introduction

Publié le 16 mars 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 10 avr. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Voilà, je dois rendre mon introduction de mémoire la semaine prochaine, j'aurais donc voulu savoir si vous pouviez m'aider. Je cherche tout d'abord à corriger les fautes (orthographe, grammaire et expression), les passage qui ne seraient pas clair, ceux que je devrais illustrer d'exemple, bref, si vous avez une idée pour améliorer mon texte.
En plus de ça. Si vous lisez, vous verrez que le plan n'est pas terminé, si vous avez des idées de ce que je peux dire dans chacune des parties, je suis preneuse. J'ai également des soucis pour trouver des ouvrages méthodologiques, si vous voyez à peu prés ou je veux en venir dans mon mémoire, et que vous avez des idées pour des ouvrages, ce serait gentil.
Voila, merci d'avance
j'espère que vous pourrez m'aider à m'ameliorer

Où j'en suis dans mon devoir

Introduction
C’est avec enthousiasme que j’effectue ma première année de Master de Philosophie au sein de l'Université de Franche-Comté. L’intérêt que je porte à cette matière n'est pas nouveau. En effet, c'est en classe de première que j'ai fait connaissance avec celle-ci. Elle m'apprit les réponses aux questions que je me posais, et plus tard, elle m'apprit à y répondre par moi-même. Cependant, au cours de ces années d'études, deux questions, je pourrais même parler de deux inquiétudes, sont restées sans réponse. Sommes-nous seulement des machines répondants à des stimuli électriques, ou, en plus de ce corps mécanique y a-t-il autre chose ? Autre chose que l'on pourrait appeler une âme. La réponse à cette question permettrait de répondre à la seconde : sommes-nous libres ou déterminés ? De nombreuses lectures sur ces sujets, de nombreuses réflexions ou encore de nombreuses piste de réponse m'ont été apportée au cours de ces dernières années, mais jamais aucune qui ne m'ait pleinement satisfaite. Chaque fois, que l'on défende des idées mécanistes ou animistes, déterministes ou de liberté, chacun sait apporter des arguments, pourtant, tout ne peut être exact. J'aurais donc aimé apporter une certaine lumière sur toutes ces théories. Et essayé de comprendre pourquoi certaines me paraissent convaincantes, sans que je puisse les accepter, alors que d'autre peut-être moins raisonnables, savent me persuader de leur véracité. C'est pourquoi, pour cette première année, j'ai voulu choisir un sujet qui apporte un début de réponse à ces questions : Sommes-nous dirigés par notre cerveau, ou y a-t-il autre chose ?
De nombreux philosophes se sont penchés sur le problème de l'âme. Pourtant, aucune des hypothèses sur l'âme n'a jusqu'à aujourd'hui réussi à s'imposer de manière unanime. Le désaccord des philosophes au sujet de celle-ci est ancien. Durant l'antiquité déjà, pour Platon on sait que dans le Phèdre, Socrate déclare que l’οὐσία et le λόγος (le Principe) de l’âme1 est « ce qui se meut par soi-même »2 et la divisait en trois parties3, alors qu'Aristote en comptait cinq4. Plus tard, ce fut à Descartes de se pencher sur la question. C'est à partir de lui que notre définition de l'âme est entrée dans la pensée occidentale comme ce qui ressent, ce qui pense et ce qui veut. À chaque époque les questions sur l'âme ont été l'un des problèmes les plus fondamentaux de la philosophie, ou du moins de la métaphysique. Celle-ci ne pouvant abandonner la question sans réponse, mais ne pouvant pas non plus la résoudre. Puisqu'il n'y a jamais eu de réponse acceptée au problème de l'âme, on l'étudie généralement de manière historique. Pour cela, on regarde dans l'histoire des idées, toutes les théories qui ont été créée sur le sujet. Mais c'est un travail démesuré, car l'histoire des théories de l'âme est presque aussi dense que l'histoire de la philosophie. Il serait donc fastidieux de l'exposer en détail. Cependant, on ne peut pas non plus passer à coté. C'est pourquoi, pour essayer d'éclaircir un peu le problème de l'âme, nous essayerons de ne pas oublié l'histoire des idées, mais nous nous intéresserons aussi à d'autres domaines. En effet, le meilleur moyen de connaître l'âme, me semble-t-il, est d'y apporter un regard pluridisciplinaire. C'est pourquoi, il ne faudra pas seulement nous intéresser aux apports de la philosophie, mais aussi à ceux de la médecine, des neuro-sciences, de la psychologie et de la psychiatrie. Ainsi, il s'agira pour nous, non seulement d'avoir une approche philosophique du problème de l'âme, mais aussi d'avoir une approche scientifique. C'est pourquoi, nous nous intéresserons à la fois à l'âme et au cerveau.
Nous aurions pu nous intéresser aux différentes hypothèses qui sont parvenu jusqu'à nous. En effet, celle-ci peuvent être réduites à quatre : le spiritualisme, ou dualisme, qui voit l'âme comme une essence indépendante du corps ; le matérialisme, sur quoi elle n'a pas d'existence propre, seul le corps existe ; l'idéalisme, ici l'âme est la seule réalité et tout le reste n'est qu'apparence ; et enfin, le monisme qui fait de l'âme comme de la matière une manifestation d'un principe supérieur, elle n'a donc qu'une existence phénoménale. Mais plutôt que de les recenser, et de les définir, nous essayerons d'en déterminer les apports. Mais la métaphysique ne suffit certainement pas à apporter une réponse raisonnable au problème de l'âme, il faut donc aussi que nous nous intéressions aux autres domaines qui tentent d'y apporter des réponses. Il s'agit du domaine de la science. Pour glisser vers celui-ci, il va falloir se résigner à l'ignorance, la science étudie les phénomènes, elle avance donc sans l'âme, elle l'ignore. En effet, la science étudie la matière sans spéculer sur son essence. Elle étudie le vivant, sans spéculer sur l'essence de la vie. Elle étudie la vie mentale, sans spéculer sur l'âme. Autrement dit, elle se borne aux propriétés et aux lois. L'essence des choses, l'essence de la vie, tout comme l'âme, sont pour les scientifiques des données inconnues. Données sans lesquelles ils essayent tout de même d'avancer, car si les propriétés et les lois nous sont accessibles, il n'est pas du tout évident qu'il en soit de même pour les essences. Autant donc se borner à ce que l'on peut connaître. Pour eux, il faut déjà connaître les lois et les propriétés, avant de s'intéresser à l'essence. Les scientifiques travailles donc bien souvent sur des sujets identiques aux métaphysiciens, mais sans jamais employer le mot âme. Ce terme est réservé aux métaphysiciens car il pourrait être mal interprété. Ou alors, s'il est employé, c'est pour signifier l'ensemble des phénomènes psychiques mais sans rien sous entendre sur leur cause. Le scientifique se contente d'étudier les phénomènes afin de mieux comprendre la vie psychique (ses lois et ses propriétés). Le problème de l'âme est ainsi dissout dans une infinité d'autres problèmes, où il ne paraît plus nécessaire de parler d'âme. Cependant, au fil du temps, la science a apporté quelques réponses au problème de l'âme. Certains scientifiques osent même tenter des hypothèses métaphysique, sur l'existence ou non de l'âme. Il semble alors nécessaire de comprendre ces théories scientifiques, et d'en étudier les apports, si l'on souhaite mieux comprendre l'âme. Ainsi, en confrontant les apports des différentes théories métaphysiques, et scientifiques, nous parviendrons peut-être à apporter un début de réponse au problème de l'âme, ou, du moins, nous essayerons de trouver de nouvelles pistes pour aborder la question. C'est pourquoi j'ai choisi de traiter la question de l'âme avec une approche pluridisciplinaire. En analysant toutes les pistes de réponses qui sont à notre porté, nous parviendrons peut-être à trouver une direction vers laquelle chercher. Un début de réponse sur l'existence ou non de l'âme. En résumé au cours de ce mémoire, il s'agira d'étudier le cerveau et l'âme de manière pluridisciplinaire et analysant les apports de chaque théorie.
L'âme tout comme le cerveau, sont des sujets très vastes. Il est donc essentiel de bien délimiter le sujet. J'ai donc choisi de donner deux limites à mon mémoire. Tout d'abord, nous ne nous intéresserons à l'âme uniquement chez le vivant. La religion n'aura pas sa place dans ce travail. Il est difficile de connaître l'âme, mais cela relève encore plus de l'impossible lorsque l'on parle de l'âme après la mort. Peu importe si l'âme est immortelle, peu importe ce qu'elle devient après la mort5. La réincarnation, le paradis ou l'enfer n'ont rien à faire dans ce travail. Il s'agit uniquement d'essayer de comprendre si l'homme n'est qu'une machine, ou alors, s'il possède une âme. La deuxième limite est alors l'homme. En effet, ce travail ne portera que sur l'homme. Non pas qu'il soit le seul à avoir une âme, car il semblerait que les animaux, et même les plantes soit plus proches de nous que nous ne le pensions auparavant6. L'objectif de ce mémoire est de travailler sur l'âme, en s'aidant de toutes les découvertes passées, que ce soit sur l'âme elle même, ou sur le cerveau. Mais qu'est-ce que l'âme ? Comment la définir à une époque où l'on ne croit plus en elle ? Comme nous le rappelle Elie During, elle est devenue un objet mystérieux, elle est ce qui donne la beauté, la chaleur à un objet, elle est le « principe directeur » comme « l'âme d'un complot », une nuance d'émotion : « un état d'âme », « un vague à l'âme », ou un « supplément d'âme » pour Bergson7. Il n'y a plus véritablement d'âme. Elle est trop liée à son catéchisme, et à sa métaphysique, « l'âme : donner un sens à ce vieux nom du souffle »8. Lorsque l'on ne la confond pas avec la conscience et l'esprit, son origine est religieuse, voire mythologique, d'où son discrédit. « L'âme c'est anima, le souffle qui sort de la bouche ou l'orteil au moment de la mort, c'est psyché le papillon »9... La religion et la mythologie compromettre l'idée de l'âme. C'est pourquoi il est important pour moi de les écarter du sujet. Aujourd'hui l'homme n'est pensé que comme un corps. On a perdu cette force directrice et organisatrice qui nous anime, ce « chef d'armée »10. Mais alors, qui fait le lien entre le cerveau et la pensée ? Même la psychologie a oublié l'âme, c'est The Philosophie of mind11 qui cherche à élucider les rapports de la conscience et du monde physique. Pendant que la médecine tente de montrer que l'âme n'existe pas, en la cherchant dans le cerveau. Broussais12 affirme ne pas avoir trouvé, à l'aide de son scalpel, quoi que ce soit qui ressemble à l'âme. Faut-il s'en étonner ? Si il existe bien une âme peut-elle être matérielle ? “On ne ramènera jamais les manifestations de notre âme aux propriétés brutes des appareils nerveux pas plus qu’on ne comprendra de suaves mélodies par les seules propriétés du bois ou des cordes du violon nécessaires pour les exprimer”13. L'âme, c'est ce qui nous anime, cet anima qui fait que nous ne sommes pas objet. C'est la différence entre l'animé et l'inanimé. L'âme c'est à la fois la vie et la pensée. Mais comment savoir que nous ne sommes pas des objets ? Avec le mécanisme, l'âme devient superflu. L'homme n'est plus qu'une chose qui pense14.
Il s'agira dans ce travail de rassembler ce que l'on sait et ce que l'on croit savoir sur l'âme. Et cela, dans le but de comprendre si oui ou non, nous avons une âme. La réponse ne sera sans doute pas évidente. Mais peut-être pourrons nous au moins éclaircir un peu le problème. Nous ne sommes pas des machines, nous sommes des objets animés, autrement dit, qui ont une âme. C'est ce que nous essayerons de montrer. Mais il est probable que l'on ne puisse y parvenir, et dans ce cas, peut-être pourrons-nous montrer qu'on ne peut pas prouver l'absence d'âme.
Notre réflexion portera à la fois sur l'âme, et sur le cerveau. Elle se veut pluridisciplinaire. Mais ce n'est pas tout. Elle ne se limitera pas non plus à une époque. Bien que beaucoup des ouvrages étudiés datent de l'époque contemporaine, il ne faudrait pas louper une piste de réflexion qui ait été abordée avant cette période. C'est pourquoi il est nécessaire de survoler toute la période de réflexion sur l'âme. Cette réflexion commencera donc évidemment avec l'antiquité, et se terminera de nos jours. Plutôt que de mettre ne rapport un petit nombre d'ouvrage et de les confronter, elle tentera d'en prendre le plus grand nombre, afin de faire le tour de chacune des idées. La bibliographie ne sera donc ni limitée dans les disciplines, ni dans le temps, ni dans l'espace. Bien sûr, il est impossible de recenser tous les ouvrages sur le sujet. Mais il s'agira d'en réunir le plus possible, surtout ceux qui ont marqué la pensée sur ce sujet. Ainsi, nous n'étudierons ni une époque, ni un philosophe, mais bien un concept, celui de l'âme et du cerveau, une question, celle de leur lien.
L'entreprise n'est pas aisée. Avant même de commencer, les difficultés se font ressentir. La première est d’ordre linguistique. En effet, qu'est ce que « l'âme » ? Que recouvre l'ensemble de ces usages ? Et qu’en est- il du « psychisme », de la « conscience » et de « l’esprit » ? Réussir à définir l'âme, serait déjà une grande avancée dans sa connaissance. C'est pourquoi il ne faudra pas oublier d'aborder le problème de manière linguistique.
La seconde difficulté que l'on risque de rencontrer, c'est de tourner en rond. Il est vrai que la nature même du problème à résoudre suppose d’être déjà résolu pour être posé. Effectivement, pour ne pas aborder le problème de manière circulaire, il ne faudrait ni invoquer, ni supposer, l'âme, dans les explications de ses manifestations. Ce que l'on veut expliquer ne devrait jamais être une ressource explicative. Mais il est clair que dans le cas de l'âme, c'est presque impossible. Comme le souligne A. Damasio, « Qu’y a-t-il de plus étourdissant que de s’apercevoir que c’est le fait même d’avoir une conscience qui rend possibles et même inévitables nos questions sur la conscience ? ». C'est dans le but d'éviter ce problème, ou du moins de la minimiser, que nous tenterons une approche pluridisciplinaire, afin d'aborder le problème de plusieurs coté simultanément, de peur de se perdre dans une spirale sans fin.
La dernière difficulté que l'on peut rencontrer lorsque l'on travaille sur l'âme, c'est justement qu'elle n'est pas matérielle. Comment étudier quelque chose que l'on ne sent pas, que l'on ne voit pas ? Comment montrer son existence ? Comment avancer dans la résolution de ce problème, alors que depuis des siècles, la philosophie tente d'y répondre en vain. Comment apporter des preuves d'une âme qui ne soit pas matérielle ? Dans le but d'apporter un peu de matière au problème, il est préférable de travailler à la fois sur l'âme et le cerveau.
Pour mener à bien cette recherche il est nécessaire de prendre en compte ces difficultés. Ce n'est qu'alors que l'on peut traiter le sujet souhaité. Il y a alors de nombreuses questions qui peuvent nous venir à l'esprit, non seulement « sommes-nous dirigé par notre cerveau, ou y a-t-il autre chose ? », mais encore : quel serait le lien entre l'âme et le cerveau ? Et avons nous vraiment une âme ? N'est-elle pas qu'une impression d'âme ? Une tromperie de notre corps ? Si elle existe, est-elle matérielle ? Immatérielle ? Qu'est-elle réellement ? Si elle n'existe pas, d'où viennent nos sensations, nos sentiments, nos pensées et nos réflexions ?
Dans le but d'apporter un début de réponse à ces questions, j'ai délibérément pris le parti d'axer mes recherches sur le cerveau. De cette manière, j'ai écarté les pensées non occidentales. Non qu'elles ne soient pas pertinentes, mais le temps manque, et il est impossible de faire le tour de toutes les cultures. Je ne perds cependant pas de vue qu'elles existent. Et donc que peut-être si l'âme existe, elle n'a aucun lien avec le cerveau, mais peut-être avec d'autres organes. En effet, en occident nous sommes très marqués par la pensée dualiste, mais il n'en est pas de même partout dans le monde. Par exemple, le « nahualisme » des peuples de l'ancien Mexique (Philippe Descola, dans Par-delà nature et culture, Gallimard 2005). La personne humaine se décompose en quatre parties : le tonacayo (la chaire), le tonalii (dans la tête), le teyolia (le cœur) et l'ihiyotl (lié au foie et à la bile). On retrouve cette décomposition en quatre un peu partout dans les anciennes civilisations d'Amérique. 15
Méthodologie, ouvrage de méthodologie ?
Entant bien consciente de la difficulté du travail sur l'âme et le cerveau, l'ambition de ce travail ne sera pas de résoudre la question, mais seulement de faire le tour des réponses qui ont déjà été apportées au sujet, et de voir si celles-ci ne pourraient pas nous amener vers un début de réponse.
Plan : à compléter :
Pour cela dans un premier temps, nous essayerons de comprendre d'un point de vue linguistique le problème de l'âme. Nous verrons ce que regroupe ce terme, et nous essayerons d'en donner une définition précise.
Dans un second temps, nous verrons les réponses apportées par la métaphysique. Nous étudierons les différentes théories de l'âme, afin de voir ce qu'il faut en retenir.
Dans un dernier temps, c'est à la science que nous nous intéresserons. Car si l'âme a toujours été un problème de philosophie, d'autres domaines s'y sont intéressé, souvent en contournant le problème. C'est le cas de toutes les études sur le cerveau, ou encore sur le comportement.
Obstacles à surmonter ?



8 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 17 mars 2010
Moi non plus, je ne suis pas une spécialiste de philo. Je peux par contre faire une remarquede style.
"Introduction
C’est avec enthousiasme que j’effectue ma première année de Master de Philosophie au sein de l'Université de Franche-Comté."

Je ne comprends pas vraiment ce que cela fait là. Si tu veux vraiment le dire, tu peux le mettre en exergue ou bienfaire une page de remerciements...mais je trouve étrange de commencer ton mémoire par cela.

Bon courage pour la suite!
Anonyme
Posté le 19 mars 2010
merci, je vais déjà corriger ça
Anonyme
Posté le 19 mars 2010
En fait je ne savais pas comment commencer, j'ai donc essayé de demander conseil, j'ai feuilleté quelques mémoires, et je suis tombée deux fois sur ce début, c'est pourquoi je l'ai choisi. Mais j'essayerai de trouver mieux.
Anonyme
Posté le 19 mars 2010
merci ^^
Anonyme
Posté le 20 mars 2010
Pas de problème. C'est simplement une remarque.
Pour être aussi passée par les mémoires, les rapports..., je sais combien il est difficile de trouver la première ligne.
Je crois que le travail doit avant tout être sérieux et ressembler à son auteur.
Si le correcteur lit toujours la même chose (je sais de quoi je parle!), quelle tristesse!
Anonyme
Posté le 22 mars 2010
C'est sur. Quand mes élèves me rendent des dissert' qui se ressemblent ça me décourage déjà alors que ce ne sont que quelques pages. Alors sur un mémoire de 150 pages, ça doit être encore mieux...
Anonyme
Posté le 1 avr. 2010
salut
merci
par contre animiste : philosophie qui croit en l'existence de l'âme. qui s'oppose au mécaniste, qui pense que tout est causé par le cerveau, et qu'il n'y rien d'immatériel.
d'où le lien, si l'on croit que l'on est seulement matériel, alors on est comme des machines, donc prédéterminé.
si on a une âme, on peut être plus libre.
Pour la science, c'est bien ce que je dis, elle a choisi. Enfin je pense.
encore merci
Anonyme
Posté le 5 avr. 2010
J'ai l'impression que sarah et aouate ne font qu'une seule et même personne !!!

En regardant de plus près le : Où j'en suis .

Cela ressemble étrangement au procédé d'aouate !!!!!!!!!!

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