"la peur" maupassant

Publié le 26 juil. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 30 juil. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

je doit faire un résumé d'un nouvelle "la peur" de maupassant, l'histoire doit être compris par quelqu'un qui ne la jamais lu, le résumé doit être entre 10 et 15 lignes. aider moi SVP a corriger (s'il y a des fotes car je suis trop nul en orthographe) ou a changer quelque chose dans mon résumé (des phrases ou des mots). MERCI

Où j'en suis dans mon devoir


Sur un navire en Méditerranée, en direction de l’Afrique, un commandant raconte qu’un jour il a eu peur quand son navire est resté six heures avec un rochet dans le ventre, battu par la mer. Mais un homme lui dit que se n’était pas la peur et qu’il ne faut pas la confondre avec la panique. La peur c’est quelque chose d’effroyable, une sensation atroce, comme une décomposition de l’âme qui a lieu dans certaines circonstances anormales. Il raconte qu’il a eu peur deux fois dans sa vie.
La première fois, c’était dans le désert d’Algérie, à Ouargla. L’homme marchait, avec son compagnon, dans une tempête de sable sous une chaleur intense, quand soudain, il entendit des bruits de tambour. Un des arabes qui étaient avec lui, dit que la mort était sur eux. Tout à coup, son compagnon mourut, foudroyer pas une insolation. Ce jour là, il comprit ce que c’était que d’avoir peur.
La deuxième fois, il le su mieux encore. C’était en hiver, dans une forêt du nord-est de la France. Ils devaient, lui et son guide, couché chez un garde forestier. Le garde avait tué un braconnier deux ans auparavant, et, depuis ce temps, le fantôme du braconnier revient chaque année l’appeler. Dans le courant de la nuit, le chien du garde s’éveilla brusquement et se mit à renifler les mures de la pièce et à hurler sur quelque chose d’invisible. On jeta donc le chien dehors, dans une petite cour. Soudain, tous ceux qui étaient dans la maison, sentirent quelque chose frôler le mur et une tête blanche apparut contre la vitre du judas. Le garde tira avec son fusil et ses deux fils bouchèrent le judas. Le lendemain, en ouvrant la porte, le chien gisait, la gueule brisée d’une balle.



3 commentaires pour ce devoir


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Anonyme
Posté le 27 juil. 2010
CORRECTION des fautes d'orthographe:
Sur un navire en Méditerranée, en direction de l’Afrique, un commandant raconte qu’un jour il a eu peur quand son navire est resté six heures avec un rocheR dans le ventre, battu par la mer. Mais un homme lui dit que Ce n’était pas la peur et qu’il ne faut pas la confondre avec la panique. La peur c’est quelque chose d’effroyable, une sensation atroce, comme une décomposition de l’âme qui a lieu dans certaines circonstances anormales. Il raconte qu’il a eu peur deux fois dans sa vie.
La première fois, c’était dans le désert d’Algérie, à Ouargla. L’homme marchait, avec son compagnon, dans une tempête de sable sous une chaleur intense, quand soudain, il entendit des bruits de tambour. Un des arabes qui étai(en)t(sujet un) avec lui, dit que la mort était sur eux. Tout à coup, son compagnon mourut, foudroy(é) pas une insolation. Ce jour là, il comprit ce que c’était que d’avoir peur.
La deuxième fois, il le suT mieux encore. C’était en hiver, dans une forêt du nord-est de la France. Ils devaient, lui et son guide, couchER chez un garde forestier. Le garde avait tué un braconnier deux ans auparavant, et, depuis ce temps, le fantôme du braconnier revient chaque année l’appeler. Dans le courant de la nuit, le chien du garde s’éveilla brusquement et se mit à renifler les mur(e)s(mur pas mure) de la pièce et à hurler sur quelque chose d’invisible. On jeta donc le chien dehors, dans une petite cour. Soudain, tous ceux qui étaient dans la maison, sentirent quelque chose frôler le mur et une tête blanche apparut contre la vitre du judas. Le garde tira avec son fusil et ses deux fils bouchèrent le judas. Le lendemain, en ouvrant la porte, le chien gisait, la gueule brisée d’une balle.
Anonyme
Posté le 27 juil. 2010
je n'ai hélas pas lu ce livre mais, en tappant "résumés Maupassant" je suis tombé sur ceci...qui ne ressemble pas vraiment à ton devoir:
La Peur
Le narrateur rencontre dans le train qui quitte Paris un vieil homme qui, à l'apparition inattendue d'un petit feu dans la forêt, explique son regret du positivisme d'aujourd'hui, du manque de mystère du monde moderne.
Le narrateur pense soudain à Tourgueniev. L'excellent conteur russe se baignait dans une rivière de forêt quand une créature entreprit de le poursuivre. Ne pouvant décider s'il s'agissait d'une femme, d'une guenon ou d'un monstre, il prit la fuite, effrayé. C'est un jeune berger qui écarta la créature et expliqua qu'elle n'était rien d'autre qu'une femme vivant depuis plus de trente ans dans la forêt.
Le narrateur rapporte cette histoire à son compagnon de voyage, qui évoque à son tour un instant de peur effroyable. Tandis qu'il se promenait seul, la nuit, en Bretagne, l'homme entendit venir une roue, sans bruits de pas ni fers à cheval. Il éprouva alors une peur formidable, celle de l'inexplicable, celle du surnaturel.
Enfin, l'homme rapproche ces réflexions de l'épidémie de choléra, mal invisible et personnifié qui gagne la France et provoque des réactions passionnées.
J'espère que la comparaison des 2 t'aidera un peu
De +, une réflexion d'ordre général:
quand on fait un résumé on ne s'embarasse pas de détails tel que "Sur un navire en Méditerranée, en direction de l’Afrique"par ex. , qui n'apportent rien à l'histoire et qui "bouffe" une ligne presque
Anonyme
Posté le 27 juil. 2010
c'est pas le bon résumé
merci quand même pour tes conseils et pour la correction Jeannot

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