Correction de ma synthese

Publié le 3 déc. 2018 il y a 5A par Anonyme - Fin › 15 déc. 2018 dans 5A
2

Sujet du devoir

Synthese Corpus

Nous traiterons, de la pratique de la lecture quels sont les facteurs, qu’est-ce qui conduit quelqu’un à être ou pas un lecteur ?

Nous verrons en première partie l’entourage leurs rôles, en seconde le parcours individuel puis enfin les facteurs sociaux. Le document de Katia Vilarasau s’intitule La lecture une affaire de famille de la revue Valeurs Mutualistes le numéro 213 sorti en septembre 2001, il évoque les facteurs familiaux, scolaires et professionnels. Anne Diatkine à écrit un article dans libération publié  le 13 octobre 2000 s’appelant Mamadou N’Dongo, lecteur : “j’entends la voix qui raconte” l’histoire d’un jeune homme étant un cancre à l'école, avec des parents de catégories socio-professionnels et n'ouvrant jamais de livre mais allant à la bibliothèque pour se réchauffer avec ses amis. Robert Escarpit explique alors dans le magazine Le courrier de l'UNESCO et l’article La faim de lire publié en 1973, que la lecture doit être évoquée avant l’entrée à l'école et que dan la vie professionnelles plusieurs facteurs se mettent à l’encontre de la lecture comme le stress ou la fatigue mais bien d’autre encore. Le dernier document est une nouvelle écrite en 1879 par Jules Valles s’intitulant L’enfant résumant que l’enfant se retrouve enfermé dans une pièce de l'école pour une punitions les facteurs venant à la lecture sont ici peu présent mais l’imagination et l’ennui triomphe.

 

L’entourage à un rôle dans le fait que l’on devienne lecteurs ou non, d’abord la famille comme peut le démonter Katia Vilarasau, voir ses deux parents lire et avoir des parents discutant des livres lu, assurera de façon quasi certaine la lecture à l'âge adulte.

Ainsi qu'une soutenance et un encouragement à la poursuite d'études favoriserait leur engagement dans la lecture, par ailleurs les familles à faible capital culturel et peu diplômés apporté de l'importance à l’école donc à lire. Comme il est dit dans “La faim de lire” tiré du magazine Le courrier de l’UNESCO, il est extrêmement important d’apporter la lecture avant la scolarité en faisant passer celle ci comme un jeu.

Le rôle des pairs, consiste comme dans le cas de “Mamadou N’Dongo, lecteur : “j'entends la voix qui raconte”” de se moquer de lui car celui-ci utilise des mots de Edgar Allan Poe donc ses amis le traité de pédant.

Le rôle des professionnels, et de faire aimer ou du moins d’essayer d’aimer la lecture comme l’article écrit dans Libération Les bibliothécaires aident le jeune Mamadou à trouver un livre lui correspondant car il en avait marre de lire, des livres, ne l'intéressant pas réellement, donc elles lui proposèrent, un ouvrage de Edgar Allan Poe. L'entourage joue un rôle conséquent dans le développement de la lecture mais nous allons voir que le parcours individuel peut aussi avoir un rôle important.



Le parcours individuel passe par trois étape, pour commencer par l’école dans L’enfant de Jules Vallès, l’enfant est puni il est alors enfermé dans une pièce remplie de livre il commence à lire est cela lui permet de faire passer le temps plus vite et de penser à autre chose que la punition. Par contre Robert Escarpit explique bien que si la famille n’a pas intégré la pratique de la lecture et que sa scolarité et peu satisfaisante alors cela entraînera un dégoût de la lecture, car cela l’associe à être forcé à lire provoquant un abandon dès l'âge adulte.

Le mode de vie est influent dit Robert Escarpit car nous trouvons des excuses de fatigue et stress sont des obstacles à l’effort, les personnes ayant un métier intellectuel déclarent lire peu car elles sont fatiguées mais lisent pour se reposer. Nous voyons que les diplômes sont en grande partie la cause de la lecture, puisque comme le dit Katia Vilarasau il y a trente ans les gros lecteurs étaient les diplômés maintenant ce qui sont les moin diplômés deviennent lecteurs puisque il y a une croissance du livre pour les jeunes.

Nous pouvons alors remarquer que les circonstances favorable pour lire sont l’ennui comment L’enfant qui est enfermé dans une pièce après une punition, le hasard comme dans Libération Mamadou est pas devenu lecteur par hasard avec un temps de pluie et car ses télés ne fonctionne plus il va à la bibliothèque et commence à s'intéresser. le parcours individuel aide à la lecture comme au dégoût mais les facteurs sociaux y jouent.



Les facteurs sociaux ce sont des facteurs extérieurs engendrant une réaction favorable ou non. Les origines sociales sont le capital culturel est tout ce que l’on a et ce que l’on sais par apport à la culture les livres en font partis, comme il est dit dans la lecture une affaire de famille la lecture est légitime quand les familles ont un fort capital culturel et donc cela permet aux enfants de se mettre à lire dès le plus jeunes âges. Cependant Anne Diatkine affirme que même avec un capital culturel peu élevé et la classe social peut être contradictoire avec l’exemple de Mamadou ayant un père anciennement chauffeur livreur et une maman femme au foyer donc avec des classes socio-professionnel peu élevé et un capital culturel peu élevé aussi car aucun livres n’étaient chez lui seulement deux télévisions.

Ce qui peut maintenant, la pratique de la lecture est contrariée par les stéréotypes, dans la revue, Le courrier de l’UNESCO, le livre associé au scolaire au au travail n’est qu’un des nombreux stéréotypes puisque envers cette occupation aucune qualités viriles n’est mise en fonction donc les hommes sont beaucoup moins attiré par ce milieux, une autre attitude répandu est celle de la lecture est bonne pour les autres qui non rien de mieux a faire, alors que la lecture est une envie, une volonté, il faut vouloir lire pour la la pratiquer.



Devenir lecteur ou ne pas le devenir ce fait de manière aléatoire avec plusieurs facteurs la famille, les amis, les professionnels, les catégories socio professionnelle, l’école, nos modes de vie et bien sur les circonstance de la lecture. La lecture est alors une question de volonté et aucune science exacte sur les pratique de la lecture ne peut être faite.

 

 

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai fini je voudrais juste avoir des corrections

Merci d'avance a ceux qui m'aide




9 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 3 déc. 2018

Nous traiterons, de la pratique de la lecture (.... il manque quelque chose )quels sont les facteurs, qu’est-ce qui conduit quelqu’un à être ou pas un lecteur ?

Nous verrons en première partie l’entourage leurs rôles, en seconde le parcours individuel puis enfin les facteurs sociaux. Le document de Katia Vilarasau s’intitule La lecture une affaire de famille de la revue Valeurs Mutualistes le numéro 213 sorti en septembre 2001, il évoque les facteurs familiaux, scolaires et professionnels. Anne Diatkine à écrit un article dans libération publié  le 13 octobre 2000 s’appelant Mamadou N’Dongo, lecteur : “j’entends la voix qui raconte” l’histoire d’un jeune homme étant un cancre à l'école, avec des parents de catégories socio-professionnelles ( quelle catégorie socio professionnelle?) et n'ouvrant jamais de livre mais n'allant à la bibliothèque que pour se réchauffer avec ses amis. Robert Escarpit explique alors dans le magazine Le courrier de l'UNESCO et l’article "La faim de lire" publié en 1973, que la lecture doit être évoquée avant l’entrée à l'école et que dans la vie professionnelle plusieurs facteurs se mettent en travers de la lecture comme le stress ou la fatigue mais bien d’autres encore. Le dernier document est une nouvelle écrite en 1879 par Jules Valles s’intitulant "L’enfant"résume le fait que l’enfant se retrouve enfermé dans une pièce de l'école pour une punition. les facteurs venant à la lecture sont ici peu présents mais l’imagination et l’ennui triomphent.

willffy
willffy
Posté le 3 déc. 2018

Ton texte est dicté sur smartphone? 

J'attends ta réponse pour continuer.

Anonyme
Anonyme
Posté le 3 déc. 2018

Non du tout je l'ai fais sur Word et sinon merci de ta réponse

willffy
willffy
Posté le 3 déc. 2018

L’entourage a un rôle dans le fait que l’on devienne lecteur ou non, d’abord la famille comme le démontre Katia Vilarasau, voir ses deux parents lire et avoir des parents discutant des livres lus, assurera de façon quasi certaine la lecture à l'âge adulte.

Un soutien et un encouragement à la poursuite d'études favoriserait leur engagement dans la lecture, par ailleurs les familles à faible capital culturel et peu diplômés nécessitent un engagement vis à vis de l'école et donc de la lecture . Comme il est dit dans “La faim de lire” tiré du magazine Le courrier de l’UNESCO, il est extrêmement important d’apporter la lecture avant la scolarité en faisant passer celle ci comme un jeu.

Le rôle des pairs (??) , consiste comme dans le cas de “Mamadou N’Dongo, lecteur : “j'entends la voix qui raconte”” de se moquer de lui car celui-ci utilise des mots de Edgar Allan Poe donc ses amis le qualifient de pédant.

Le rôle des professionnels, et de faire aimer ou du moins d’essayer d’aimer la lecture comme l’article écrit dans Libération Les bibliothécaires aident le jeune Mamadou à trouver un livre lui correspondant car il en avait assez de lire, des livres, ne l'intéressant pas réellement, donc elles lui proposèrent, un ouvrage de Edgar Allan Poe. L'entourage joue un rôle conséquent dans le développement de la lecture mais nous allons voir que le parcours individuel peut aussi avoir un rôle important.

willffy
willffy
Posté le 3 déc. 2018

Le parcours individuel passe par trois étapes, pour commencer par l’école dans L’enfant de Jules Vallès, l’enfant est puni il est alors enfermé dans une pièce remplie de livres il commence à lire et cela lui permet de faire passer le temps plus vite et de penser à autre chose que la punition. Par contre Robert Escarpit explique bien que si la famille n’a pas intégré la pratique de la lecture et que sa scolarité et peu satisfaisante alors cela entraînera un dégoût de la lecture, car cela l’associe à une contrainte, provoquant un abandon dès l'âge adulte.

Le mode de vie est influent dit Robert Escarpit car nous trouvons que la fatigue et le stress sont des obstacles à l’effort, les personnes ayant un métier intellectuel déclarent lire peu car elles sont fatiguées mais lisent pour se reposer. Nous voyons que les diplômes sont en grande partie la suite de la lecture, puisque comme le dit Katia Vilarasau il y a trente ans les gros lecteurs étaient les diplômés maintenant ceux qui sont les moins diplômés deviennent lecteurs puisque il y a une augmentation de livres pour les jeunes.

Nous pouvons alors remarquer que les circonstances favorables pour lire sont l’ennui comment L’enfant qui est enfermé dans une pièce après une punition, le hasard comme dans Libération Mamadou est devenu lecteur par hasard à cause de la pluie car ses télévisions ( il en a plusieurs? ) ne fonctionnent plus il va à la bibliothèque et commence à s'intéresser au livre . le parcours individuel aide à la lecture comme au dégoût mais les facteurs sociaux y contribuent .

willffy
willffy
Posté le 3 déc. 2018

Les facteurs sociaux sont des facteurs extérieurs engendrant une réaction favorable ou non. Les origines sociales sont le capital culturel est tout ce que l’on a et ce que l’on sait par la culture les livres en font partie, comme il est dit dans la lecture "une affaire de famille" la lecture est légitime quand les familles ont un fort capital culturel et donc cela permet aux enfants de se mettre à lire dès le plus jeune âge. Cependant Anne Diatkine affirme que même avec un capital culturel peu élevé et la classe sociale , il peut y avoir contradiction, avec l’exemple de Mamadou ayant un père anciennement chauffeur livreur et une maman femme au foyer donc avec des classes socio-professionnellesdéfavorisées et un capital culturel faible, il n'y avait aucun livre chez lui seulement deux télévisions.

Ce qui peut maintenant ( phrase incomplète) , la pratique de la lecture est contrariée par les stéréotypes, dans la revue, Le courrier de l’UNESCO, le livre associé au scolaire ou au travail n’est qu’un des nombreux stéréotypes puisque aucunequalité virile n’est mise en fonction donc les hommes sont beaucoup moins attirés par cet outil, une autre attitude répandue est celle de dire que la lecture est bonne pour ceux qui n'ont rien de mieux à faire, alors que la lecture est une envie, une volonté, il faut vouloir lire pour la pratiquer.

 

willffy
willffy
Posté le 3 déc. 2018

Devenir lecteur ou ne pas le devenir se fait de manière aléatoire avec plusieurs facteurs la famille, les amis, les professionnels, les catégories socio professionnelles, l’école, nos modes de vie et bien sur les circonstances de la lecture. La lecture est alors une question de volonté et aucune science exacte sur les pratiques de la lecture ne peut être faite.

2
willffy
willffy
Posté le 3 déc. 2018

Je me permets quelques petites remarques 

- à aucun moment tu n'abordes le plaisir de la lecture 

- tu oublies  que la lecture à un tout petit est un moment fusionnel qui l'aide à se construire et provoquera le gout de la lecture plus tard

- dire que devenir lecteur est aléatoire , est une affirmation fausse, la lecture est d'abord culturelle et transmise par la famille et l'école, quelques cas ( à ne pas négliger)  , sont effectivement aléatoires .

- je n'ai pas corrigé la ponctuation, c'est parce qu'elle est souvent absente que je t'ai demandé si c'était par smartphone

- il y a des répétitions

- dans l'ensemble ton texte n'est pas très bien structuré 

 

Anonyme
Anonyme
Posté le 4 déc. 2018

Merci a toi mais je dois mettre aucune idée personnelle dans ma synthese c'est pour cela que je ne parle pas de tout cela et non j'ai du mal à mettre les ponctuations mais je n'utilise en aucun cas un logiciel smartphone, et je vais corriger mes répétitions 

 


Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte