explication de texte. Veuilez m'aider svp pour l'explication du texte!

Publié le 2 mars 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 5 mars 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Le menu du repas était composé d’un excellent potage (la soupe était alors de rigueur, tant pour le dîner que pour le souper), d’un pâté froid, appelé pâté de Pâques, servi, à cause de son immense volume, sur une planche recouverte d’une serviette ou petite nappe blanche, suivant ses proportions. Ce pâté, qu’aurait envié Brillat-Savarin, était composé d’une dinde, de deux poulets, de deux perdrix, de deux pigeons, du râble et des cuisses de deux lièvres: le tout recouvert de bardes de lard gras. Le godiveau de viandes hachées, sur lequel reposaient, sur un lit épais et mollet, ces richesses gastronomiques, et qui en couvrait aussi la partie supérieure, était le produit de deux jambons de cet animal que le juif méprise, mais que le chrétien traite avec plus d’égards. De gros oignons, introduits çà et là, et de fines épices, complétaient le tout. Mais un point très important en était la cuisson, d’ailleurs assez difficile; car, si le géant crevait, il perdait alors cinquante pour cent de son acabit. Pour prévenir un événement aussi déplorable, la croûte du dessous, qui recouvrait encore de trois pouces les flancs du monstre culinaire, n’avait pas moins d’un pouce d’épaisseur. Cette croûte même, imprégnée du jus de toutes ces viandes, était une partie délicieuse de ce mets unique.

Des poulets et des perdrix rôtis, recouverts de doubles bardes de lard, des pieds de cochon à la Sainte-Menehould, un civet bien différent de celui dont un hôtelier espagnol régala jadis l’infortuné Gil Blas, furent en outre les autres mets que l’hospitalité du seigneur de Beaumont put offrir à ses amis.

On mangea longtemps en silence et de grand appétit; mais, au dessert, le vieux marin, qui, tout en dévorant comme un loup affamé, et buvant en proportion, n’avait cessé de regarder Arché avec un intérêt toujours croissant, rompit le premier silence (…).

Philippe Aubert de Gaspé, Les Anciens Canadiens, chapitre 6, 1863.

Où j'en suis dans mon devoir

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3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 3 mars 2010
Eh Ruben, j'ai cru qu'en bax+2, on savais lire... nous on veut bien t'aider mais le "où j'en suis" n'a rien d'un défouloir ! Tu dois nous mettre ce que tu as déjà fait ! Nous on ne peut pas faire quelque chose à partir de rien ! Tu comprends ? merci de compléter en nous disant soit ce que tu as fait, soit ce qui te bloque. A+ et bonne journée.
Anonyme
Posté le 3 mars 2010
Il faut dire sue certains mots ne sont plus utilisés: "le godiveau",ou de" double bardes de lard" par exemple. Que ce texte parle d'un menu, qui a l'air d'abord léger (ça commence par un potage et du pâté) et qu'après c'est un repas conséquent comme il y en avait à l'époque.
Anonyme
Posté le 3 mars 2010
Je n'ai pas la tête pour l'instant pour rédiger quelque chose, c'est pour cela que je sollicite votre aide.

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