qualité et philosophie

Je dis peut-être n'importe quoi mais tu peux peut-être parler de la qualité de vie et de la morale.
Notre société au XXIème siècle ne parvient plus à poser des limites entre plaisir, épicurisme et morale...
Réels besoins et besoins futiles qui éloignent l'homme des vraies valeurs et des autres hommes, autrui.

Bonjour,
merci pour votre réponse, j'ai peut être pas été assez précise il s'agit de la qualité "normative", même si je dois définir tout type de qualité pour introduire la qualité, le sujet doit resté basé sur le management de la qualité par exemple.
Quand au sujet vu que je n'avais pas encore eu de réponse j'ai essayé de choisir qualité entre réalité et utopie...mais dur dur...!

Hmmm hmm, j'aimerais t'aider mais làà. T'en es où à peu près ? Un plan détaillé peut-être ?

Oui je pense faire qq chose comme ça:
1 définition des deux concepts
2Rapprochement entre la qualité à mettre en place et l’utopie
3Différence entre la qualité et l’utopie
Synthèse : en quoi le Management de la qualité peut être une utopie en quoi il ne l'est pas...

Mais bon dur dur....!!:)

Je pense que le 1. et 3. sont à mettre à la suite, que le 3 devienne 2. Sinon, ton plan est bon à mn avis...

Par contre la déf. d'utopie, il faudrait qu'elle s'intègre bien ds le management de qualité, de sorte qu'on puisse employer ce terme ds ce domaine.

Quelques réflexions sur le sujet : le management de la qualité, c'est mettre en oeuvre tous les moyens pour atteindre le zéro défaut. Dans toute production, meme très automatisée, l'intervention humaine est présente. Si on peut faire en sorte de réduire au max les erreurs d'un automate (et encore, on n'est jamais vraiment à l'abri), l'erreur humaine est toujours possible. A partir de ce constat, viser le zéro défaut est utopique.

Courrir après une utopie est vain, pourtant il faut tenir à la notion de qualité. (que ce soit utopique n'est pas une raison pour abandonner).
La motivation du responsable de la qualité (et des hommes qui doivent atteindre les objectifs de qualités!) passe peut-etre par une définition moins stricte de la qualité. Et dans ce cas, si on ne peut pas atteindre le zero défaut, où faut-il placer la barre ? comment définir l'acceptable, pour que la recherche de la qualité ne soit pas utopique ?

...

merci pr ces pistes de réflexion!
cela va m'aider à continuer dans ce sens, comment prouver que la qualité a mettre en place n'est pas une utopie j'avance à pas de fourmis!