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Sujet du devoir
bonjour, j'ai des questions sur le texte suivant :La noche era un jardín de ojos. Al cruzar la calle, sentí que alguien se desprendía de una puerta. Me volví, pero no acerté a distinguir nada. Apreté el paso. Unos instantes percibí unos huaraches sobre las piedras calientes. No quise volverme, aunque sentía que la sombra se acercaba cada vez más. Intenté correr. No pude. Me detuve en seco, bruscamente. Antes de que pudiese defenderme, sentí la punta de un cuchillo en mi espalda y una voz dulce:
-No se mueva , señor, o se lo entierro.
Sin volver la cara pregunte:
-¿Qué quieres?
-Sus ojos señor –contestó la voz suave, casi apenada.
-¿Mis ojos? ¿Para qué te servirán mis ojos? Mira, aquí tengo un poco de dinero. No es mucho, pero es algo. Te daré todo lo que tengo, si me dejas. No vayas a matarme.
-No tenga miedo señor. No lo mataré. Nada más voy a sacarle los ojos.
-Pero, ¿para qué quieres mis ojos?
-Es un capricho de mi novia. Quiere un ramito de ojos azules y por aquí hay pocos que los tengan.
-Mis ojos no te sirven. No son azules, sino amarillos.
-Ay, señor no quiera engañarme. Bien sé que los tiene azules.
-No se le sacan a un cristiano los ojos así. Te daré otra cosa.
-No se haga el remilgoso, me dijo con dureza. Dé la vuelta.
Me volví. Era pequeño y frágil. El sombrero de palma la cubría medio rostro. Sostenía con el brazo derecho un machete de campo, que brillaba con la luz de la luna.
-Alúmbrese la cara.
Encendí y me acerqué la llama al rostro. El resplandor me hizo entrecerrar los ojos. El apartó mis párpados con mano firme. No podía ver bien. Se alzó sobre las puntas de los pies y me contempló intensamente.
La llama me quemaba los dedos. La arrojé. Permaneció un instante silencioso.
-¿Ya te convenciste? No los tengo azules.
-¡Ah, qué mañoso es usted! -respondió- A ver, encienda otra vez.
Froté otro fósforo y lo acerqué a mis ojos. Tirándome de la manga, me ordenó.
-Arrodíllese.
Mi hinqué. Con una mano me cogió por los cabellos, echándome la cabeza hacia atrás. Se inclinó sobre mí, curioso y tenso, mientras el machete descendía lentamente hasta rozar mis párpados. Cerré los ojos.
-Ábralos bien -ordenó.
Abrí los ojos. La llamita me quemaba las pestañas. Me soltó de improviso.
-Pues no son azules, señor. Dispense.
a) pourquoi ce texte appartient au genre fantastique ?
b) jusqu'à la ligne 10 environ , comment l'auteur traduit la tension ? Parler de ambientacion, ritmo, amenaza ?
c) sabemos que el agresor .... porque ........
d) commenter son attitude.
e) qué opinas de la peticion de la novia ?
f) à quel monde appartient la victime ?
Où j'en suis dans mon devoir
b) le rythme est rapide elle s'accélère.f) au monde occidentale.
aidez moi svp pour les questions svp ..................
1 commentaire pour ce devoir
Ils ont besoin d'aide !
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a) je dirais qu'il appartient au genre fantastique, car regarde si je comprend bien ton texte, la personne veut les yeux de la victime enfin il est une question de "yeux à enlever " donc ceci appartient au genre fantastique déjà pour moi =)
par contre dans la suite de tes questions, il y en a que je ne comprend pas trop ... et ton texte est bien écrit, car y a des mots qui sont bizarre !
je peux t'aider, mais il faudrait me rexpliquer mieux tes question....
http://www.microsofttranslator.com/ c'est un res bon traducteur essai =) bon courage et lorsque tu auras mieux expliqué certains mots, je t'aiderais =)
ps : tien voila la traduction de ton texte :
La nuit était un jardin des yeux. Dans l'ensemble de la rue, je me sentais quelqu'un se débarrasser d'une porte. Je suis revenue, mais pas les acerté de distinguer rien faire. Je pressé le pas. Tout à l'heure, j'ai vu quelques huaraches sur les pierres chaudes. Je ne vais, bien qu'il sentait l'ombre s'est approché de plus en plus. J'ai essayé de les exécuter. Je ne pouvais pas. Brusquement, j'ai arrêté. Jusqu'à ce qu'il pouvait défendre moi-même, j'ai senti la pointe d'un couteau dans le dos et une voix douce :
-Ne bougent pas, Lord ou funéraire.
Sans visage demander :
-Vous voulez ?
-Leurs yeux Mr - a répondu à la voix douce, presque gêné.
-Mes yeux ? Ce que vous doit servir mes yeux ? Regardez ici j'ai un peu d'argent. Il n'est pas beaucoup, mais c'est quelque chose. Je vais vous donner tout ce que j'ai, si je laisse. Don't go me tuer.
-N'ayez pas peur de M.. Je ne meurent pas. Nothing else je tirerai les yeux.
- Mais vous mes yeux ?
-C'est une bizarrerie de ma copine. Veulent un peuple aux yeux bleus, et il y en a peu qui sont ici.
-Mes yeux vous soyez inutiles. Ils ne sont pas bleu mais jaune.
-Oh, Dieu le veut ne pas tromper me. Je sais que bleu ont eux.
-Ne pas vous enlever un chrétien yeux ainsi. Je vais vous donner un autre chose.
-Vous faites remilgoso, m'a dit difficiles. Tour.
Je suis devenu. Elle était petite et fragile. Le chapeau de Palm couvert la moitié visage. Il a soutenu avec son bras droit un champ de machette, lumineux de la lumière de la Lune.
-Éclairer le visage.
J'ai tiré et j'ai décidé de la flamme à la face. Éblouissement me louche les yeux. Les mises de côté mes paupières avec steady main. Il ne pouvait voir bien. Il a gagné le bout des doigts et j'ai envisagé intensivement.
La flamme me brûlé doigts. J'arrojé. Il est resté un moment de tranquillité.
-Déjà convenciste vous ? Elles n'ont pas bleu.
-Oh, quelle joie est vous ! Power - répondu - pour voir, montée à nouveau.
Je Terry phosphore un autre et il vint à mes yeux. Tirant le manga, j'ai ordonné.
-S'agenouiller.
Mon hinqué. Avec une seule main, j'ai pris par les cheveux, me lever la tête retour. Il à bout au-dessus de moi, étrange et tendue, tandis que la machette descend lentement jusqu'à presque mes paupières. J'ai fermé les yeux.
-Nous ouvrir leur bien - il a ordonné.
Je m'ouvrit les yeux. Le lama me brûlé les onglets. J'ai laissé tomber de façon inattendue.
-Comme ils ne sont pas bleus, M.. Accords.
tu remarques que c'est bizarre !