met en scène des femmes qui sont très loin du rôle habituel de la femme. Des femmes libérées et consciente de leur environnement. L’aliénation de la femme moderne est exposée dans différente classe social. La conscience des personnes de leur aliénation est prouvée par leur confiance que les choses vont changer dans la société.

 

Une pièce engagée qui a un effet coup de point avec ses cinq monologues percutant. Des personnages qui offre plusieurs facette de la personnalité de Annick Lefevre : une qui encaisse, une qui agresse, une qui adule, une qui intègre et une qui aime beaucoup les autres. Une pièce qui dénonce les douleurs et les abus vécus au quotidien par des femmes. Elles ouvrent leur cœur au public québécois en les laissant rentré dans leurs pensées les plus intimes. Les monologues donnent l’impression que quelque chose c’est passer juste avant leur entrée en scène qui les a bouleversées et les a pousser à se vidé le cœur. Un texte chargé dénonce la douleur et l’urgence de faire des changements. Le gros thème de la pièce est le militantisme du quotidien qui dénonce le manque d’engagement collectif et les préjugés gratuit et sans fondement présent dans notre société. L’intrigue de la pièce amène le spectateur à faire une remise en question sur sa propre vie. La structure des monologues donnent l’impression que les personnages se répondent entre eux sans jamais se parler directement. Dans tous les monologue l’envie d’évoluer, de changer les choses est exprimé.

 

Le metteur en scène Sylvain Bélanger à monter la pièce sobrement avec peu de décor et d’accessoire. Elle a été interpréter par Léane Labrèche-Dor, Eve Landry, Debbie Lynch-White, Alice Pascual et Catherine Trudeau. Les monologues était statique, peu de mouvement de la part des acteurs permettaient aux spectateurs de mettre toute son attention sur le texte récité. Une homogénéité entre la mise en scène et le texte a été ressentie. Cette dernière a permis de faire une séparation entre les différentes personnalités des personnages et de mettre en relief leur volonté commune de faire changer les choses. Le personnage qui m’a le plus touché est celui joué par  Léane Labrèche-Dor. L’honnêter de son texte et son émotivité à fleur de peau est venu me chercher. La recette de la soupe à l’oignon entre couper de ses sentiments pour son ami perdu démontre le talent de l’artiste et de l’écrivaine pour réussir  garder l’attention de son public malgré la banalité d’une recette de soupe à l’oignon. Le personnage de Léane préfère prendre le temps de vivre ses émotions plutôt que de les enfouir à l’intérieur d’elle. Elle dévoile un des plus grands problèmes de la société : la prise d’antidépresseurs pour oublier nos sentiments. Elle dénonce le manque de sentiments réel dans les relations d’amitié moderne. Elle est rentrée dans la peau de son personnage à merveille. Un dédoublement a été ressentie vers la fin de son monologue on  a eu l’impression d’entendre parler l’auteur  travers le personnage de ka fille qui aime trop. Une fenêtre ces ouverte on a vu Annick Lefèvre installée dans sa cuisine pendant qu’elle écrivait le texte de la pièce J’accuse.

 

 Les scénographes Pierre-Étienne Locas, Marc Senécal, Erwann Bernard et Larsen Lupin ont permis un soutien sonore et visuel de qualité pour la présentation de la pièce de théâtre. Un décor léger avec différent niveau de hauteur était en harmonie avec le message qu’envoyaient les personnages. L’éclairage changeait régulièrement. Chaque personnage avait son propre éclairage. Lorsque le personnage était en colère l’éclairage devenait plus foncé et menaçant sur la totalité de la scène. Lorsque le personnage était triste un éclairage blanc l’isolait qui met en relief son sentiment d’être seul à souffrir. Le dédoublement qui a été amplifié avec l’utilisation de la caméra dans le dernier monologue fait prendre conscience qu’il y  toujours deux coté a une histoire. Cette technique met en relief le sentiment de solitude et d’abandon qu’elle ressent. La vidéo pocheter sur le mur derrière la scène donne l’impression qu’elle est seule avec son hypersensibilité.

 

J’accuse est une pièce avant-gardiste qui s’inspire de la réalité de la vie de tous les jours. Annick Lefebvre à mit son âme à nu en exposant différente facette de sa personnalité. Ses craintes sont mise jour. Une harmonie est ressentie entre l’écriture, la mise en scène et l’interprétation. Le public est resté captiver par la pièce du début à la fin.




1 commentaire pour ce devoir


Anonyme
Posté le 23 avr. 2015

Bonjour , ça m'a l'air correcte :)


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