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Sujet du devoir
Toujours en galère... et ai fait la bêtise de clôturer trop tôt
https://www.devoirs.fr/terminale/francais/analyse-ballade-de-villon-319257.html
15 commentaires pour ce devoir
Cachou me répond :Je pense que ce serait tu es rebuté par de telles mauvaises actions donc tu te tournes vers les labours et les champs...
Chausses, pourpoints...
Ici ce seraient les nobles gentilshommes
puis dans le vers suivants les robes ? les femmes ou les ecclésiastiques ?
Effectivement je pensais aux nobles sauf qu'ils ne fréquentaient pas les tavernes...
pour mémoire je reposte la ballade
Ballade de bonne doctrine à ceux de mauvaise vie
" Car ou soies porteur de bulles,
Pipeur ou hasardeur de dés,
Tailleur de faux coins et te brûles
Comme ceux qui sont échaudés,
Traîtres parjurs, de foi vidés ;
Soies larron, ravis ou pilles :
Où s'en va l'acquêt, que cuidez ?
Tout aux tavernes et aux filles.
" Rime, raille, cymbale, luthes,
Comme fol feintif, éhontés ;
Farce, brouille, joue des flûtes ;
Fais, ès villes et ès cités,
Farces, jeux et moralités,
Gagne au berlan, au glic, aux quilles
Aussi bien va, or écoutez !
Tout aux tavernes et aux filles.
" De tels ordures te recules,
Laboure, fauche champs et prés,
Sers et panse chevaux et mules,
S'aucunement tu n'es lettrés ;
Assez auras, se prends en grés.
Mais, se chanvre broyes ou tilles,
Ne tends ton labour qu'as ouvrés
Tout aux tavernes et aux filles ?
" Chausses, pourpoints aiguilletés,
Robes, et toutes vos drapilles,
Ains que vous fassiez pis, portez
Tout aux tavernes et aux filles.
Effectivement je pensais aux nobles sauf qu'ils ne fréquentaient pas les tavernes...
Si tu consultes sa bio, tu verras qu'il était un rebelle, un délinquant (il a failli être pendu) , un pauvre, il les envoie donc dans les tavernes, histoire de leur apprendre ce qu'est la "vraie" vie, plutôt que de saigner les pauvres, car il faut aussi se remettre dans le contexte de l'époque .
J'ai bien lu sa bio, ou plutôt ce qu'on en déduit car sa vie n'est pas toujours très claire. Donc je ne dis aussi qu'il peut ecrire ses vers lors de sa repentance
Me revoilà... Le doliprane ne faisant pas effet!
J'ai laissé tombé la traduction.
Voici mes premières lignes, merci de me donner votre verdict.
Et réponse si possible à certaines de mes interrogations en gras à la fin du texte.
Bon dimanche.
oops on ne peut pas joindre de fichier ?
Il est nécessaire de replacer le "Lais" et le "Testament" dans la vie de Villon; rappelons en quelques mots ce que nous en savons, c'est bien peu de choses. François de Montcorbier ou des Loges est né à Paris en 1431,
blablabla
DESCRIPTION DU TEXTE
La structure
La ballade médiévale, poème lyrique, e définit surtout par une forme métrique rigoureuse. Elle est donc retrouvée dans celle étudiée ; A savoir, bâtie sur trois strophes avec autant de vers que ceux-ci ont de syllabes (soit des strophes de 8 vers en octosyllabe) des rimes croisées,et les strophes se terminent par un refrain («Tout aux tavernes et aux filles. »). La dernière strophe enfin est appelée un envoi et comporte cinq vers, normalement adressé à un haut dignitaire Les sujets abordés sont très variés: il peut être question de politique, de mœurs, de faits de société, de la condition humaine l'homme, de religion, de l'histoire personnelle ou la vie amoureuse, du poète, etc. On peut dire que la ballade est donc une forme privilégiée pour le lyrisme personnel, car à la différence des poètes romantiques, le poète du Moyen Âge n'écrit pas gratuitement, pour lui-même, Ses écrits ont des destinataires bien précis c'est pourquoi la ballade se termine par ce qui est appelé un « envoi » le poète envoie justement son texte à un prince, un seigneur, à une personne aimée ou tenue en haute estime, etc.
Celle étudiée aujourd’hui a pour titre « doctrine.... »,titre donné il faut préciser par Clément Marot, premier véritable éditeur des œuvres de Villon en 1533 ; véritable est il dit,. puisqu'il apparaîtrait que la vingtaine éditées auparavant étaient relativement excentriques et truffées d’erreurs. Notons que celle de Marot, qui servit de référence jusqu'en 1832, année de parution de celle de l'Abbé Prompsault, porta néanmoins aussi des corrections,et omissions. Si des poèmes étaient déjà titrés par Villon il les garda, mais en donna à ceux qui n'en détenaient pas ou en agrémenta d'autres ; par souci, selon ses annotations, d'une meilleure compréhension pour le lecteur. Aussi les intitulés reprenaient le thème général, le sujet référent voire le lieu ou le(s) destinataires de l'écrit. Par cette clarification, qui passa aussi par une classification des œuvres de Villon, l’Éditeur voulait rendre la lecture plus aisée et sans doute ainsi toucher un lectorat plus conséquent. Pour exemple de précision et afin de donner au lecteur dès la lecture du titre un accès immédiat au contenu La « Ballade à sa Mère » devint « Ballade que Villon feit à la requeste de sa mère pour prier notre dame” . Ainsi, immédiatement, le contenu était précisé, on peut d »ailleurs souligner que par cet effet Marot apportait carrément une note voire même un commentaire.
A travers ses lais, rondeaux et ballades le thème sur la débauche et le dévergondage est moult fois repris par Villon. Nous retrouvons donc ici mention de jeux, beuverie et autres joies festives qu'à l'époque on côtoyait dans les tavernes. Il nous livre sa ballade en forme de liste, tel un portrait il nous dépeint tant les clients de ces endroits que leurs activités en ces lieux.
«Tout aux tavernes et aux filles » qui marque le refrain nous fait nous arrêter sur ce lieu.La taverne, dans ce Paris du XVe siècle, était, outre son aspect économique, un endroit stratégique de rencontres et lien social. On y jouait on y chantait on y buvait en s'adonnant aux plaisirs de la bonne chair, au sens large du terme... Mais également , en ces murs tant célébrés par les joyeux goliards et leurs odes à Bacchus (…....) on s'y retrouvait pour régler des affaires, des litiges, ainsi y étaient signés documents ou lettres, et également un lieu de rendez vous où l'on échangeait, discutait, critiquait...Il faut préciser qu'à cette époque les logis était relativement petits pour recevoir, aussi amis et famille se retrouvaient à la taverne.
Ces débits de boissons lieux importants du moyen âge furent imagés par Villon. Nous pouvons citer entre autres « la taverne de la Pomme de Pin » qu'il immortalisa dans « Le Lais » ou une prostituée dans « La ballade de la grosse Margot » La clientèle était majoritairement constituée des plus marginaux de la société : voleurs, prêtres défroqués et groupes d'étudiants contestataires, qu'il retrouva dans les tavernes dont il devint, on peut s'en douter, un habitué. Mais les tavernes ne sont pas qu’une école du vice pour Villon : il y puisera une partie de sa profondeur poétique en utilisant l’argot, car si l'auteur a de l’instruction, rappelons ses études de lettres, la maîtrise de ce vocabulaire « de rue » lui offrira une grande richesse d'expression et le personnifiera dans le monde poétique.
Personnages de la ballade
Replaçons « ces gens de mauvaise vie » dans le contexte historique. La France, suite aux conflits avec l’Angleterre est dans une période de restauration. (la Guerre de cent ans s'est terminée en 1453 par la bataille de Castillon. Paris affaibli par l'occupation anglaise avait son pouvoir décentralisé, cela par l'influence d'aristocrates,t els Charles d’Orléans, Jean II de Bourbon ou Le omte d’Anjou auxquels était attaché également le destin du Villon.(cf sa vie), le Parlement de Paris s'opposait aux cours de justice de Poitiers, Toulouse...le riche duché Bourgogne dirigé alors par Philippe Le Bon posait également problème. qui allait se solder plus tard par les conflits entre Louis XI et son cousin Charle le Téméraire, duc de Bourgogne.
Cette instabilité se retrouvait dans les différentes couches de la société. Des grands seigneurs qui se parjuraient et dépouillaient les pauvres aux autorités royales qui s'emplissaient les poches en passant par les membres de l’église menant une vie de débauche ou à monde étudiant débauché. C'est donc dans un univers socialement et économiquement trouble que nous retrouvons les acteurs de cette ballade, ou se mêle également nombre de provinciaux fuyant la misère des campagnes et une forte population de marginaux qui hantent les endroits glauques de la Capitale.
Ainsi à la première strophe sont énumérés les mauvais garçons, qui dans une autre ballade sont nommés « Les Enfants perdus » (« Le Testament). Il s’adresse aux faux-monnayeurs, "tailleur de faux coins », aux tricheurs « hasardeurs de dès » à qui Villon mêle les "porteurs de bulles", autrement dit les moines qui vendent des indulgences. Ces dernières ayant pour effet le repentir c'est à dire la réduction (indulgence partielle) ou l'annulation (indulgence plénière) du temps de Purgatoire que doit faire l'âme d'un croyant avant l'entrée au Paradis. Elles s'obtenaient normalement en contrepartie d'un pèlerinage, d'une prière etc, mais certains trouvèrent plus aisé d'acheter une indulgence d'où ce « commerce »(appelé simonie) avec les prêtres. De plus, au vu les personnes peu scrupuleuses qui arpentaient ces endroits on peut même penser que cela peut aussi faire référence à de faux prêcheurs. A la même époque nous pouvons citer en parallèle La Vie de Lazarillo de Tormes, fiction célèbre espagnole, datant de 1554 ,où est fait mention d'’un porteur de (fausses) bulles, « franc scélérat » qui abuse de la crédulité et volent des gens en leur prêchant de fausses vérités religieuses.Ceci pouvant ^être corroboré par le fait que dans ce premier quatrain Villon y liste les tricheurs. Le poète fait également référence aux châtiments en citant « ceux qui sont échaudés » puisqu'au Moyen-age la sentence, principalement, pour les faux monnayeurs étaient d’être ébouillantés en place publique dans des chaudrons emplis d'eau chaude ou d'huile. A préciser que la peine du bouillir ne fit abrogée qu'en septembre 1791.
Dans la deuxième strophe , on y retrouve les clients qui mettent une ambiance plus festive.En employant l'impératif Villon y donne des le premier vers une tonalité plus enlevée, presque musicale « Rime, raille, cymbale, luthes » On y retrouve musiciens, comédiens et joueurs .
………A développer
………….
Dans les deux premiers huitains état fait des habitués de ses tavernes, l'auteur s'adresse dans le troisième à interlocuteur visé.en supposant (affirmant?) que ce dernier est rebuté par de pareils agissements peu recommandables « De tels ordures te recules »
….
Pourtant doit t-on comprendre, en ces vers, que même si l'argent est gagné honnêtement, à la sueur du front, il termine malgré tout dans l’escarcelle de ces endroits mal famés ?
Bonsoir,
Toc toc toc...Villon n'apas l'air de vous inspirer non plus ! :-) mais quelqu'un peut il au moins relire mon brouillon. Merci
La structure
La ballade médiévale, poème lyrique, se définit surtout par une forme métrique rigoureuse. Elle est donc retrouvée ( mal expliqué) dans celle étudiée , à savoir, bâtie sur trois strophes avec autant de vers que ceux-ci ont de syllabes (soit des strophes de 8 vers en octosyllabe) des rimes croisées,et les strophes se terminent par un refrain («Tous aux tavernes et aux filles. »). La dernière strophe enfin est appelée un envoi et comporte cinq vers, normalement adressé ("e" si c'est la dernière strophe,"és" si ce sont les vers) à un haut dignitaire Les sujets abordés sont très variés: il peut être (il est?) question de politique, de mœurs, de faits de société, de la condition humaine l'homme,(?) de religion, de l'histoire personnelle ou de la vie amoureuse, du poète, etc.( pas de etc... dans un texte) On peut dire que la ballade est donc une forme privilégiée pour le lyrisme personnel, car à la différence des poètes romantiques, le poète du Moyen Âge n'écrit pas gratuitement, pour lui-même. Ses écrits ont des destinataires bien précis c'est pourquoi la ballade se termine par ce qui est appelé un « envoi » le poète envoie justement son texte à un prince, un seigneur, à une personne aimée ou tenue en haute estime, etc.
Celle étudiée aujourd’hui a pour titre « doctrine.... »,titre donné , il faut le préciser, par Clément Marot, premier véritable éditeur des œuvres de Villon en 1533 ; véritable est il dit (est-il dit? ?) , puisqu'il apparaîtrait que la vingtaine( de quoi? ) éditées ( selon le mot précédent, "és" ou ées") auparavant étaient relativement excentriques et truffées d’erreurs. Notons que celle de Marot, qui servit de référence jusqu'en 1832, année de parution de celle de l'Abbé Prompsault, porta néanmoins aussi des corrections,et omissions. Si des poèmes étaient déjà titrés par Villon il les garda, mais en donna à ceux qui n'en détenaient pas ou en agrémenta d'autres , par souci, selon ses annotations, d'une meilleure compréhension pour le lecteur. Aussi les intitulés reprenaient-ils le thème général, le sujet référent voire le lieu ou le(s) destinataire(s) de l'écrit. Par cette clarification, qui passa aussi par une classification des œuvres de Villon, l’éditeur voulait rendre la lecture plus aisée et sans doute ainsi toucher un lectorat plus conséquent. Pour exemple de précision et afin de donner au lecteur dès la lecture du titre un accès immédiat au contenu La « Ballade à sa Mère » devint « Ballade que Villon feit à la requeste de sa mère pour prier notre dame” . Ainsi, immédiatement, le contenu était précisé, on peut d 'ailleurs souligner que par cet effet, Marot apportait carrément ( un autre mot!) une note voire même un commentaire.
A travers ses lais, rondeaux et ballades, le thème sur la débauche et le dévergondage est moult fois repris par Villon. Nous retrouvons donc ici mention de jeux, beuverie et autres joies festives qu'à l'époque on côtoyait dans les tavernes. Il nous livre sa ballade en forme de liste, tel un portrait il nous dépeint autant les clients de ces endroits que leurs activités en ces lieux.
«Tout ( Est ce TOUT ou TOUS? ) aux tavernes et aux filles » qui marque le refrain, nous fait nous arrêter sur ce lieu.La taverne, dans ce Paris du XVe siècle, était, outre son aspect économique, un endroit stratégique de rencontres et un lien social. On y jouait, on y chantait, on y buvait en s'adonnant aux plaisirs de la bonne chair, au sens large du terme... Mais également , en ces murs tant célébrés par les joyeux goliards (?) et leurs odes à Bacchus (…....) on s'y retrouvait pour régler des affaires, des litiges, ainsi y étaient signés documents ou lettres, et également un lieu de rendez vous où l'on échangeait, discutait, critiquait...Il faut préciser qu'à cette époque les logis étaient relativement petits pour recevoir, aussi amis et famille se retrouvaient à la taverne.
Ces débits de boissons , lieux importants du Moyen Âge furent imagés par Villon. Nous pouvons citer entre autres « la taverne de la Pomme de Pin » qu'il immortalisa dans « Le Lais » ou une prostituée dans « La ballade de la grosse Margot » La clientèle était majoritairement constituée des plus marginaux de la société : voleurs, prêtres défroqués et groupes d'étudiants contestataires, qu'il retrouva dans les tavernes dont il devint, on peut s'en douter, un habitué. Mais les tavernes ne sont pas qu’une école du vice pour Villon : il y puisera une partie de sa profondeur poétique en utilisant l’argot, car si l'auteur a de l’instruction, rappelons ses études de lettres, la maîtrise de ce vocabulaire « de rue » lui offrira une grande richesse d'expression et le personnifiera dans le monde poétique.
Personnages de la ballade
Replaçons « ces gens de mauvaise vie » dans le contexte historique. La France, suite aux conflits avec l’Angleterre est dans une période de restauration. (la Guerre de cent ans s'est terminée en 1453 par la bataille de Castillon) . Paris affaibli par l'occupation anglaise avait son pouvoir décentralisé, cela par l'influence d'aristocrates,tels Charles d’Orléans, Jean II de Bourbon ou Le Comte d’Anjou auxquels était attaché également le destin de Villon.(cf sa vie), le Parlement de Paris s'opposait aux cours de justice de Poitiers, Toulouse...le riche duché Bourgogne dirigé alors par Philippe Le Bon posait également problème. qui allait se solder plus tard par les conflits entre Louis XI et son cousin Charles le Téméraire, duc de Bourgogne.
Cette instabilité se retrouvait dans les différentes couches de la société. Des grands seigneurs qui se parjuraient et dépouillaient les pauvres aux autorités royales qui s'emplissaient les poches en passant par les membres de l’Eglise menant une vie de débauche ou à monde étudiant débauché (??) . C'est donc dans un univers socialement et économiquement trouble que nous retrouvons les acteurs de cette ballade, ou se mêlent également nombre de provinciaux fuyant la misère des campagnes et une forte population de marginaux qui hantent les endroits glauques de la capitale.
Merci d'avoir pris le temps de me répondre. je vais suivre vos conseils et corrections, et mettrai en ligne la suite.
Bonne soirée
Ainsi à la première strophe sont énumérés les mauvais garçons, qui dans une autre ballade sont nommés « Les Enfants perdus » (« Le Testament). Il s’adresse aux faux-monnayeurs, "tailleur de faux coins », aux tricheurs « hasardeurs de dès » à qui Villon mêle les "porteurs de bulles", autrement dit les moines qui vendent des indulgences. Ces dernières ayant pour effet le repentir c'est à dire la réduction (indulgence partielle) ou l'annulation (indulgence plénière) du temps de Purgatoire que doit faire l'âme d'un croyant avant l'entrée au Paradis. Elles s'obtenaient normalement en contrepartie d'un pèlerinage, d'une prière etc, mais certains trouvèrent plus aisé d'acheter une indulgence d'où ce « commerce »(appelé simonie) avec les prêtres. De plus, au vu des personnes peu scrupuleuses qui arpentaient ces endroits, on peut même penser que cela peut aussi faire référence à de faux prêcheurs. A la même époque nous pouvons citer en parallèle La Vie de Lazarillo de Tormes, fiction célèbre espagnole, datant de 1554 ,où est fait mention d'’un porteur de (fausses) bulles, « franc scélérat » qui abuse de la crédulité et vole des gens en leur prêchant de fausses vérités religieuses.Ceci pouvant être corroboré par le fait que dans ce premier quatrain Villon y liste les tricheurs. Le poète fait également référence aux châtiments en citant « ceux qui sont échaudés » puisqu'au Moyen-age la sentence, principalement, pour les faux monnayeurs étaient d’être ébouillantés en place publique dans des chaudrons emplis d'eau chaude ou d'huile. A préciser que la peine du bouillir ne fut abrogée qu'en septembre 1791.
Tu es fâchée avec la ponctuation! Lol!
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